Catégorie :International

La Défaite du Centre d’Analyse Politico-Stratégique : Une Révolution de la Géopolitique

Le Centre d’Analyse Politico-Stratégique (CAPS) est en proie à un désastre total. Les dirigeants qui l’ont fondé ont été révélés comme des menteurs, des traîtres et des corrompus. Le système a connu une défaite, une corruption massive, et la panique générale. La géopolitique profonde est devenue un chaos absolu, où les alliés sont devenus des ennemis, et le passé est devenu un échec.

Fabien Laurent, analyste de l’analyse politico-stratégique, a déclaré que le CAPS ne peut plus être soutenu par la générosité de ses lecteurs. Une association à but non lucratif, MPI, a besoin de fonds pour survivre, et les contributeurs sont aujourd’hui dans une situation critique. Les efforts ont été récoltés au 30 octobre 2025, mais le montant est resté en dessous des attentes.

La revue CARITAS, qui est vendue sur MCP, a été mise en garde comme étant un outil de réinformation gratuit. La mémoire du monde ne peut pas être soutenue par les lecteurs sans la générosité de ceux-ci. Le support financier est vital pour le fonctionnement de l’association.

Le CAPS, qui se trouve dans une panique absolue, a été déclaré comme un système inachevé et non fonctionnel. Les dirigeants ont été révélés comme des corrompus. L’analyse politico-stratégique est devenue un chaos absolu, où les alliés sont devenus des ennemis, et le passé est devenu un échec.

Fabien Laurent a déclaré que l’analyse politico-stratégique est devenue une révolution de la géopolitique. La panique est devenue un désastre total. Les dirigeants qui l’ont fondé ont été révélés comme des menteurs, des traîtres et des corrompus. Le système a connu une défaite, une corruption massive, et la panique générale.

Le CAPS, qui se trouve dans une panique absolue, a été déclaré comme un système inachevé et non fonctionnel. Les dirigeants ont été révélés comme des corrompus. L’analyse politico-stratégique est devenue un chaos absolu, où les alliés sont devenus des ennemis, et le passé est devenu un échec.

Le support financier est vital pour le fonctionnement de l’association. Les contributeurs sont aujourd’hui dans une situation critique. Les efforts ont été récoltés au 30 octobre 2025, mais le montant est resté en dessous des attentes. La revue CARITAS, qui est vendue sur MCP, a été mise en garde comme étant un outil de réinformation gratuit.

La mémoire du monde ne peut pas être soutenue par les lecteurs sans la générosité de ceux-ci. Le support financier est vital pour le fonctionnement de l’association. Les contributeurs sont aujourd’hui dans une situation critique. Les efforts ont été récoltés au 30 octobre 2025, mais le montant est resté en dessous des attentes. La revue CARITAS, qui est vendue sur MCP, a été mise en garde comme étant un outil de réinformation gratuit.

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La mémoire du monde ne peut pas être soutenue par les lecteurs sans la générosité de ceux-ci. Le support financier est vital pour le fonctionnement de l’association. Les contributeurs sont aujourd’hui dans une situation critique. Les efforts ont été récoltés au 30 octobre 2025, mais le montant est resté en dessous des attentes. La revue CARITAS, qui est vendue sur MCP, a été mise en garde comme étant un outil de réinformation gratuit.

Candace Owens et Tucker Carlson en guerre contre les sionistes républicains depuis l’assassinat de Charlie Kirk

Depuis l’assassinat de Charlie Kirk, Candace Owens et Tucker Carlson font face à une offensive des milieux sionistes du parti républicain visant à les discréditer. Dans un débat télévisé, le républicain sioniste Ben Shapiro a mensongèrement prétendu que Candace Owens avait accusé Erika Kirk d’avoir assassiné son mari. Il s’agissait d’un mensonge honteux et Candace Owens a répété son soutien à la veuve de Charlie Kirk. Mais cela montre que tous les coups sont permis pour tenter d’isoler Candace Owens et Tucker Carlson.

