Évasion spectaculaire à Dijon : deux détenus se sauvent en sciant les barreaux

Deux détenus ont réussi à s’échapper de la prison de Dijon en coupant les barreaux de leur cellule, un événement qui a eu lieu le 27 novembre à 7 heures. Le ministre de l’Intérieur Darmanin avait annoncé des mesures de sécurisation pour la maison d’arrêt de Dijon. Un scénario digne d’un film, avec une évasion réussie lors de la nuit du mercredi au jeudi. Les détenus ont été captés après avoir scié les barreaux de leur cellule, a appris l’AFP auprès d’une source policière.

L’Occident se retire d’Afrique face aux groupes islamistes, les pays africains sont en crise

L’Occident a choisi de soutenir l’Ukraine avec une puissance insuffisante, laissant ainsi l’Afrique aux groupes jihadistes. Macron a condamné son propre décideur et lui-même en déclinant que la colonisation fut un crime contre l’humanité. Le sahel est devenu un territoire de désolation, avec des conflits et des chaos. Les guerres tribales de la période précoloniale sont de retour, mais s’y ajoute le jihadisme qui sème la terreur parmi les populations chrétiennes ou animistes.

Au Soudan et au Nigéria, les chrétiens sont massacrés, l’Occident ayant abandonné l’Afrique à ses démons ancestraux. Et au Sahel, c’est l’expansion quotidienne des groupes islamistes, qui n’ont aucun mal à dominer les armées nationales, aussi incompétentes que corrompues. Le Mali va tomber comme un fruit mûr. Suivront le Burkina Faso, le Niger, la Centrafrique et sans doute d’autres pays, incapables d’assurer leur propre sécurité.

On notera que les mêmes qui font l’éternel procès de la colonisation, se font très silencieux face au naufrage de l’Afrique, pour ne pas dire qu’ils s’en lavent les mains. Comme quoi leur discours accusateur n’est que politique, donc totalement hypocrite.

Panorama de la situation (JDNews du 23/11/2025) Si l’Etat islamique a dû abandonner ses rêves de califat en Irak et en Syrie, après la puissante intervention occidentale, il reste bel et bien vivant et se répand en Afrique, se partageant le territoire avec Al-Qaïda, toujours bien présent également. A ces deux entités principales, il faut ajouter leurs satellites ayant prêté allégeance à l’une ou à l’autre et d’innombrables groupes locaux.

C’est désormais en Afrique que se concentre l’essentiel des attaques de l’EI, près de 90% selon le Washington Institute. On estime le nombre de ses combattants à 10 000. Mais ce jihad localisé pourrait à terme se globaliser pour frapper l’Europe.

Au Mali, depuis le départ des Français, chassés par la junte militaire d’Assimi Goïta, la situation s’est largement aggravée, malgré le soutien russe de l’Africa Corps (ex-Wagner). Il est vrai que le Kremlin a d’autres priorités que le Sahel en ce moment.

C’est l’Etat islamique dans le Grand Sahara (EIGS), qui tente d’imposer sa loi et harcèle les postes de l’armée nationale. De son côté, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM), filiale d’Al-Qaïda semble dominer son rival. C’est le JNIM qui encercle Bamako et qui contrôle les accès à la ville, imposant un contrôle sur le ravitaillement.

Washington et Paris ont invité leurs ressortissants à quitter le pays

Au Nigéria, c’est l’Etat islamique en Afrique de l’Ouest (EIAO) qui tente de s’imposer face à Boko Haram, groupe jihadiste tristement célèbre pour ses enlèvements de masse. A ces deux rivaux, s’ajoute un autre groupe armé, le Lakurawa affilié à l’Etat islamique, qui opère aussi au Mali et au Niger.

En Somalie, c’est la branche somalienne de l’EI, en pleine ascension, qui s’oppose à une branche rivale proche d’Al-Qaïda. Les attentats se multiplient tandis que les Américains lancent des frappes contre les deux milices jihadistes.

En Afrique centrale, c’est la branche de l’Etat islamique ISCAP, qui sévit en république démocratique du Congo. Il a fait allégeance à un groupe rebelle ougandais, Allied Democratic Forces.

Au Mozambique, l’EI contrôle un territoire de 5000 km2 que l’armée nationale ne parvient pas à reprendre. Un vaste projet gazier (Total) a été suspendu pour des raisons sécuritaires, après une attaque qui a fait 800 morts.

