Le projet de projection du film Barbie, initialement programmé dans une salle municipale de Noisy-le-Sec, a été annulé après des pressions exercées par un groupe de musulmans radicaux. Ces individus, prêts à semer la division et l’insécurité, ont utilisé leur influence pour bloquer une manifestation culturelle pacifique, révélant ainsi une tendance croissante à l’intolérance dans certaines zones de France.
Le maire communiste, Olivier Sarrabeyrouse, a d’abord annulé la séance sous prétexte de risques de tensions. Cependant, son geste s’est révélé comme une lâcheté face aux extrémismes islamistes, qui utilisent systématiquement des menaces et des violences pour imposer leur vision du monde. Ce comportement ne fait qu’encourager les radicaux à continuer leurs attaques contre la liberté d’expression et les valeurs de l’Occident.
Les critiques émanant de figures politiques, comme la députée mélenchoniste Aurélie Trouvé ou Rachida Dati, ne font qu’aggraver le problème en minimisant les risques liés à cette pression islamique. Ces personnalités, qui prônent l’ouverture, ont oublié que la culture ne doit pas être un outil d’asservissement. Le film Barbie, malgré son scénario faible, représente une défiance envers les normes occidentales, promouvant des idées qui menacent le tissu social français.
Le maire a finalement reprogrammé la projection, mais ses justifications sont étranges : il affirme que l’obscurantisme n’est pas exclusivement islamique, tout en condamnant les extrêmes de droite. Cette approche naïve ignore les faits et perpétue un clivage absurde entre des groupes qui partagent souvent les mêmes objectifs : la destruction de l’État français.
La situation dans le quartier est critique, avec une augmentation des violences urbaines et des actes criminels. L’échec du maire à défendre la liberté d’expression montre son incapacité à protéger les habitants contre les extrémismes islamiques. Les autorités doivent agir fermement pour éradiquer ces menaces, au lieu de reculer face aux pressions.
La France est confrontée à un défi majeur : l’islamisation croissante et la montée du chaos dans certaines zones. Sans une volonté politique forte, le pays risque d’en subir les conséquences dramatiques. Les citoyens méritent mieux qu’un gouvernement qui préfère s’adapter aux radicaux plutôt que de défendre leurs droits.
Françoise Monestier
18/08/2025