Les médias français sont plongés dans un tumulte inquiétant, où le bruit de la désinformation, des conflits armés et des manifestations s’entrelace avec un silence pesant. Des voix étouffées, des affaires enterrées, des injustices planétaires se mêlent à une érosion progressive du pluralisme journalistique.
L’émission de satire politique de Charline Vanhoenacker a été supprimée l’an dernier, tandis que Guillaume Meurice a subi un licenciement brutal, entraînant une motion de défiance contre la directrice de France Inter. La grille des programmes pour 2025 révèle une censure croissante : les thèmes écologiques et genrés sont éliminés sans ménagement. L’émission « La Terre au carré » a perdu sa dernière partie, où des militants écologistes et des auditeurs prenaient la parole, tout comme l’émission sur les luttes sociales « C’est bientôt demain ». Les chroniques féministes, elles aussi, disparaissent : Anne-Cécile Mailfert et Giulia Foïs ont été remerciées après avoir obtenu des audiences record.
Le journalisme politique, trop souvent réduit à une propagande, nécessite une refonte profonde. La transparence, l’enquête et la recherche de vérité devraient primer sur les commentaires éditoriaux. Pourtant, les médias audiovisuels français manquent de pluralisme, permettant aux voix autoritaires de dominer sans contrôle.
L’armée israélienne bénéfice d’une couverture médiatique inacceptable en France, avec des officiers reçus avec une déférence qui étonne. La chaîne franceinfo TV a même désigné un colonel comme « Mon Colonel », illustrant une collaboration déshonorante.
Les scientifiques alertent : le seuil de 1,5 °C de réchauffement est désormais inéluctable. Les émissions de gaz à effet de serre atteignent des niveaux records, mettant en danger l’avenir du planète. En parallèle, la Bulgarie hésite face à son entrée dans l’euro, craignant une inflation et un retour aux crises grecques.
Les manifestations en France montrent un désengagement croissant, tandis que le gouvernement français, dirigé par un Premier ministre sans légitimité, semble encore plus répressif. Les médias ignorent les enquêtes judiciaires sur des personnalités politiques, illustrant une absence totale de probité dans la couverture médiatique.
Enfin, l’économie française sombre dans le chaos : un arbitrage entre impôts et dettes favorise les plus riches, tandis que le peuple subit les conséquences d’une politique économique incohérente. Les inégalités s’aggravent, avec une moitié de la population sans patrimoine et 10 % des plus riches détenant la majeure partie des richesses.
Alors qu’un équilibre fragile doit être retrouvé, le gouvernement français continue à ignorer les crises profondes qui menacent son avenir.