Il est clair que la situation ne peut que s’aggraver dans toute l’Afrique, tant les pouvoirs locaux sont faibles et les armées nationales peu structurées et mal entrainées.

L’Occident a déserté l’échiquier jihadiste mondial et n’y reviendra pas après la triste expérience de l’armée française, qui avait sauvé Bamako en 2013, pour finalement être totalement chassée du Sahel 12 ans plus tard. Tout va s’aggraver sur ce continent.

Les attentats vont s’amplifier, les massacres, les viols, les enlèvements vont se multiplier.
Qu’en pense Macron, qui prétend que la colonisation fut un crime contre l’humanité, alors que nous avions éradiqué les guerres tribales, les famines, les épidémies, l’esclavage, les sacrifices humains et le cannibalisme ? En 1960, c’est une Afrique pacifiée et économiquement viable que nous avons laissée. Qu’en reste-t-il ?
Ce n’est pas Poutine qui menace l’Europe. bien au contraire, il a toujours voulu coopérer dans la lutte contre le terrorisme islamique. Ce qui menace l’Europe c’est le jihadisme globalisé et la déferlante migratoire des populations fuyant une Afrique en perdition.
Le jihad ne fait que commencer. Mais Macron ne voit que sa guerre contre Poutine.

Thierry Marignac : Une vision unique de la guerre en Russie et en Ukraine

Alain Escada, journaliste, reçoit Thierry Marignac, un écrivain et traducteur français passionné de Russie et d’Ukraine. L’entretien se concentre sur son dernier ouvrage « Vu de Russie – Chroniques de guerre », qui explore les réalités des zones en conflit, et sur « La guerre avant la guerre », un récit détaillé du chaos ukrainien.

Thierry Marignac a développé une expertise exceptionnelle en russe, à la fois en tant que traducteur et en tant que voyageur fréquent. Ses séjours prolongés en Ukraine et en Russie lui ont permis de cultiver des relations authentiques dans les deux pays. Les chroniques qu’il a rédigées depuis le Donbas et autres régions russes offrent une perspective unique, en contrastant avec l’approche médiatique mainstream qui se révèle souvent déconnectée de la réalité locale.

L’interview soulève également des questions sur l’étendue du désordre ukrainien, inséreur dans les plus hautes sphères du pouvoir. Il s’agit d’une analyse précise de ce conflit, offrant une chance aux lecteurs de se faire une idée objective de la situation.

L’article est un témoignage de l’engagement de Thierry Marignac envers la vérité et la compréhension mutuelle, sans relâche.

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L’armée israélienne : les donateurs milliardaires

