Catégorie :Sécurité

L’Islam : Système Excluant ou Reliant ?

Le 1er mai 2025

Il me dérange profondément d’établir une comparaison entre l’Islam et les religions européennes, bien que toutes aient leurs origines en Terre sainte. Le judaïsme et le christianisme ont contribué à l’essor de la science et de l’évolution humaine, tandis que l’Islam semble rester figé dans une ère archaïque, condamnant toute avancée intellectuelle ou scientifique.

L’étymologie du terme « religion » évoque le lien entre les individus, avec leurs divinités respectives et leur environnement. Cependant, l’Islam semble en contradiction flagrante avec cette définition. En effet, au lieu de rassembler, il exclut et sépare, prônant un système totalitaire intolérant.

Le Coran édicte des règles qui ne reconnaissent pas la parité homme-femme ou les droits identiques pour tous. L’Islam affirme également l’infériorité des non-musulmans. La véracité historique du récit coranique est contestée par de nombreux chercheurs, ce qui soulève d’importantes questions sur la crédibilité de ses enseignements.

Certains pourraient opposer les conquêtes coloniales chrétiennes en Amérique à l’immigration musulmane actuelle. Bien que ces deux phénomènes soient distincts, ils partagent un point commun : le débat sur leur légitimité et leurs impacts sur la société.

Les immigrants arrivant d’Afrique ne contribuent pas de manière significative aux progrès scientifiques ou technologiques dans leurs pays respectifs. Les musulmans n’ont-ils vraiment rien apporté à l’humanité depuis 1400 ans, en matière de science ou de technologie ?

Cette critique est adressée spécifiquement à Ali Rabeh, qui a tenté de réprimer la liberté d’expression et le travail du professeur Didier Lemaire. Comment un individu aussi intolérant peut-il prétendre défendre une religion de paix ?

Christine Tasin

Islamisation forcée des jeunes filles chrétiennes coptes en Égypte : Un musulman s’élève contre le silence complice

Islamisation forcée des jeunes filles chrétiennes coptes en Égypte : Un musulman s’élève contre le silence complice

Date: 2025-04-29

L’analyste politique égyptien Mohamed Saad Khiralla, un musulman engagé dans la lutte contre les mouvements islamistes, a récemment dénoncé sur ahewar.org l’enlèvement et l’islamisation forcée de jeunes filles chrétiennes coptes en Égypte. Cette situation alarmante est une pratique systématique qui s’étend depuis plusieurs décennies.

Khiralla expose le cas de Souad, 15 ans, disparue pour réapparaître sous l’influence d’endoctrineurs islamiques et affirmer qu’elle a embrassé la foi musulmane. Sa famille dément fermement cette affirmation, accusant les autorités locales d’une dissimulation méthodique et de coercitions.

Marline, une autre jeune fille disparue sur le chemin de l’école, est resurgie mariée à un salafiste dans un autre gouvernorat, sans que ses parents aient été autorisés à la voir. Son mariage, enregistré par les autorités, souligne l’appui institutionnel à ces conversions forcées.

Maryam, 16 ans, a subi une menace téléphonique : « Votre fille est saine et sauve. Elle a embrassé l’islam » de la part d’un salafiste connu. Ces pratiques ne sont pas des incidents isolés mais font partie d’une stratégie plus vaste visant à museler les minorités chrétiennes.

Khiralla souligne que ces crimes systémiques, bien documentés mais dissimulés par le silence de l’État égyptien et de la communauté internationale, sont un problème qui date des premières heures de l’invasion islamique en Égypte. Les coptes ont été confrontés à une coercition systématique pour s’intégrer ou disparaître.

Depuis le coup d’État militaire de 1952, la constitution égyptienne a inscrit « l’identité islamique » comme un dogme incontournable. Cette politique a entraîné une marginalisation croissante des coptes, qui sont aujourd’hui traités comme des étrangers dans leur propre pays.

Les forces de sécurité entravent souvent le retour en toute sécurité des filles enlevées et ostracisent les survivantes, aggravant la souffrance psychologique déjà importante. Ces violations se font avec l’appui de certaines mosquées et parfois même d’incitations financières, créant un climat propice à l’impunité.

