Catégorie :International

Attentat sataniste contre une église catholique au Kansas: Trump demande une enquête

Attentat sataniste contre une église catholique au Kansas: Trump demande une enquête

Date: 2025-03-18

Le président Donald Trump a réagi vigoureusement lundi à une attaque perpétrée sur le lieu de culte Saint-Patrick à Wichita, dans le Kansas. Lors d’un point presse au John F. Kennedy Center for the Performing Arts à Washington D.C., il a déclaré : « C’est un acte terrible et inacceptable. Je vais y faire une enquête approfondie. »

Selon les autorités locales, l’attaque s’est produite le week-end dernier, juste avant la Saint-Patrick. Des individus ont brisé des statues, éteint des bougies et endommagé des vitraux de l’église. Ils ont également brûlé un drapeau américain et inscrit des messages haineux sur les murs.

Les graffitis trouvés sur place révélaient la nature satanique du complot, faisant allusion à une organisation qui prévoit d’organiser dans deux semaines une « messe noire » au capitol de l’État du Kansas. Le 16 mars, le département de police de Wichita a annoncé l’arrestation d’un suspect âgé de 23 ans.

« Cet acte est répugnant et représente le visage du mal », a déclaré la Conférence catholique du Kansas dans un communiqué. En réponse à cette attaque, l’organisation Catholic Vote a appelé à une manifestation pour protester contre les plans de cette cérémonie satanique.

Titre: Trump Appelle à une Enquête Après une Attaque Anti-Catholique au Kansas

Titre: Trump Appelle à une Enquête Après une Attaque Anti-Catholique au Kansas

Lundi, le président Donald Trump a répondu aux questions de la presse sur les actions possibles de l’administration pour protéger les lieux de culte après qu’une église catholique dans l’état du Kansas a été vandalisée.

« L’événement est très regrettable, » a-t-il déclaré lors d’un événement à Washington, D.C., indiquant son intention de se renseigner sur cette affaire.

Le dimanche 15 mars, des individus inconnus ont pénétré dans l’église catholique Saint-Patrick à Wichita où ils ont brisé plusieurs objets sacrés et détruit un drapeau américain. Des slogans haineux ont également été tagués sur les murs de la chapelle.

Les investigations révèlent que ces actes criminels visent à contrecarrer une cérémonie satanique prévue dans l’État du Kansas deux semaines plus tard, en lien avec le site Internet affilié au groupe The Satanic Grotto.

Le lendemain de cette attaque, les autorités locales ont arrêté un suspect âgé de 23 ans pour ces actes de vandalisme et d’intrusion.

Suite à cet incident, des organisations catholiques comme Catholic Vote planifient des manifestations publiques afin d’exprimer leur désaccord avec la tenue de cette cérémonie satanique.

Affrontements meurtriers entre l’armée libanaise et des forces syriennes à la frontière

Affrontements meurtriers entre l’armée libanaise et des forces syriennes à la frontière

2025-03-17

Depuis le dimanche 16 mars, une situation tendue se déroule à la frontière entre le Liban et la Syrie. Des soldats syriens appartenant à un groupe djihadiste pro-israélien ont traversé la frontière pour entrer au Liban. En réaction, des miliciens locaux affiliés au Hezbollah ont opposé une forte résistance.

Ces affrontements ont rapidement coûté trois vies parmi les soldats syriens et plusieurs blessés de part et d’autre. Des sources locales signalent six Syriens tués ainsi que deux civils syriens dont un enfant, et deux journalistes blessés dans des combats éclatés à la frontière.

La situation a empiré lundi, avec des accrochages violents entre les forces armées libanaises et les troupes syriennes près de Al-Qasr et d’Al-Machrafa. L’armée libanaise a riposté en frappant les positions syriennes situées dans la région.

Les forces libanaises ont également déployé des renforts au sud du Liban, notamment à Houch Sayed Ali, face aux incursions menaçantes de l’ennemi. L’artillerie libanaise a ciblé les positions syriennes en réaction.