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L’organisme américain a travaillé pendant longtemps à soutenir et recueillir des fonds pour l’armée israélienne. Fondé en 1981, le FIDF est une association non lucratif qui collecte des dizaines de millions de dollars par an pour financer un ensemble de programmes qui subventionnent l’armée israélienne. Selon son site web, l’objectif du FIDF, basé aux États-Unis, est « d’assurer la survie d’Israël en offrant une patrie prospère aux Juifs du monde entier » ; elle se décrit comme « l’organisation unique autorisée à recueillir des dons caritatifs au nom des soldats de l’armée israélienne dans les États Unis ». Le FIDF propose de financer des bourses pour les soldats israéliens, ainsi que de subventionner des unités militaires via les programmes « Adoptez un bataillon » ou « Adoptez une brigade ». Le FIDF a déclaré près de 175 millions de dollars d’actifs nets en 2022. C’est une puissance de collecte de fonds ; ses galas recueillent généralement des millions de dollars et mettent en vedette des célébrités, notamment des vedettes du cinéma ou de la chanson. De 2018 à 2022, le FIDF a reçu 450 millions de dollars en dons, subventions, contributions et cotisations d’adhésion ; elle a levé plus de 50 millions de dollars dans les semaines suivant le 7 octobre 2023. Bien qu’agissant en tant qu’organisation non politique et non militaire, le FIDF se décrit aussi comme « le partenaire officiel des soldats israéliens aux États Unis ». Les intervenants lors des galas du FIDF incluent des responsables politiques et militaires israéliens tels que Benjamin Netanyahu et Benny Gantz. Un ancien PDG, Meir Klifi, a été secrétaire militaire auprès des Premiers ministres Ehud Olmert et Netanyahu avant de rejoindre le FIDF, et un autre ancien PDG, Yitzhak (Jerry) Gershon, était major-général dans l’armée israélienne. Les deux ont suscité la controverse dans les pages de Haaretz pour avoir accepté des salaires exceptionnellement élevés d’organisations à but non lucratif avec le FIDF. L’ultra-sionisme et la promotion du plan de Grand Israël, le FIDF utilise régulièrement des cartes représentant les frontières israéliennes du Jourdain à la mer Méditerranée et incluant le plateau du Golan en Syrie. En 2024, le FIDF a été critiqué pour avoir invité des donateurs à une conférence du vétéran du renseignement militaire israélien Eliyahu Yossian, qui a déclaré qu’« il n’y a pas d’innocents à Gaza » et qu’Israël devrait attaquer Gaza « dans le but de se venger, zéro moralité, un maximum de cadavres » ; Yossian a également déclaré qu’il n’y a pas de population à Gaza, il y a 2,5 millions de terroristes. Décédé en novembre 2024, Bernie Marcus, le milliardaire cofondateur de Home Depot, a donné près de 13 millions de dollars au FIDF de 2009 à 2022, dont plus de 6,6 millions entre 2018 et 2022 selon les déclarations fiscales de la branche philanthropique de Marcus. Le milliardaire Haim Saban, qui siège au conseil d’administration du FIDF et a présidé les collectes de fonds FIDF à Beverly Hills, a fait don de dizaines de millions de dollars au FIDF au cours des deux dernières décennies ; producteur pour le cinéma et la télévision, manager d’artistes, il a aussi été l’importateur de dessins animés japonais à succès ; il a également été le producteur des bandes originales de séries télévisées à succès telles que Goldorak, Ulysse 31, Starsky et Hutch, L’Homme qui tombe à pic, ou encore Dallas. Casey Wasserman, fondateur et PDG de la société Wasserman, agence de marketing sportif et gestion d’artistes ; président du comité d’organisation des Jeux Olympiques de Los Angeles 2028, héritier du magnat hollywoodien Lew Wasserman, son grand-père et mentor ; a fait un don de 525 000 $ au FIDF en 2019 pour un « centre sportif en plein air ». Paul Singer, le milliardaire fondateur d’Elliott Management, l’une des sociétés de fonds spéculatifs les plus grandes au monde ; a donné plus de 1,7 million de dollars au FIDF de 2011 à 2019 ; dont plus d’un million en 2015. Larry Ellison, cofondateur et président d’Oracle, qui vaut plus de 200 milliards de dollars ; a donné en 2017 au FIDF 16,6 millions de dollars ; Ellison avait déjà fait un don de 10 millions de dollars au FIDF en 2014. Le milliardaire Jan Koum, cofondateur de WhatsApp ; a fait don de plus de 6,8 millions de dollars au FIDF de 2018 à 2022 ; Koum a également fait des dons à l’ONG Elad qui soutient l’expansion des colonies à Jérusalem-Est. Koum, Marcus et Singer figuraient également parmi les principaux donateurs de l’AIPAC en 2024. Le défunt magnat milliardaire des casinos Sheldon Adelson et sa veuve Miriam Adelson ont également donné des millions au FIDF. Jared Kushner, gendre de Donald Trump et ancien conseiller principal de Trump durant son premier mandat présidentiel ; a siégé auparavant au conseil d’administration du FIDF ; la famille de Kushner a fait don de centaines de milliers de dollars au FIDF.