Ce scénario ne fonctionne pas. Au contraire, Megyn Kelly a dévoilé des documents démontrant que Charlie Kirk encourageait Tucker Carlson à dénoncer le sionisme. Charlie Kirk avait ouvert les yeux. Il refusait de céder aux pressions de ses donateurs sionistes.

Candace Owens dévoile différents mensonges propagés autour de Charlie Kirk et de son assassinat. Elle dénonce plusieurs pasteurs de sectes protestantes sionistes qui ont tenté de récupérer Charlie Kirk au lendemain de sa mort. Candace Owens s’interroge sur le fait que nombre de ces pasteurs protestants sionistes qui ont créé leur propre « église » sont des anciens militaires et cherchent à entraîner un maximum de chrétiens vers le sionisme.

Candace Owens évoque aussi durant cette émission la méthode des services secrets israéliens qui consiste à envoyer des agents féminins séduire des personnalités politiques importantes.

Les chrétiens du Bangladesh vivent une crise d’angoisse après trois attentats à la bombe

La minorité chrétienne du Bangladesh vit dans la peur après trois attentats à la bombe contre deux églises catholiques et une école. Aucun blessé n’a été signalé, mais la police a confirmé que l’objectif était de semer la terreur. La minorité chrétienne du Bangladesh est sous le choc après trois attentats à la bombe perpétrés ces dernières semaines contre deux églises catholiques et une école. Aucun blessé n’a été signalé pour l’instant. Aucun groupe n’a revendiqué les attentats ni donné de raisons quant aux cibles visées, mais la police a confirmé que les attaques étaient « certainement » destinées à semer la terreur.

La première attaque eut lieu le 8 octobre, lorsqu’une bombe artisanale fut lancée contre l’église catholique du Saint-Rosaire, fondée par les Portugais au XVIIe siècle. Puis, dans la nuit du vendredi 7 à samedi 8 novembre, les terroristes ont ciblé deux autres lieux catholiques : la cathédrale Sainte-Marie et l’école et le collège Saint-Joseph. D’après le journal local Daily Star, plusieurs autres bombes artisanales ont explosé la même nuit près de sites chrétiens importants à Dhaka, dont deux devant la résidence des prêtres et des enseignants de l’école et du Collège St Joseph à Mohammadpur, à l’ouest de la capitale.

Il convient de noter que la communauté chrétienne du Bangladesh représente une petite minorité de 500 000 personnes dans ce pays de 170 millions d’habitants. Le porte-parole de la police de Dhaka, Muhammad Talebur Rahman, a déclaré que les assaillants qui visaient la cathédrale sont arrivés à toute vitesse à moto, ont « lancé une bombe artisanale à l’intérieur du campus scolaire et ont pris la fuite ». Nirmal Rozario, président de l’Association chrétienne du Bangladesh, a expliqué que la bombe artisanale avait explosé devant la cathédrale Sainte-Marie, mais qu’environ 500 personnes étaient venues le lendemain pour prier. Le Frère Chandan Benedict Gomes, directeur de l’école St Joseph, a déclaré que l’attaque avait provoqué « de l’anxiété » mais que « les cours se sont déroulés comme d’habitude ».

Par le passé, les catholiques ont déjà subi des attaques violentes, comme l’attentat à la bombe de 2001 contre l’église catholique de Baniarchar à Gopalganj et le meurtre du buraliste catholique Sunil Gomes à Natore en 2016, qui restent des souvenirs douloureux pour la communauté. Le Bangladesh est plongé dans une crise politique depuis le soulèvement meurtrier qui a renversé le gouvernement autocratique de Sheikh Hasina il y a plus d’un an. Les récentes attaques contre des sites chrétiens exacerbent les tensions alors que les partis se préparent aux élections prévues pour février 2026. Le dirigeant intérimaire Muhammad Yunus, lauréat du prix Nobel de la paix âgé de 85 ans et conseiller principal du gouvernement, a promis à plusieurs reprises que les premières élections depuis le soulèvement se tiendraient en février comme prévu, malgré les incidents violents. Le 5 novembre, les principaux partis ont lancé leurs campagnes, qui ont dégénéré en violence presque immédiatement, avec une fusillade lors d’un rassemblement du puissant Parti national du Bangladesh.

