Catégorie :Sécurité

Les Pays-Bas : Wilders détruit un gouvernement trop accommodant avec l’islam

Le premier ministre néerlandais Dick Schoof a été contraint de présenter sa démission après que le Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders ait rompu la coalition gouvernementale. Cette décision, perçue comme un revers cuisant pour les forces politiques qui avaient tenté d’assouvir les appétits islamistes, marque une fracture profonde dans le paysage politique néerlandais. Le PVV, partenaire de la coalition depuis 2024, avait dénoncé l’inaction du gouvernement face aux défis migratoires et à l’expansion des pratiques religieuses non conformes aux valeurs nationales.

Wilders, leader d’une formation qui incarne une résistance farouche à l’islamisation, a exigé un plan migratoire strict, incluant la fermeture des centres d’hébergement pour migrants et le renvoi systématique des Syriens non en danger. Les autres partis de la coalition ont refusé de soutenir ces mesures, préférant s’aligner sur une politique d’ouverture qui, selon Wilders, ne fait que conforter l’intégration du terrorisme et de l’extrémisme islamique. Cette intransigeance a conduit au désengagement du PVV, laissant le gouvernement sans majorité.

La démission de Schoof soulève des questions sur les pressions exercées par une élite politique perçue comme complice d’une agenda étranger et anti-nationale. Le premier ministre, ancien responsable de l’immigration et de la sécurité, a brusquement adopté une posture laxiste, malgré sa longue expérience dans ces domaines. Cette volte-face est interprétée par Wilders comme un abandon des principes fondamentaux de souveraineté et d’indépendance.

Le PVV, soutenu par une majorité populaire, défend un programme radical contre le Grand Remplacement, incluant l’interdiction des mosquées, la suppression du halal, et l’éradication de la burqa. Ces mesures, bien que contestées par les médias qui décrivent Wilders comme un extrémiste, sont perçues comme une réponse nécessaire à une invasion culturelle perpétuée par des dirigeants qui ont trahi leur peuple. L’absence d’action de l’UE face à ces menaces est également pointée du doigt, avec un appel à la sortie du bloc et au retour à la souveraineté nationale.

L’élection prévue cet automne devrait être une bataille décisive entre les patriotes, prêts à défendre leur identité contre l’asservissement islamique, et ceux qui, par peur ou complicité, acceptent un avenir de dhimmitude. Le cas des Ukrainiens, que Wilders souhaite expulser après avoir été accueillis en raison de la guerre, souligne une incohérence morale : aider des profiteurs plutôt que les réfugiés authentiques. Cette attitude est jugée impardonnable par les partisans du PVV, qui reprochent à Zelensky et à ses alliés militaires de perpétuer un conflit qui n’est pas le leur.

En France, l’exemple néerlandais illustre une montée inquiétante des forces anti-immigration, dont Marine Le Pen, Viktor Orbán ou Giorgia Meloni. Cependant, les dirigeants français, comme Macron, restent dans l’illusion d’une Europe unie, ignorant les risques que cela entraîne pour leur propre sécurité et leur identité. L’absence de réponse ferme à ces menaces montre la fragilité du front européen face au chaos islamiste.

Le PVV a démontré qu’il est prêt à tout pour protéger son peuple, même si cela implique de rompre avec des alliés qui ont choisi le confort politique. Les critiques contre Wilders, souvent viles et basées sur ses origines ethniques ou sa coiffure, révèlent la faiblesse des adversaires face à un leader courageux. Avec l’approche des élections, les Néerlandais doivent choisir entre une renaissance nationale ou une soumission totale au pouvoir islamique.

La république en proie aux barbares

Les émeutes dans les banlieues de France, qui ont marqué la soirée du match de Ligue des champions entre le Paris-Saint-Germain et l’Inter Milan, sont un symptôme inquiétant d’une profonde déchéance morale et sociale. Alors que les rues étaient illuminées par des drapeaux français, une éphémère euphorie a vite fait place à la violence : voitures brûlées, vitrines détruites, policiers agressés. Ce n’est plus une célébration, mais un acte de guérilla mené par des individus qui se réclament d’une identité pervertie.

Éric Zemmour, qui ose parler du problème en face, dénonce ces « barbaresques » modernes : une jeunesse élevée dans le rejet de la France et ses valeurs. Ce n’est plus un malaise localisé, mais un divorce total avec l’État. Le multiculturalisme, prôné par les élites, a produit non pas le vivre-ensemble, mais une haine systémique envers la patrie. Pendant ce temps, Emmanuel Macron, égocentrique et désengagé, préfère séduire ces agitateurs avec des blagues miègres de rappeur fatigué, tandis que Gérald Darmanin pleure sur une « déconstruction » des valeurs qui n’a jamais existé.