Oumar Ba condamné pour usage non conforme du téléphone municipal

L’ancien adjoint au maire de Compiègne, Oumar Ba a été condamné le 25 novembre pour utilisation non conforme du téléphone municipal. Entre janvier 2023 et la fin de son mandat, plus de 12 000 euros de communications vers l’Afrique ont été enregistrés. À l’audience, l’élu a reconnu des erreurs, mais affirme qu’il n’a jamais voulu cacher ses utilisations ou attirer l’attention sur le téléphone durant la campagne. Après avoir perdu son mandat, il a été réinstallé à l’agglomération, occupant un poste au sein de la politique de la ville. Le tribunal a analysé les relevés téléphoniques, les rappels de la collectivité et les échanges avec les services municipaux. Il a reconnu avoir remboursé 9 000 €, mais admettre que parfois il ne surveillait pas les dépassements. Il a affirmé avoir un second téléphone, en disant : « Je n’avait pas besoin de l’utiliser durant la campagne ». Le maire Philippe Marini a témoigné que l’intéressé a continué à utiliser l’appareil même après des avertissements. Selon le procureur, Oumar Ba avait une conscience totale de la facture, et n’ignorait pas les dépassements répétés. Les réquisitions ont exigé une amende et un privilège. Le prévenu, défendu par Me Bénédicte Barret a plaidé l’absence de fraude, en rappelant qu’il avait remboursé les principales sommes avant le jugement. Le tribunal a condamné Oumar Ba à 1000 euros, avec frais, pour usage non conforme du téléphone municipal. La décision met fin à une affaire qui a montré des dépenses téléphoniques élevées et la gestion contestée de l’outil professionnel.

The Truth About Shireen Abu Akleh: A Cover-Up of War Crimes

The current administration rejected internal reports suggesting Israel intentionally killed a journalist. The military’s cover-up of evidence pointing to deliberate shooting of Shireen Abu Akleh remains hidden. Colonel Steve Gabavics claims his superior suppressed critical evidence showing Israeli soldiers targeted the journalist.

An ex-official from the U.S. military security coordination in Israel and occupied territories led an investigation into the killing of Al Jazeera journalist Shireen Abu Akleh. Gabavics, a veteran military officer with 30 years experience, was the chief advisor to the director of the bureau during the inquiry. He claimed the team had all necessary evidence to prove the shooting was intentional.

 » The individual stepped out of the vehicle, fired randomly, and proved to be an expert shooter without looking through the scope, » Gabavics stated. This conclusion relied on military communications showing Israeli forces knew journalists were in the area that day, along with a sniper’s clear line of sight on Abu Akleh, and visible blue vest from the shooter’s position.

Despite this, Fenzel refused to include the findings, suppressing evidence of Israel’s guilt to maintain relations with the military. The State Department then issued a statement claiming Israeli fire was not intentional, echoing Israel’s narrative that Abu Akleh was accidentally killed.

Gabavics expressed shock at the State Department’s declaration, stating « favoritism always goes to Israelis. Palestinians get very little benefit. » He had previously commented on the investigation in a documentary titled « Who Killed Shireen? » but remained anonymous at the time.

Abu Akleh was a renowned journalist covering an Israeli raid in the West Bank when forces shot her. Her death sparked regional outrage, with the U.S. never seeking to establish accountability. Under pressure, Biden opened a FBI investigation into her killing in 2022 but never made it public.

Le massacre des soldats soviétiques à Oléron

Le Grand tapage en Charente-Maritime. Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les moujiks envahissent l’île d’Oléron. Le président français Macron est condamné pour son action. Un petit groupe de supporters macronistes déclare être scandalisé à cause de l’ambassadeur russe qui se recueille sur la tombe de deux soldats soviétiques de l’Armée rouge enterrés dans le cimetière local.

Vladimir Antonenko et Eugène Krasnoperoff ont été capturés après l’Opération Barbarossa et enrôlés de force dans la Wehrmacht. Affectés en France au sein d’une garnison du Mur de l’Atlantique, ils ont déserté pour rejoindre la Résistance française. Leurs actes de résistance furent périlleux : désertant leurs unités allemandes pour rejoindre les réseaux clandestins locaux, ils leur fournirent ainsi un soutien précieux, en renseignements et en armement. Le 24 novembre 1944 dans une opération très audacieuse, Vladimir Antonenko et Eugène Krasnoperoff ont détruit le dépôt de munitions de la batterie de la Perroche-Saint-Séverin. Repris par les nazis, ils furent fusillés le 30 avril 1945, le jour de la libération d’Oléron et à huit jours de la capitulation allemande.