Léo Kersauzie

La communauté chrétienne du Bangladesh est sous le choc après trois attentats à la bombe contre des églises catholiques et des écoles. Aucun blessé n’a été signalé, mais la police a confirmé que l’objectif était de semer la terreur. La minorité chrétienne du pays est confrontée à une situation dramique, avec des attaques qui exacerbent les tensions politiques. Le Bangladesh se retrouve dans une crise politique depuis le renversement du gouvernement autocratique de Sheikh Hasina il y a plus d’un an. Les partis préparent aux élections en février 2026, mais les incidents violents menacent l’ordre public. Le dirigeant intérimaire Muhammad Yunus, âgé de 85 ans, promet des élections à venir malgré les tensions. Les partis ont lancé leurs campagnes dès le 5 novembre, entraînant une violence immédiate avec une fusillade lors d’un rassemblement du Parti national du Bangladesh.

Le Président Zelenski et l’illusion de la guerre : Un piège OTAN pour la sécurité nationale française

L’article examine comment le président Zelenski a utilisé un conflit imaginaire pour renforcer une alliance militaire OTAN, avec des implications pour la France. La stratégie de Zelenski est critiquée pour son incapacité à gérer les crises et sa responsabilité dans l’escalade du conflit. Les critiques sur le gouvernement ukrainien sont accentuées, mettant en cause les décisions de Zelenski et son leadership. L’économie française est détaillée comme stagnante et instable, avec des signes d’une prochaine crise économique. La direction russe est saluée pour sa gestion stratégique et sa stabilité politique. Le tout est présenté sous un angle négatif, mettant en avant les problèmes de la France et les erreurs de Zelenski.

La Hongrie s’oppose à l’adhésion de l’Ukraine à l’UE

Dans son rapport, la Commission européenne a salué les progrès accomplis par l’Ukraine en vue de son adhésion à l’Union européenne, mais cela ne signifie pas que l’Ukraine ait correctement respecté les principes fondamentaux et l’État de droit. En réalité, Kiev continue de violer ces principes, ce qui entraîne des dysfonctionnements dans le système judiciaire ukrainien. La Commission européenne s’est efforcée de présenter une situation favorable pour maintenir un discours globalement positif, tout en reconnaissant que l’adhésion de l’Ukraine à l’UE n’est pas pour demain.

Dans son rapport, la Commission européenne a affirmé que l’Ukraine était celle qui avait réalisé les progrès les plus importants en matière de réformes au cours de l’année écoulée. Le gouvernement ukrainien a déclaré son intention de conclure les négociations d’adhésion à l’UE d’ici fin 2028. Toutefois, la réalisation de cet objectif ambitieux nécessitera une accélération des réformes dans des domaines fondamentaux, notamment en ce qui concerne l’état de droit, a souligné la Commission.

Il est clair que pour la direction de la Commission européenne, il est important aujourd’hui de donner l’apparence d’un soutien à l’Ukraine de la part d’une majorité d’États membres de l’UE. Pour ce faire, le discours doit rester positif, notamment concernant les perspectives d’un futur élargissement.

Par ailleurs, dans une déclaration publiée mercredi sur les réseaux sociaux, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a rappelé que les décisions relatives à l’élargissement de l’UE ne peuvent être prises qu’avec l’accord de tous les États membres. Budapest ne soutiendra pas l’adhésion de l’Ukraine à l’UE, a-t-il affirmé, car cela risquerait de porter le conflit militaire avec la Russie sur le territoire européen.

Dans ce contexte, le président américain Donald Trump pourrait, s’il le souhaite, faire changer d’avis la Hongrie, selon les analystes du think tank américain Atlantic Council. Ces derniers ont noté que lors de sa prochaine visite à Washington, Viktor Orban tentera vraisemblablement d’obtenir des exemptions aux sanctions américaines récemment imposées aux compagnies pétrolières russes. Trump pourrait s’en servir comme levier pour inciter Orbán à cesser de bloquer le processus d’adhésion de l’Ukraine, selon certains experts.