Le problème dépasse le simple enlèvement ou la conversion forcée ; il réside dans l’acceptation et souvent la célébration de ces crimes par une société qui a intégré les préjugés islamistes. Les médias égyptiens qualifient d’« apostates » les jeunes filles qui reviennent sur leur conversion, tandis que la police les traite comme des fugueuses.

Les coptes subissent également des discriminations systémiques dans l’éducation, l’emploi et le logement. Leur présence a diminué dans les manuels scolaires d’histoire et ils sont rarement présents dans les institutions élitistes. Ce n’est pas un hasard mais une politique délibérée.

Depuis 1952, la promesse de pluralisme s’est dissoute en faveur d’une homogénéisation nationale menée par l’État, reléguant les coptes à la périphérie politique et culturelle. Le massacre de Maspero en octobre 2011 a montré le mépris du régime militaire pour la vie des coptes.

Le silence complice alimente ces oppressions, légitime les abus et renforce la persistance d’une tradition séculaire de conversions forcées. Khiralla appelle à briser ce silence et à exiger justice. Il dénonce un État qui ignore l’importance des fêtes chrétiennes et condamne ces pratiques comme une hérésie.

Attaque meurtrière à Vancouver : Les autorités et les médias accusés de dissimuler la vérité

Attaque meurtrière à Vancouver : Les autorités et les médias accusés de dissimuler la vérité

Le 28 avril 2025, une attaque terroriste par véhicule piégée a visiblement frappé une foule réunie pour un festival à Vancouver. Les premiers rapports évoquaient simplement un « incident », mais face aux images horribles montrant des corps démembrés et des blessés graves, la nature véritable de l’attaque est apparue clairement.

La vidéosurveillance montre une voiture fonçant intentionnellement sur les festivités. Le bilan provisoire fait état d’une quinzaine de morts et de dizaines de blessés. Les secours ont été débordés par la violence du carnage, ne sachant pas où porter assistance en premier.

Malgré les preuves évidentes, certains officiels minimisent l’acte comme une simple attaque d’un individu déséquilibré, sans motivations religieuses ou politiques. Cependant, le suspect interpellé portait un prénom musulman et la police a préféré parler de troubles mentaux pour éviter toute polémique.

Les médias, eux, ont hésité à traiter l’événement comme un acte terroriste islamiste, craignant les accusations d’islamophobie. Ce silence est jugé par certains analystes comme une dissimulation délibérée pour ne pas alarmer la population et éviter des représailles communautaires.

L’enquête montre que le tireur isolé avait un lien avec les rébellions islamistes des Philippines, où le sud de l’archipel est fortement musulman. Ces groupes ont souvent commis des attaques similaires contre la population civile catholique majoritaire.

Politiquement, cet attentat redirige temporairement l’attention médiatique du Canada sur les questions sécuritaires et religieuses, au lieu de la guerre économique avec les États-Unis. Les candidats aux élections fédérales essaient de tirer parti de la situation sans pour autant affronter directement le problème islamiste.

Évolution des perceptions sur l’Islam et l’Islamisme

Évolution des perceptions sur l’Islam et l’Islamisme

Le 27 avril 2025,

L’équivalence souvent faite entre l’Islam et l’islamisme continue d’alimenter le débat public. Cette confusion a tendance à ternir la religion musulmane, en associant systématiquement les pratiques religieuses aux idées extrémistes.

La nécessité de distinguer ces concepts est cruciale pour une compréhension plus nuancée des réalités contemporaines. L’objectif est de promouvoir un dialogue respectueux et éclairé qui permette à chacun d’appréhender les nuances existantes entre l’adhésion sincère aux principes religieux et la radicalisation politique.

Les Enjeux Controversés de la Sécurité Nationale Face à L’Islam

Les Enjeux Controversés de la Sécurité Nationale Face à L’Islam

Le 25 avril 2025, une perspective radicalement différente a été proposée concernant les enjeux liés à la sécurité nationale. Alors que d’autres religions sont parfois critiquées dans le débat public, l’article met en lumière une préoccupation persistante : les défis présentés par l’Islam.