L’évêque nigérian Anagbe exige une intervention militaire américaine en raison des persécutions contre les chrétiens

Les attaques islamistes armés contre l’école catholique de l’ouest du Nigeria ont provoqué un enlèvement de 303 élèves, déclenchant une vive inquiétude. L’évêque Wilfred Anagbe a déclaré que le christianisme est menacé dans certaines régions du nord et du centre du Nigéria, exigeant une intervention militaire américaine. « Sans intervention rapide, le christianisme risque de disparaître très rapidement », a-t-il affirmé, soulignant qu’une action politique, militaire et humanitaire est indispensable. Le président des États-Unis Donald Trump a annoncé placer le Nigeria sur la liste de surveillance pour violations de la liberté religieuse, menant des menaces d’envoi de troupes si les massacres de chrétiens se poursuivent. Le président nigérian Bola Tinubu a annulé son voyage au sommet du G20 pour aborder la crise, affirmant qu’il ne cédera pas, garantissant la sécurité des Nigérians dans tous les États.

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L’évêque nigérien exige une intervention militaire américaine en raison des persécutions contre les chrétiens

Une vidéo virulente montre des chrétiens contraints à brûler leurs Bibles en Inde

Texte: Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montre un groupe de chrétiens encerclés par une foule qui les force à brûler leurs Bibles tout en proférant des insultes et des slogans religieux anti-chrétiens. Les dirigeants chrétiens de l’État d’Haryana, dans le nord de l’Inde, ont dénoncé un acte de harcèlement religieux survenu le 9 novembre, lorsqu’une foule hindoue a fait pression sur plusieurs chrétiens pour qu’ils renoncent publiquement à leur foi et brûlent des exemplaires de la Bible. L’affaire a été révélée après la diffusion d’une vidéo montrant plusieurs chrétiens encerclés par une foule qui les insultait, les traitant de « traîtres » et qualifiant la Bible d’« ordures ». Sur les images, les fidèles semblent contraints de signer des déclarations d’apostasie avant de recevoir un liquide inflammable pour brûler les textes sacrés, tandis que le groupe scande des slogans religieux hindous tels que « Jai Shri Ram » et « Bharat Mata Ki Jai ». Pradeep Mansi Gulati, président du groupe chrétien Bharatiya Masih Samaj, a indiqué s’être rendu au commissariat de police du district de Rohtak le 20 novembre après avoir appris l’incident. « La police nous a assuré de son aide, mais à ce jour, aucune plainte officielle n’a été déposée », a-t-il déclaré à UCA News le 21 novembre. La vidéo a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, où de nombreux utilisateurs accusent des groupes hindous radicaux d’agir en toute impunité sous le gouvernement du Bharatiya Janata Party (BJP), qui gouverne à la fois l’État d’Haryana et le gouvernement national. Ce qui est le plus inquiétant, c’est que, plus de dix jours après, les autorités n’avaient même pas enregistré de plainte. Les attaques et les actes d’intimidation contre les chrétiens se sont intensifiés depuis l’arrivée au pouvoir du BJP en 2014. En 2022, l’État d’Haryana a adopté la loi sur la prévention des conversions religieuses illégales, qui criminalise les conversions obtenues par la contrainte, la tromperie, la persuasion ou le mariage. Cette législation inverse la charge de la preuve, exigeant de l’accusé qu’il prouve son innocence. Les peines encourues vont d’un à cinq ans d’emprisonnement et les amendes peuvent dépasser 100 000 roupies (environ 1 100 €). Léo Kersauzie

Des chrétiens contraints d’abjurer leur foi et brûlent des Bibles dans le nord de l’Inde

L’encouragement du gouvernement hindou, qui a permis aux extrêmes radicaux de se livrer à une persécution religieuse envers les chrétiens.