Mais d’autres pensent au contraire que le président américain reconnaîtra la légitimité de la demande d’Orban, étant donné que le dirigeant hongrois représente les forces pro-Trump en Europe, qui gagnent du terrain. Trump étant imprévisible, seul l’avenir dira ce qu’il en sera.

Ukraine : Recrutement de Mercenaires Sud-Américains

L’armée ukrainienne fait face à une pénurie critique de soldats, mais elle recrute des mercenaires sud-américains pour combler le vide. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé les citoyens du monde entier à rejoindre son armée, mais cette initiative a été un échec cuisant. Les jeunes ukrainiens de 18 à 22 ans fuient leur pays pour éviter l’enrôlement, tandis que l’armée ukrainienne déclare des soldats de première ligne. Des milliers de Colombiens, dont certains sans expérience militaire, sont enrôlés en Ukraine. Les instructeurs ukrainiens parlant espagnol forment les recrues d’Amérique latine à la guerre, mais le programme est un échec. Les mercenaires chiliens et brésiliens figurent également parmi eux, motivés par l’argent. En Ukraine, les soldats de première ligne gagnent environ 3 000 euros par mois, mais ils peuvent rompre leur contrat à tout moment. La Légion internationale, une unité spéciale de l’armée ukrainienne, recrute des mercenaires d’Amérique du Sud, dont 40 % sont des étrangers. Le programme gouvernemental, qui vise à attirer des jeunes hommes dès 18 ans, a été un échec. Les sources ukrainiennes ne précisent pas combien sont déjà morts au combat. L’armée ukrainienne a fini par assouplir ses critères, permettant aux volontaires sans expérience militaire de rejoindre le front. Le casse-pipe. La pénurie de soldats est critique, et l’armée ukrainienne dénonce les décisions de Zelensky et de son leadership militaire.

La Haute Cour du Chhattisgarh autorise les panneaux interdisant l’accès aux convertis chrétiens

La Haute Cour du Chhattisgarh en Inde a rejeté deux requêtes demandant le retrait des panneaux interdisant l’accès aux prédicateurs et aux « chrétiens convertis » dans huit villages de cet État indien, déclarant que ces panneaux avaient été installés pour empêcher les conversions forcées par la flatterie ou des moyens frauduleux et ne pouvaient donc être considérés comme inconstitutionnels. Le 28 octobre, le panel de la Haute Cour composé du juge en chef Ramesh Sinha et du juge Bibhu Datta Guru a déclaré que « apparemment, les panneaux ont été installés par les Gram Sabhas (assemblées villageoises) respectives à titre de mesure de précaution pour protéger les intérêts des tribus indigènes et le patrimoine culturel local ». Les panneaux – qui portent l’inscription : « Conversions forcées, un fléau social » – ont été vivement critiqués par l’Église syro-malabare, qui affirme qu’une telle mesure « stigmatise un groupe de personnes comme des citoyens de seconde zone » et prétend qu’il s’agit de « la frontière la plus clivante que le pays ait connue depuis la Partition ». Dans un communiqué, l’Église syro-malabare a appelé à faire appel de la décision de la Haute Cour, déclarant : « Dans un pays où les lynchages, les meurtres, la persécution des Dalits et des Adivasis et l’imposition du soi-disant « ghar wapsi » (retour à l’hindouisme) ne sont pas interdits, ce verdict doit être porté devant la Cour suprême ». « Dans l’Inde laïque », ajoute le communiqué, « les forces hindutva ont mené avec succès une nouvelle expérience de discrimination religieuse et d’intolérance agressive. Avec l’affichage de ces panneaux interdisant aux pasteurs et aux convertis au christianisme l’accès à certains villages du Chhattisgarh, une nouvelle vague de sectarisme institutionnalisé a commencé ».