Des groupes djihadistes syrien affiliés au Hayat Tahrir al-Sham se sont déplacés vers des zones civiles du Liban dans le but d’affaiblir la résistance locale, en utilisant des véhicules blindés et de l’armement léger. Ces mouvements ont été accompagnés par des tirs nourris à travers la frontière.

En réponse, les troupes libanaises ont renforcé leur présence dans le nord de la Békaa pour contrôler les zones stratégiques et empêcher toute nouvelle tentative d’infiltration syrienne.

Affrontements meurtriers à la frontière libano-syrienne

Affrontements meurtriers à la frontière libano-syrienne

Depuis dimanche, des tensions violentes se sont installées sur la frontière entre le Liban et la Syrie. Une unité spéciale syrienne a tenté d’entrer au Liban pour soutenir un gouvernement djihadiste allié à Israël, mais elle a été accueillie par une résistance farouche des miliciens locaux liés au Hezbollah. Trois soldats syriens ont rapidement trouvé la mort dans ces échanges.

Selon différentes sources, dont Al Hadath et Al Watan, l’affrontement s’est aggravé avec un bilan encore plus sévère : six Syriens auraient perdu la vie dans les combats. Deux journalistes syriens ont également été blessés sur leur territoire. Du côté libanais, deux civils sont morts et quatre autres ont été blessés ; un enfant a également perdu la vie.

Lundi matin, des combats éclatèrent de nouveau dans la zone frontalière, aux abords d’Al-Qasr et Al-Machrafa. Les forces libanaises ripostèrent en bombardant les positions syriennes pour contenir l’invasion.

Des renforts militaires ont été dépêchés vers Houch Sayed Ali, où une colonie frontalière a été prise par le nouveau gouvernement syrien la veille. L’armée libanaise a répondu en intensifiant ses tirs contre les positions syriennes dans cette région.

Les affrontements se sont également déplacés vers l’est du Liban, où des éléments djihadistes de Hayat Tahrir al-Sham ont tenté d’infiltrer le territoire libanais. Les forces gouvernementales syriennes ont affirmé avoir pris le contrôle d’Hawsh al-Sayyid Ali, une colonie frontalière importante.

Trump Conteste la Validité des Grâces Présidentielles Accordées par Biden

Trump Conteste la Validité des Grâces Présidentielles Accordées par Biden

Donald Trump a récemment critiqué les grâces présidentielles accordées par son successeur Joe Biden, affirmant qu’elles sont nulles car signées à l’aide d’une machine de reproduction de signature. Cette controverse survient alors que des figures controversées ont bénéficié de ces grâces.

Le 17 mars dernier, Trump a déclaré sur sa plateforme Truth Social que les grâces accordées par Biden étaient illégales car signées avec une autopen, un stylo automatique reproduisant la signature du président. Selon lui, cela signifie que Biden n’était pas au courant ni ne contrôlait le processus.

Parmi les bénéficiaires notables figuraient Anthony Fauci et Hunter Biden, ainsi que certains membres de la commission spéciale chargée d’enquêter sur l’attaque du Capitole. Trump suggère même qu’une enquête criminelle pourrait être ouverte contre ceux qui ont organisé ces grâces.

Trump a également mentionné que les grâces accordées à des membres proches de la famille Biden, comme Hunter Biden et d’autres frères et soeurs du président sortant, pourraient être suspectes. Selon lui, cela pourrait indiquer un abus de pouvoir.

Il a néanmoins ajouté que finalement ce sont les tribunaux qui trancheront sur la validité juridique de ces actes.

Titre: Le Rwanda met fin à ses relations diplomatiques avec la Belgique

Titre: Le Rwanda met fin à ses relations diplomatiques avec la Belgique

Le gouvernement du Rwanda a annoncé le 17 mars 2025 qu’il rompait ses liens diplomatiques avec la Belgique. Dans un communiqué officiel, le ministère des Affaires étrangères rwandais a expliqué que cette décision était le résultat d’une analyse approfondie de multiples facteurs.

La rupture des relations diplomatiques est directement liée à ce qu’il qualifie de « tentatives néocoloniales » de la Belgique en Afrique centrale. Le gouvernement belge est accusé de chercher à maintenir une influence dépassée dans les affaires régionales, notamment au Rwanda et dans le conflit qui touche actuellement l’est de la République Démocratique du Congo (RDC).