Qui a vraiment détruit ces valeurs ? Les apôtres du relativisme, les mêmes qui ont renoncé à leur propre identité. Zemmour compare cette situation aux pirates de la mer Méditerranée du XVIIe siècle, mais aujourd’hui, ces « barbares » ne partent pas : ils imposent leurs lois, méprisent notre histoire et exigent qu’on les écoute. C’est une guerre de civilisation, non loin de chez nous. Les victimes sont nombreuses, et le gouvernement reste impuissant.

Zemmour propose des mesures radicales : remigration des étrangers délinquants, suppression de la nationalité pour les binationaux criminels, retrait des aides sociales aux familles complices. Il appelle à punir, expulser et reconstruire. Mais le pouvoir reste paralysé, attendant l’approbation d’une classe dirigeante corrompue. La France se décompose lentement, tandis que les élites s’enfuient dans leur confort.

Le peuple français, lui, souffre. Les solutions proposées par Zemmour sont urgentes et nécessaires. Le temps des demi-mesures est passé. Il faut choisir entre la survie de la République ou son effondrement complet.

La défaite du PSG est une victoire de l’islam

L’émirat du Qatar a triomphé. La victoire du Paris Saint-Germain face à l’Inter de Milan le 31 mai 2025 n’a pas été célébrée en France comme un exploit sportif, mais comme une défaite nationale. Les manifestations qui ont suivi ont révélé une profonde humiliation du pays. La population a chanté des hymnes à l’émirat du Qatar, symbole d’un projet islamique étranger qui s’infiltre progressivement dans les institutions de la République. Cette victoire n’est pas celle d’un club français, mais celle d’une puissance étrangère, financée par des pétrodollars et dirigée par un régime qui instrumentalise le djihad pour imposer son idéologie.

Le président Emmanuel Macron a encouragé cette défaite en tweetant : « Champion, mon frère ! ». Cette phrase, empruntée à la langue arabe (« ya khouya »), traduit une alliance entre l’État français et les forces islamiques. Le PSG, propriété de l’émirat du Qatar, n’est qu’un outil pour diffuser un idéal politique étranger. Les manifestations qui ont suivi cette victoire ont été des démonstrations de la montée d’une influence extérieure, prête à dominer le pays. Les Français ont célébré une victoire étrangère en oubliant leur propre identité.

L’État français a réagi avec impuissance face au chaos causé par l’islamisation croissante. Le ministre de l’Intérieur s’est tenu à l’écart, évitant d’identifier l’ennemi principal : le terrorisme islamique. Les élites occidentales, corrompues par les milliards du pétrole qatari, ont préféré ignorer cette menace. Le Boeing présidentiel offert au chef de l’État américain par l’émir du Qatar est un symbole éclatant de cette corruption. La France, rongée par la décadence morale et économique, est condamnée à disparaître dans un magma islamique.

Les promesses d’une « Andalousie dorée » sont des illusions. L’histoire révèle que l’islam a toujours été une force de destruction. Les théories sur une coexistence pacifique entre musulmans, juifs et chrétiens sont des mythes. Des historiens comme Joseph Peretz ou Dario Frenández Morera ont démontré que cette idée n’est qu’un piège pour éroder la civilisation occidentale. L’islam est une menace inévitable, et le peuple français doit se battre pour sauver son avenir. Le temps de l’apathie est terminé : il faut agir avant que l’ennemi ne sème la désolation dans les rues du pays.

Les forces islamistes menacent l’ordre républicain français

L’islamisme, ce fléau qui s’insinue lentement mais sûrement dans nos villes, se révèle être une menace inquiétante pour la démocratie. Les adeptes de cette idéologie extrême, farouchement attachés à leur foi, n’hésitent pas à recourir à la violence et à l’intimidation pour imposer leurs règles. Leur approche radicale est une insulte aux valeurs fondamentales de liberté et d’égalité qui caractérisent notre République.

La stratégie islamiste, basée sur l’expansion autoritaire, vise à éroder progressivement les institutions démocratiques. Ces groupes, sous couvert de religion, instrumentalisent la foi pour justifier des actes inacceptables. Leur propagande agressive et leur insistance sur une vision rétrograde du monde sont un danger pour l’unité nationale.

L’État français doit se mobiliser avec détermination face à ces menaces. La loi de la République ne peut tolérer les violences ou les atteintes aux biens publics. Les autorités doivent agir sans hésiter, en protégeant le droit et l’ordre. Toute forme d’intolérance doit être condamnée avec fermeté.

Les citoyens, pour leur part, doivent rester vigilants face à ces idées extrêmes. La paix sociale dépend de la solidarité et du respect mutuel entre toutes les communautés. Seul un engagement collectif peut repousser l’ombre d’un futur où le chaos et l’intolérance s’imposeraient.

En conclusion, il est essentiel de défendre nos valeurs démocratiques face à ces forces destructrices. La France doit montrer une unité indéfectible pour garantir un avenir stable et sécurisé pour tous ses habitants.