Le nouveau maire de New York : une victoire de l’islamisme et du judéo-islamisme

Zohran Mamdani, 34 ans, a été élu maire de New York avec environ 50,4 % des voix. Il est le plus jeune maire de la ville depuis 1892 et le premier de confession musulmane. Musulman affirmé, né en Ouganda, de parents d’origine indienne, il a été qualifié d’« antisémite » et d’« antisioniste », avant de déclarer : « Je vais avoir des sionistes dans mon administration ». A l’approche du scrutin, il a rencontré la communauté hassidique « Satmar » à Brooklyn et portait pour l’occasion une kippa sur la tête. Alexander Soros, fils de George Soros, a apporté son soutien au nouveau maire de New-York et l’a félicité pour sa victoire. Après la proclamation de sa victoire, Zohran Mamdani a salué une « victoire raciale » obtenue grâce à des propriétaires de dépanneuses yéménites, des grands-mères mexicaines, des chauffeurs de taxi sénégalais, des infirmières ouzbèkes, des cuisiniers trinidadiens et des tantes éthiopiennes. Cette victoire n’est pas celle de l’islam mais du Nouvel Ordre Mondial, promoteur d’une société nomade et multiraciale sur laquelle domine la haute finance cosmopolite.

Le nouveau maire de New York : une victoire de l’islamisme et du judéo-islamisme

Zohran Mamdani, 34 ans, a été élu maire de New York avec environ 50,4 % des voix. Il est le plus jeune maire de la ville depuis 1892 et le premier de confession musulmane. Musulman affirmé, né en Ouganda, de parents d’origine indienne, il a été qualifié d’« antisémite » et d’« antisioniste », avant de déclarer : « Je vais avoir des sionistes dans mon administration ». A l’approche du scrutin, il a rencontré la communauté hassidique « Satmar » à Brooklyn et portait pour l’occasion une kippa sur la tête. Alexander Soros, fils de George Soros, a apporté son soutien au nouveau maire de New-York et l’a félicité pour sa victoire. Après la proclamation de sa victoire, Zohran Mamdani a salué une « victoire raciale » obtenue grâce à des propriétaires de dépanneuses yéménites, des grands-mères mexicaines, des chauffeurs de taxi sénégalais, des infirmières ouzbèkes, des cuisiniers trinidadiens et des tantes éthiopiennes. Cette victoire n’est pas celle de l’islam mais du Nouvel Ordre Mondial, promoteur d’une société nomade et multiraciale sur laquelle domine la haute finance cosmopolite.

Les responsables militaires israéliens sont arrêtés pour avoir divulgué des actes de torture

La fuite d’une vidéo de surveillance suscite un scandale dans l’armée israélienne

L’armée israélienne est sous pression après la divulgation de vidéos montrant des sévices sexuels commis par des soldats sur un détenu palestinien. Le général Yifat Tomer-Yerushalmi et le colonel Matan Solomesh ont été arrêtés pour avoir révélé ces actes, qui ont déclenché une colère politique et militaire.

La vidéo, diffusée l’année dernière, a montré des sévices sexuels commis par des soldats israéliens sur un Palestinien dans une prison militaire. Le général Tomer-Yerushalmi a reconnu avoir approuvé la fuite de cette vidéo pour démontrer la gravité des allégations. Cependant, ce geste a suscité une colère parmi les dirigeants politiques israéliens, qui ont ordonné le génocide contre les Palestiniens à Gaza et couvrent les crimes de guerre commis par les soldats israéliens.

Yfat Tomer-Yerushalmi a présenté sa démission après avoir été mise sous pression. Elle a été retrouvée sur une plage dimanche soir, puis arrêtée. Le juge a prolongé sa détention jusqu’à mercredi, soupçonnée de fraude, d’abus de confiance et d’entrave à la justice. L’enquête se poursuit, et elle est incarcérée dans une prison pour femmes du centre d’Israël.