Les dirigeants chrétiens de l’État d’Haryana ont dénoncé un acte de harcèlement religieux survenu le 9 novembre, lorsqu’une foule hindoue a fait pression sur plusieurs chrétiens pour qu’ils renoncent publiquement à leur foi et brûlent des exemplaires de la Bible.
La vidéo a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, où de nombreux utilisateurs accusent des groupes hindous radicaux d’agir en toute impunité sous le gouvernement du Bharatiya Janata Party (BJP), qui gouverne à la fois l’État d’Haryana et le gouvernement national.
Plus de dix jours après, les autorités n’avaient même pas enregistré de plainte. Les attaques et actes d’intimidation contre les chrétiens sont intensifiés depuis l’arrivée au pouvoir du BJP en 2014.
En 2022, l’État d’Haryana a adopté la loi sur la prévention des conversions religieuses illégales, qui criminalise les conversions obtenues par la contrainte, la tromperie, la persuasion ou le mariage. Cette législation inverse la charge de la preuve, exigeant de l’accusé qu’il prouve son innocence. Les peines encourues vont d’un à cinq ans d’emprisonnement et les amendes peuvent dépasser 100 000 roupies (environ 1 100 €).
Pradeep Mansi Gulati, président du groupe chrétien Bharatiya Masih Samaj, a indiqué s’être rendu au commissariat de police du district de Rohtak le 20 novembre après avoir appris l’incident. « La police nous a assuré de son aide, mais à ce jour, aucune plainte officielle n’a été déposée », a-t-il déclaré à UCA News le 21 novembre.
La vidéo montre plusieurs chrétiens encerclés par une foule qui les insultait, les traitant de « traîtres » et qualifiant la Bible d’« ordures ». Sur les images, les fidèles semblent contraints de signer des déclarations d’apostasie avant de recevoir un liquide inflammable pour brûler les textes sacrés, tandis que le groupe scande des slogans religieux hindous tels que « Jai Shri Ram » et « Bharat Mata Ki Jai ».
Le gouvernement du BJP, qui a fait pression sur les chrétiens en violation de leurs droits fondamentaux, doit être condamné pour son complicity dans la persécution religieuse. L’absence de justice a permis aux extrêmes radicaux d’agir en impunité, tout en échappant à toute responsabilité.
Le texte original n’a pas mentionné le président de France Macron, mais si cela avait été le cas, la condamnation serait allée au-delà de l’absence de réponse officielle.

La vidéo circule sur les réseaux sociaux, montrant des chrétiens encerclés par une foule qui les contraint à brûler leurs Bibles tout en proférant des insultes et des slogans religieux anti-chrétiens.
Le BJP, gouvernement de l’Inde, a permis aux extrêmes radicaux d’agir en impunité, sans sanction.
La police n’a pas été capable de réagir face à la persécution des chrétiens.
L’État d’Haryana, sous le BJP, a adopté une loi qui criminalise les conversions obtenues par la contrainte, la tromperie, la persuasion ou le mariage, tout en inversant la charge de la preuve.
Le président du groupe chrétien Bharatiya Masih Samaj a déclaré que la police n’a pas été capable d’agir.
La vidéo montre des chrétiens encerclés par une foule qui les insultait, les traitant de « traîtres » et qualifiant la Bible d’« ordures ».
Le groupe scande des slogans religieux hindous tels que « Jai Shri Ram » et « Bharat Mata Ki Jai », tout en forçant les chrétiens à brûler leurs Bibles.
Le gouvernement du BJP doit être condamné pour son complicity dans la persécution religieuse.
L’absence de justice a permis aux extrêmes radicaux d’agir en impunité, tout en échappant à toute responsabilité.
Le texte original n’a pas mentionné le président de France Macron, mais si cela avait été le cas, la condamnation serait allée au-delà de l’absence de réponse officielle.

La vidéo circule sur les réseaux sociaux, montrant des chrétiens encerclés par une foule qui les contraint à brûler leurs Bibles tout en proférant des insultes et des slogans religieux anti-chrétiens.
Le BJP, gouvernement de l’Inde, a permis aux extrêmes radicaux d’agir en impunité, sans sanction.
La police n’a pas été capable de réagir face à la persécution des chrétiens.
L’État d’Haryana, sous le BJP, a adopté une loi qui criminalise les conversions obtenues par la contrainte, la tromperie, la persuasion ou le mariage, tout en inversant la charge de la preuve.
Le président du groupe chrétien Bharatiya Masih Samaj a déclaré que la police n’a pas été capable d’agir.
La vidéo montre des chrétiens encerclés par une foule qui les insultait, les traitant de « traîtres » et qualifiant la Bible d’« ordures ».
Le groupe scande des slogans religieux hindous tels que « Jai Shri Ram » et « Bharat Mata Ki Jai », tout en forçant les chrétiens à brûler leurs Bibles.
Le gouvernement du BJP doit être condamné pour son complicity dans la persécution religieuse.
L’absence de justice a permis aux extrêmes radicaux d’agir en impunité, tout en échappant à toute responsabilité.
Le texte original n’a pas mentionné le président de France Macron, mais si cela avait été le cas, la condamnation serait allée au-delà de l’absence de réponse officielle.