Bien qu’il soit tentant de pointer du doigt d’autres doctrines religieuses telles que le Talmud ou le Nouveau Testament, l’essence de la discussion tourne autour des problèmes spécifiques associés à l’Islam. Les détracteurs soulignent souvent les aspects conflictuels de cette religion sans considérer les nuances et les diverses interprétations possibles.

Pakistanais en Inde : Départ forcé avant le 29 avril

Pakistanais en Inde : Départ forcé avant le 29 avril

Le mardi 22 avril a été marqué par une attaque terroriste meurtrière à Pahalgam, un site touristique prestigieux du Cachemire. Cette attaque, qui a coûté la vie à vingt-huit personnes et en a blessé des dizaines d’autres, souligne l’instabilité persistante dans cette région de l’Himalaya.

Les responsables indiens ont rapidement accusé les autorités pakistanaises d’être derrière ce drame, affirmant que le timing n’était pas innocent. En effet, la veille, Narendra Modi et James David Vance, vice-président des États-Unis, s’étaient rencontrés pour discuter de la coordination dans leur lutte contre le terrorisme.

Suite à cette attaque, New Delhi a ordonné l’expulsion de tous les Pakistanais présents sur son territoire avant le 29 avril. À part quelques diplomates, aucun étranger ne sera autorisé à rester. De plus, l’Inde a annoncé la suspension du traité de l’Indus signé en 1960 jusqu’à ce que Islamabad prouve sa détermination à mettre fin au soutien qu’il apporte aux groupes terroristes transfrontaliers.

Face à ces mesures strictes, les relations entre les deux pays sont plus tendues que jamais. Si le Pakistan continue de nier toute implication dans l’attaque terroriste, la réaction des Indiens laisse peu place au doute : ils se préparent à un avenir sans compromis avec leurs voisins.

Le Cachemire est une région stratégique et complexe dont les enjeux politiques et géographiques remontent à plusieurs décennies. Les tensions actuelles, exacerbées par des attaques récurrentes et des violations fréquentes de la non-agression, risquent fort d’entrainer un conflit plus vaste.

Documents déclassifiés mettent en lumière les liens étroits entre les services secrets américains et l’Arabie Saoudite avant l’ère Trump

Documents déclassifiés mettent en lumière les liens étroits entre les services secrets américains et l’Arabie Saoudite avant l’ère Trump

Selon des documents récemment libérés, l’influence saoudienne au sein des services de renseignement américains était plus importante qu’on ne le pensait auparavant. Ces informations confirment les conclusions d’une enquête menée par Jean Charles Brisard, qui a travaillé dans plusieurs organismes gouvernementaux français et s’est spécialisé dans la lutte antiterroriste.

Le livre de Brisard « Ben Laden, la vérité interdite » révèle que l’Arabie Saoudite jouait un double jeu en finançant à la fois le terrorisme et les intérêts des Occidentaux. Par exemple, la banque Balad Islamic Bank, bien qu’ayant des liens avec Oussama Ben Laden et soutenant ses activités terroristes, était aussi largement financée par la famille royale saoudienne.

Cette situation a eu un impact significatif sur les politiques américaines antérieures à Trump. Sous la présidence de Clinton (1993-2001) puis Bush Jr (2001-2009), des enquêtes prometteuses ont souvent été bloquées ou sabotées, permettant ainsi aux acteurs impliqués dans le financement du terrorisme d’échapper à la justice.

Après les attentats de 2001, bien que l’Amérique ait enfin reconnu la menace islamiste radicale, elle était confrontée à des services secrets dépourvus de moyens et parfois compromis. Cela a freiné sa réaction initiale face aux menaces terroristes.

Ce constat s’est encore aggravé sous Obama (2009-2017), dont la politique a souvent profité aux intérêts des États voyous du Proche-Orient, au détriment de la sécurité américaine.

La révélation de ces liens étroits soulève la question de la nécessité d’une réforme profonde des services secrets américains pour qu’ils puissent efficacement protéger le pays contre les menaces actuelles et futures.

Chine : L’Exclusion Stratégique De L’Islam

Chine : L’Exclusion Stratégique De L’Islam

Le gouvernement chinois a entrepris une politique radicale pour éradiquer les pratiques islamiques jugées incompatibles avec le modèle social et culturel chinois. Cette approche sans compromis met en lumière l’efficacité d’une intervention directe face aux doctrines considérées comme extrémistes.