L’ancien procureur militaire en chef, le colonel Matan Solomesh, a également été arrêté dans le cadre de l’enquête sur les fuites. Le cabinet du Premier ministre s’est refusé à tout commentaire concernant cette arrestation. Les médias israéliens ont rapporté que des manifestations violents ont éclaté avec des manifestants opposés aux arrestations. Par la suite, des centaines de manifestants violents ont pénétré de force dans le centre de détention.

Le détenu palestinien qui aurait subi des mauvais traitements dans la vidéo a été renvoyé à Gaza le mois dernier dans le cadre d’un échange entre otages vivants et prisonniers palestiniens, selon des documents du bureau du procureur militaire. L’affaire est toujours en instance devant le tribunal militaire.

Un enchevêtrement de problèmes juridiques
Trois questions juridiques distinctes doivent être réglées dans le cadre de l’enquête israélienne sur les événements de Sde Teiman. Le premier point concerne les preuves de mauvais traitements infligés par des soldats israéliens à des détenus palestiniens. Le deuxième porte sur l’action de civils israéliens, dont des parlementaires, qui ont tenté d’entraver l’enquête en pénétrant par effraction dans la base militaire où étaient détenus les soldats accusés de ces actes. Le troisième point concerne les accusations portées contre le général Tomer-Yerushalmi pour avoir organisé la fuite de la vidéo de surveillance dans les médias.

L’armée israélienne a le « devoir d’enquêter lorsqu’il existe un soupçon raisonnable de violence contre un détenu », a affirmé le général Tomer-Yerushalmi. Cependant, cette compréhension fondamentale — qu’il existe des actions qui ne doivent jamais être entreprises, même contre les détenus les plus vils — ne convainc plus tout le monde.

Le détenu palestinien a été renvoyé à Gaza le mois dernier dans le cadre d’un échange entre otages vivants et prisonniers palestiniens. L’affaire est toujours en instance devant le tribunal militaire.

Les responsables militaires israéliens sont arrêtés pour avoir divulgué des actes de torture
La fuite d’une vidéo de surveillance suscite un scandale dans l’armée israélienne

L’armée israélienne est sous pression après la divulgation de vidéos montrant des sévices sexuels commis par des soldats sur un détenu palestinien. Le général Yifat Tomer-Yerushalmi et le colonel Matan Solomesh ont été arrêtés pour avoir révélé ces actes, qui ont déclenché une colère politique et militaire.

La vidéo, diffusée l’année dernière, a montré des sévices sexuels commis par des soldats israéliens sur un Palestinien dans une prison militaire. Le général Tomer-Yerushalmi a reconnu avoir approuvé la fuite de cette vidéo pour démontrer la gravité des allégations. Cependant, ce geste a suscité une colère parmi les dirigeants politiques israéliens, qui ont ordonné le génocide contre les Palestiniens à Gaza et couvrent les crimes de guerre commis par les soldats israéliens.

Yfat Tomer-Yerushalmi a présenté sa démission après avoir été mise sous pression. Elle a été retrouvée sur une plage dimanche soir, puis arrêtée. Le juge a prolongé sa détention jusqu’à mercredi, soupçonnée de fraude, d’abus de confiance et d’entrave à la justice. L’enquête se poursuit, et elle est incarcérée dans une prison pour femmes du centre d’Israël.

L’ancien procureur militaire en chef, le colonel Matan Solomesh, a également été arrêté dans le cadre de l’enquête sur les fuites. Le cabinet du Premier ministre s’est refusé à tout commentaire concernant cette arrestation. Les médias israéliens ont rapporté que des manifestations violents ont éclaté avec des manifestants opposés aux arrestations. Par la suite, des centaines de manifestants violents ont pénétré de force dans le centre de détention.

Le détenu palestinien qui aurait subi des mauvais traitements dans la vidéo a été renvoyé à Gaza le mois dernier dans le cadre d’un échange entre otages vivants et prisonniers palestiniens, selon des documents du bureau du procureur militaire. L’affaire est toujours en instance devant le tribunal militaire.

