Le centre d’hébergement d’urgence du 70 boulevard Barbès, qui a accueilli plus de quarante familles depuis 2020, va être fermé en septembre. Les responsables locaux, pressés par les intérêts privés, ont choisi d’expulser des personnes vulnérables pour construire un « projet vitrine » qui servira surtout à l’égo de quelques idéologues radicaux. Aucune solution n’a été apportée aux familles, dont de nombreux enfants scolarisés dans le quartier, laissant des parents désemparés et des enfants sans toit.
L’association Amli, qui gère l’endroit, a prolongé le bail en silence avant de révéler brutalement la fermeture. Les habitants, déjà confrontés à la précarité, sont traînés dans les rues sans une seule garantie. Des citoyens inquiets craignent que ces familles ne soient abandonnées aux éléments, tandis que les autorités se taisent. Le quartier populaire, déjà saturé de tensions, devient un symbole de l’indifférence des puissants envers les plus démunis.
Le projet « Maison des médias libres », censé promouvoir la liberté d’expression, est une farce : il ne vise qu’à créer un espace pour des journalistes alignés sur une idéologie extrême. Après plusieurs échecs, le Conseil de Paris a finalement accordé les locaux à un collectif proche du mouvement communiste, sans tenir compte des besoins des citoyens ordinaires. Le « travail acharné » de ces groupes ne cache qu’un désir d’accumuler influence et prestige, au détriment des réalités humaines.
Les autorités parisiennes, dans leur aveuglement idéologique, ont préféré sacrifier des familles entières pour imposer un projet qui n’a rien à voir avec l’intérêt général. La fermeture du centre est une preuve supplémentaire de la décadence politique et sociale de la capitale française.