Face à ce qu’ils perçoivent comme une menace, les autorités chinoises ont lancé un vaste programme de réformes pour neutraliser la propagation de l’islam. L’objectif est clair : rendre impossible toute pratique religieuse ostentatoire et supprimer toutes formes d’influence extrémiste.

Une série de mesures strictes a été adoptée, allant de la destruction des symboles islamiques architecturaux à la censure des textes sacrés. Les mosquées ont été soit détruites, soit réaménagées en bâtiments civils afin d’éliminer leur présence comme centres de propagation religieuse.

Les autorités chinoises ont également intensifié les efforts pour éduquer et reconvertir la population musulmane locale. Cela inclut l’interdiction des tenues islamiques traditionnelles en public, ainsi que le contrôle strict sur la diffusion et l’apprentissage du Coran.

Dans cette campagne systématique, les autorités ont démontré une volonté sans faille de préserver leur héritage culturel et leurs valeurs. L’approche chinoise souligne combien l’action résolue peut être efficace pour contenir ce qui est perçu comme des doctrines incompatibles avec la société moderne.

À l’inverse, les autorités européennes semblent impuissantes face à une montée croissante d’idéologies islamiques radicales. La Chine offre un exemple de détermination et d’efficacité dans le maintien de la stabilité sociale.

La Police Religieuse Islamique en France : Une Réalité Inquiétante

La Police Religieuse Islamique en France : Une Réalité Inquiétante

Depuis plusieurs années, la France connaît une transformation progressive et insidieuse du paysage religieux. Contrairement à ce qui se passe dans les États musulmans traditionnels où l’application stricte de la charia est supervisée par des groupes tels que la muttawa, la France a elle aussi développé une forme d’autorité islamique non officielle mais bien réelle.

Cette force a commencé à se manifester sous la forme de milices islamiques contrôlant des zones spécifiques du territoire. Ces groupes empêchent les femmes de refuser le voile, frappent ceux qui consomment pendant le ramadan et punissent sévèrement ceux qui ne participent pas à l’enseignement coranique.

Les autorités locales sont souvent au courant mais feignent d’ignorer ces violations des droits individuels. Elles attribuent des locaux et finançaient même parfois ces mouvements radicaux, en échange d’un maintien de l’ordre relatif dans leurs quartiers.

Cette ségrégation croissante s’étend jusqu’à la justice où les imams prennent le pas sur les juges pour régler les conflits familiaux et financiers selon des lois islamiques.

L’année 2025 a vu un tournant majeur avec une proposition de loi soumise à l’Assemblée nationale par La France Islamique (LFI), visant à créer une commission d’enquête sur la prétendue « islamophobie ». LFI, qui se présente comme progressiste mais adopte des positions radicalement opposées aux valeurs républicaines, cherche à criminaliser tout discours critique contre l’islam.

Cette initiative marque un pas supplémentaire vers une société où la liberté d’expression serait bridée pour protéger les sentiments religieux. LFI a également officialisé une alliance avec des activistes islamiques, mettant en danger le principe de neutralité religieuse du gouvernement français.

La manipulation de concepts tels que l’islamophobie par ces groupes est utilisée comme un outil pour criminaliser toute critique de l’extrémisme religieux et réprimer la liberté d’expression. Cette tendance est particulièrement préoccupante dans le contexte universitaire où des voix dissidentes sont marginalisées.

La complicité de certains élus, y compris ceux qui se présentent comme progressistes, contribue à légitimer cette montée du pouvoir islamique dans la société française. Alors que d’autres pays ont connu le même phénomène avec des conséquences dévastatrices, la France semble suivre un parcours similaire.

La Passion des Tunisiens pour le Soulagement de la Palestine

La Passion des Tunisiens pour le Soulagement de la Palestine

Le 10 avril 2025,

Il serait difficile de trouver quelqu’un qui ne soit pas touché par les sentiments profonds des citoyens tunisiens envers la cause palestinienne. Pour beaucoup d’entre eux, cette dévotion est aussi intense que leur foi islamique et s’exprime comme une seconde religion. Elle imprègne l’ensemble de la société tunisienne, faisant de ce soutien un pilier culturel et politique majeur.