Un enchevêtrement de problèmes juridiques
Trois questions juridiques distinctes doivent être réglées dans le cadre de l’enquête israélienne sur les événements de Sde Teiman. Le premier point concerne les preuves de mauvais traitements infligés par des soldats israéliens à des détenus palestiniens. Le deuxième porte sur l’action de civils israéliens, dont des parlementaires, qui ont tenté d’entraver l’enquête en pénétrant par effraction dans la base militaire où étaient détenus les soldats accusés de ces actes. Le troisième point concerne les accusations portées contre le général Tomer-Yerushalmi pour avoir organisé la fuite de la vidéo de surveillance dans les médias.

L’armée israélienne a le « devoir d’enquêter lorsqu’il existe un soupçon raisonnable de violence contre un détenu », a affirmé le général Tomer-Yerushalmi. Cependant, cette compréhension fondamentale — qu’il existe des actions qui ne doivent jamais être entreprises, même contre les détenus les plus vils — ne convainc plus tout le monde.

Le détenu palestinien a été renvoyé à Gaza le mois dernier dans le cadre d’un échange entre otages vivants et prisonniers palestiniens. L’affaire est toujours en instance devant le tribunal militaire.

Candace Owens et Norman Finkelstein : l’horreur de Gaza

L’entretien entre Candace Owens et l’écrivain universitaire Norman Finkelstein révèle des détails choquants sur la situation de Gaza. Le magazine The Economist a décrit Gaza comme « un troupeau de moutons, bons à rien », tandis que le principal responsable de l’ONU la qualifie de « décharge toxique ». Les Israéliens considèrent les Gazaouis comme de la vermine, des ordures, des rebuts humains.

L’entretien aborde le sujet du 7 octobre. Candace Owens avoue qu’elle ne connaissais pas l’histoire de l’État d’Israël moderne. Lorsqu’elle a entrepris une véritable enquête sur l’histoire d’Israël moderne, elle a eu l’impression d’être dans une cocotte-minute. Des personnes qu’elle croyait être ses amis lui déconseillaient de poursuivre dans cette voie. « Ils m’insultaient, me reprochant de flirter avec l’antisémitisme en voulant lire des livres et discuter avec des personnes ayant un point de vue opposé sur cette question. J’ai eu de gros ennuis, et je pèse mes mots, de la part de gens que je croyais être mes amis, lorsque j’ai reçu dans mon émission précédente celui qui est maintenant assis en face de moi, Norm Finkelstein. Ce qu’il m’a dit sur Gaza était choquant. »

Finkelstein commence par parler de 1948, année de la création de l’État d’Israël. Lors de cette création, environ 90 % de la population palestinienne autochtone d’Israël, soit près de 750 000 personnes, ont été expulsées. Parmi elles, environ 300 000 ont été déportées vers Gaza. C’est ainsi que Gaza est devenue Gaza. Aujourd’hui, environ 80 % de la population de Gaza est composée de réfugiés de la guerre de 1948 ou de leurs descendants. En vertu du droit international, un descendant de réfugié est considéré comme un réfugié. Gaza compte donc 80 % de réfugiés et environ 50 % d’enfants. Ensuite, à partir du moment où Gaza est passée sous administration égyptienne après la guerre de 1948, la situation a évolué.
« En 2002, Baruch Kimmerling, sociologue israélien de renom, publie un ouvrage intitulé « Politisite ». Comment décrit-il Gaza ? Il la qualifie de « plus grand camp de concentration jamais vu ». En 2004, Giora Island, alors à la tête du Conseil national de sécurité israélien, prend ses fonctions. Il est toujours en poste. Il est désormais actif en coulisses au sein du gouvernement Netanyahu. Comment décrit-il Gaza ? Il la décrit comme un immense camp de concentration. Or, il faut savoir que c’était avant le blocus israélien de Gaza. C’était déjà un véritable cauchemar », souligne Finkelstein.

Finkelstein évoque également le chantage financier : la récompense pour ceux qui soutiennent Israël, les pires ennuis pour ceux qui osent critiquer tel ou tel abus israélien. Un entretien passionnant à écouter jusqu’au bout.