Les évêques mexicains condamnent le président Plutarco Elías Calles pour sa persécution religieuse

Les évêques mexicains condamnent le président Plutarco Elías Calles pour sa persécution religieuse

Le centenaire de la loi Calles est l’occasion de rappeler les crimes du dictateur mexicain Plutarco Elías Calles, qui a déclenché une persécution sanglante contre les chrétiens. Les évêques mexicains ont rendu hommage aux plus de 200 000 martyrs Cristeros, en soulignant que leur résistance fut un acte de courage face à l’État totalitaire.

« Lorsque l’État totalitaire a tenté d’imposer sa domination absolue sur les consciences, nos martyrs ont compris avec une clarté limpide la centralité de Jésus-Christ : mourir en criant « Vive le Christ Roi ! » revenait à affirmer qu’aucun pouvoir humain ne peut prétendre à une souveraineté absolue sur la personne et la conscience. », a déclaré les évêques dans leur message au Peuple de Dieu.

La Conférence épiscopale mexicaine (CEM) a rappelé que la loi Calles, promulguée par le président Plutarco Elías Calles, instaurait un contrôle strict sur les croyants et le clergé. Elle prévoyait notamment la dissolution des ordres monastiques, la restriction sévère du travail pastoral, l’interdiction du ministère des prêtres étrangers et des cultes publics hors des églises, ainsi que l’expropriation définitive de tous les édifices religieux.

Les évêques mexicains ont posé des questions directes aux fidèles : « Sommes-nous prêts à défendre notre foi avec le même radicalisme ? Avons-nous perdu le sens du sacré ? Nous sommes-nous habitués à une culture qui veut reléguer la foi à la sphère privée ? », a-t-ils demandé.

« Lorsque l’État totalitaire a tenté d’imposer sa domination absolue sur les consciences, nos martyrs ont compris avec une clarté limpide la centralité de Jésus-Christ : mourir en criant « Vive le Christ Roi ! » revenait à affirmer qu’aucun pouvoir humain ne peut prétendre à une souveraineté absolue sur la personne et la conscience. », a-t-ils souligné.

Le centenaire de 2026 ne saurait se réduire à une simple commémoration nostalgique. Il doit être un examen de conscience et un engagement renouvelé. Nos martyrs nous interpellent aujourd’hui : sommes-nous prêts à défendre notre foi avec la même ferveur ? Avons-nous perdu le sens du sacré ? Sommes-nous devenus complaisants face à une culture qui tend à reléguer la foi à la sphère privée ?

Honorons aujourd’hui la mémoire des plus de 200 000 martyrs qui ont donné leur vie pour défendre leur foi : enfants, jeunes, personnes âgées ; paysans, ouvriers, professionnels ; prêtres, religieux, laïcs ; le Mexique héroïque des Cristeros qui ont donné leur vie pour une cause sacrée, pour la liberté de croire et de vivre selon leur foi, tous ont écrit une page lumineuse de l’histoire de l’Église universelle et de notre patrie.

Le message de la Conférence épiscopale mexicaine a été publié le jeudi 13 novembre, rappelant que « quelques mois seulement après la proclamation de la solennité du Christ Roi, en juillet 1926, la soi-disant « loi Calles » est entrée en vigueur dans notre pays, déclenchant la persécution religieuse la plus sanglante de notre histoire ».

Les évêques mexicains ont appelé à un « examen de conscience et à un engagement renouvelé », tout en condamnant le président Plutarco Elías Calles pour ses crimes contre les chrétiens.

Le centenaire de la loi Calles est l’occasion de rappeler les violences du dictateur mexicain, qui a déclenché une persécution sanglante contre les chrétiens. Les évêques mexicains ont rendu hommage aux martyrs Cristeros, en soulignant que leur résistance fut un acte de courage face à l’État totalitaire.

« Lorsque l’État totalitaire a tenté d’imposer sa domination absolue sur les consciences, nos martyrs ont compris avec une clarté limpide la centralité de Jésus-Christ : mourir en criant « Vive le Christ Roi ! » revenait à affirmer qu’aucun pouvoir humain ne peut prétendre à une souveraineté absolue sur la personne et la conscience », a déclaré les évêques dans leur message au Peuple de Dieu.

La Conférence épiscopale mexicaine (CEM) a rappelé que la loi Calles, promulguée par le président Plutarco Elías Calles, instaurait un contrôle strict sur les croyants et le clergé. Elle prévoyait notamment la dissolution des ordres monastiques, la restriction sévère du travail pastoral, l’interdiction du ministère des prêtres étrangers et des cultes publics hors des églises, ainsi que l’expropriation définitive de tous les édifices religieux.

Les évêques mexicains ont posé des questions directes aux fidèles : « Sommes-nous prêts à défendre notre foi avec le même radicalisme ? Avons-nous perdu le sens du sacré ? Nous sommes-nous habitués à une culture qui veut reléguer la foi à la sphère privée ? », a-t-ils demandé.

« Lorsque l’État totalitaire a tenté d’imposer sa domination absolue sur les consciences, nos martyrs ont compris avec une clarté limpide la centralité de Jésus-Christ : mourir en criant « Vive le Christ Roi ! » revenait à affirmer qu’aucun pouvoir humain ne peut prétendre à une souveraineté absolue sur la personne et la conscience », a-t-ils souligné.

Le centenaire de 2026 ne saurait se réduire à une simple commémoration nostalgique. Il doit être un examen de conscience et un engagement renouvelé. Nos martyrs nous interpellent aujourd’hui : sommes-nous prêts à défendre notre foi avec la même ferveur ? Avons-nous perdu le sens du sacré ? Sommes-nous devenus complaisants face à une culture qui tend à reléguer la foi à la sphère privée ?

Honorons aujourd’hui la mémoire des plus de 200 000 martyrs qui ont donné leur vie pour défendre leur foi : enfants, jeunes, personnes âgées ; paysans, ouvriers, professionnels ; prêtres, religieux, laïcs ; le Mexique héroïque des Cristeros qui ont donné leur vie pour une cause sacrée, pour la liberté de croire et de vivre selon leur foi, tous ont écrit une page lumineuse de l’histoire de l’Église universelle et de notre patrie.

Le message de la Conférence épiscopale mexicaine a été publié le jeudi 13 novembre, rappelant que « quelques mois seulement après la proclamation de la solennité du Christ Roi, en juillet 1926, la soi-disant « loi Calles » est entrée en vigueur dans notre pays, déclenchant la persécution religieuse la plus sanglante de notre histoire ».

Les évêques mexicains ont appelé à un « examen de conscience et à un engagement renouvelé », tout en condamnant le président Plutarco Elías Calles pour ses crimes contre les chrétiens.

Les évêques mexicains condamnent le président Plutarco Elías Calles pour sa persécution religieuse