Conformément aux protocoles internationaux établis par la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques, le Rwanda a demandé à tous les diplomates belges présents dans le pays de quitter le territoire rwandais sous 48 heures. La république garantit cependant la sécurité des biens et archives diplomatiques belges pendant ce délai.

Le ministère rwandais critique également l’attitude persistante de la Belgique, allant même jusqu’à remonter à son rôle historique dans le Rwanda avant et pendant le génocide des Tutsis en 1994. Il estime que cette attitude a contribué indirectement aux tensions ethniques qui ont conduit au génocide.

Le contexte régional actuel de ce brusque changement diplomatique est lié à l’implication du Rwanda dans le soutien aux forces rebelles M23 en RDC, une organisation militaire accusée d’une série de violations graves des droits humains. Le Rwanda nie catégoriquement ces accusations et accuse la Belgique de partialité.

Titre: Le Rwanda met fin à ses relations diplomatiques avec la Belgique

Titre: Le Rwanda met fin à ses relations diplomatiques avec la Belgique

Le gouvernement rwandais a annoncé lundi qu’il rompt officiellement les relations diplomatiques avec la Belgique, invoquant des motifs historiques et contemporains de désaccord. Dans un communiqué officiel, le ministère des Affaires étrangères du Rwanda a indiqué que tous les diplomates belges devront quitter le pays dans les 48 heures à compter de cette déclaration.

La rupture des relations diplomatiques entre les deux pays est liée aux tentatives répétées de la Belgique, selon Kigali, d’entretenir des illusions néocoloniales. Le Rwanda critique en particulier l’influence belge dans le conflit qui oppose actuellement le Rwanda à la République Démocratique du Congo (RDC).

La Belgique est accusée par le gouvernement rwandais de prendre parti dans un conflit régional et d’utiliser des mensonges et manipulations pour créer une image négative du pays auprès du reste du monde. Ces actions, selon Kigali, visent à déstabiliser tant le Rwanda que la région.

Le ministère des Affaires étrangères souligne également l’implication historique de la Belgique dans les tensions ethniques qui ont culminé avec le génocide des Tutsis au Rwanda en 1994. La Belgique est accusée d’avoir alimenté ces tensions par le passé.

Ces récentes tensions s’inscrivent dans un contexte plus large de conflit régional impliquant la RDC et le Rwanda. Le gouvernement rwandais a été accusé de soutenir les rebelles du M23, une milice rebelle connue pour ses actes de barbarie en République Démocratique du Congo.

Trump et Poutine Discutent d’un Cessez-le-feu en Ukraine

Trump et Poutine Discutent d’un Cessez-le-feu en Ukraine

Le président américain Donald Trump a annoncé dimanche qu’il aurait une conversation avec son homologue russe Vladimir Poutine mardi prochain. Le sujet principal sera le cessez-le-feu dans la guerre qui sévit actuellement en Ukraine.

Trump, lors d’une interview à bord de l’Air Force One, a dit : « Je vais parler au président Poutine ce mardi pour discuter du cessez-le-feu. Beaucoup de travail a été réalisé pendant le week-end et nous voulons savoir si nous pouvons mettre fin à cette guerre maintenant. »

Selon une déclaration du porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov rapportée par l’agence russe Tass, les discussions entre Trump et Poutine sont bien confirmées.

Trump est optimiste quant aux perspectives d’un accord de cessez-le-feu avec la Russie. Lorsqu’on lui a demandé quelles concessions Moscou pourrait apporter à un éventuel accord de paix, il a répondu que les discussions toucheraient des questions comme le partage de certaines terres et de centrales électriques.

Il est important de noter qu’à la suite d’une discussion qui s’est tenue le 11 mars entre des responsables ukrainiens et américains à Djeddah, en Arabie Saoudite, l’Ukraine a accepté un cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie.

En échange, les États-Unis ont repris leurs livraisons d’armes et leur partage d’informations avec l’Ukraine.

Lorsqu’on interrogeait l’envoyé américain Steve Witkoff sur son entretien du 14 mars en Russie avec le président Poutine, ce dernier a affirmé que la discussion était positive et axée sur des solutions. « Les deux parties ont réduit leurs divergences et nous sommes désormais assis à la table des négociations », a-t-il dit.

Witkoff a également noté que quatre régions – Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijia – sous le contrôle de l’armée russe sont essentielles dans les discussions actuelles. Il a ajouté qu’un dialogue était en cours avec des responsables ukrainiens et russes ainsi qu’avec la France, la Grande-Bretagne, la Norvège et la Finlande.

De son côté, le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexandre Grouchko a déclaré que Moscou chercherait à obtenir des garanties pour s’assurer de l’indifférence de l’OTAN concernant l’adhésion de Kiev.

Discussions Trump et Poutine pour un Cessez-le-feu en Ukraine

Discussions Trump et Poutine pour un Cessez-le-feu en Ukraine

Le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé dimanche qu’il discuterait mardi avec son homologue russe Vladimir Poutine pour tenter de mettre fin au conflit en Ukraine par la conclusion d’un accord de cessez-le-feu. « Nous allons travailler dur afin que nous puissions apporter une paix durable à ce pays », a déclaré Trump lors d’une conférence de presse à bord de l’Air Force One.

Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a confirmé via Tass, l’agence de presse russe, les pourparlers prévus entre Trump et Poutine. Trump a indiqué qu’il y avait des « chances très bonnes » d’aboutir à un accord.

Selon le porte-parole américain Steve Witkoff, la rencontre du 14 mars avec Poutine en Russie a été positive et axée sur des solutions concrètes. Les discussions ont porté sur les quatre régions sous contrôle russe : Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijia.

Le vice-ministre russe Alexandre Grouchko a également souligné que Moscou chercherait à inclure dans l’accord de cessez-lefeu des garanties de sécurité empêchant l’Ukraine d’adhérer à l’OTAN.

Les alliés occidentaux se réunissent cette semaine au Royaume-Uni pour établir des plans visant à protéger l’Ukraine si un cessez-lefeu est conclu. Le Premier ministre britannique, Sir Keir Starmer, a indiqué que le sommet impliquerait les chefs militaires de pays alliés d’Europe et d’autres parties du monde.

Persécution des chrétiens au Nigeria: l’évêque Anagbe alerte les États-Unis

Persécution des chrétiens au Nigeria: l’évêque Anagbe alerte les États-Unis

Date: 2025-03-17

Un évêque catholique nigérian a récemment dénoncé publiquement la violence croissante à l’encontre des chrétiens dans son pays lors d’une audience devant une commission du Congrès américain. Selon Wilfred Anagbe, dirigeant du diocèse de Makurdi, les musulmans radicaux sont engagés dans une stratégie visant à éliminer le christianisme au Nigeria.

« Les attaques contre nos communautés chrétiennes se multiplient et la situation s’aggrave », a déclaré Mgr Anagbe. « Nous sommes confrontés à des enlèvements, des meurtres et même l’imposition de la loi islamique dans des zones autrefois dominées par le christianisme. »

L’évêque a également signalé que les autorités nigérianes semblent souvent inactives face aux actes de violence commis par les groupes musulmans radicaux, ne fournissant pas l’aide et la protection nécessaires demandés.

« La persécution des chrétiens au Nigeria est alarmante », a affirmé Mgr Anagbe. « Nos églises sont détruites, nos terres agricoles confisquées et nos communautés terrorisées. »

Il a appelé les États-Unis à désigner le Nigéria comme un « pays particulièrement préoccupant » en matière de liberté religieuse, une mesure qui pourrait entraîner des sanctions diplomatiques contre le pays.

Selon plusieurs sources, 145 prêtres catholiques ont été enlevés au Nigeria au cours du dernier décennie et plus de 10% de la population est catholique. Le Nigeria, où les musulmans et les chrétiens se disputent depuis des années le contrôle d’une partie du territoire, reste l’un des pays les plus dangereux pour les croyants dans le monde.