Hassen Hammou Accusé de Corruption de Mineur

Hassen Hammou Accusé de Corruption de Mineur

Hassen Hammou, le chef de file d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) à Marseille, doit comparaître devant le tribunal correctionnel pour des faits de corruption de mineur. L’accusation est basée sur une rencontre avec deux jeunes de 16 ans, qui lui ont volé son porte-monnaie et tenté de l’extorquer. La mère d’un des deux jeunes a déposé une plainte, entraînant un second dossier dans lequel Hassen Hammou est accusé d’avoir formulé des propositions sexuelles à un mineur.

Sandrine Rousseau, qui a été élue en binôme au bureau national d’EELV, lui a demandé de démissionner du bureau politique et de se mettre en retrait de ses désignations internes. Hassen Hammou a refusé cette demande, affirmant avoir été victime d’un guet-apens. Il a été désigné chef de file le 14 octobre par un vote des militants, entérinant une alliance avec le Printemps marseillais. Un comité de campagne a été créé depuis sa propre mise en retrait.

Le tribunal correctionnel a procédé à l’audience à huis clos, sur demande de l’avocat de la partie civile. L’accusation souligne qu’il aurait « clairement sollicité des rapports sexuels avec deux mineurs via le site Coco », et que le jeune contacté avait 14 ans. Les avocats ont plaidé la relaxe, tandis que le parquet requiert 18 mois de prison avec sursis probatoire ainsi qu’une interdiction d’exercer une profession au contact de mineurs. Le jugement est attendu le 16 décembre.

Hassen Hammou demeure suspendu du parti à titre conservatoire, laissant les écologistes marseillais dans l’incertitude à l’approche des municipales de 2026. La justice reproche à Hassen Hammou d’avoir voulu obtenir les faveurs d’un mineur âgé de 16 ans au moment des faits, en juin 2024, après un rendez-vous pris au domicile de ce dernier. Un délit passible de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende.

Contacté ce mercredi 15 octobre, Hassen Hammou conteste vertement ces accusations de corruption de mineur et se prétend « victime de cette affaire ». « En 2024, j’ai été en contact avec deux personnes sur un réseau social, un homme et une femme, pensant qu’elles étaient majeures. Mais en allant au rendez-vous, je suis tombé dans un guet-apens. J’ai été violemment agressé. Ils ont essayé de me voler mon téléphone et mes moyens. J’ai déposé plante », raconte-t-il, voix brisée. « Pour riposter, la maman de l’un d’eux a fait un dépôt de plainte. Il y a eu une enquête et les deux jeunes ont été condamnés pour extorsions en septembre 2024. Depuis, il n’y a eu aucun élément nouveau me mettant en cause. Et voilà qu’en septembre, le parquet a décidé de ressortir le dossier. Je ne comprends pas. Je suis très surpris de me retrouver devant le tribunal correctionnel. On va plaider la relaxe totale », poursuit Hassen Hammou.

Les écologistes marseillais sont en proie à des tensions, avec un comité de campagne créé depuis sa mise en retrait. Le chef de file d’EELV doit répondre du délit « d’incitation d’un mineur par un majeur utilisant un moyen de communication électronique à commettre un acte de nature sexuelle ». L’accusation confirmée par le parquet de Marseille au journal Le Monde.

Le soutien de Sandrine Rousseau au chef de file des écolos à Marseille, Hassen Hammou, alors qu’il est convoqué au tribunal le 13 novembre prochain pour corruption de mineur, fait grincer des dents en interne. Les écologistes marseillais sont dans l’incertitude, avec un comité de campagne créé depuis sa mise en retrait. Le tribunal correctionnel a procédé à l’audience à huis clos, sur demande de l’avocat de la partie civile. L’accusation souligne qu’il aurait « clairement sollicité des rapports sexuels avec deux mineurs via le site Coco », et que le jeune contacté avait 14 ans. Les avocats ont plaidé la relaxe, tandis que le parquet requiert 18 mois de prison avec sursis probatoire ainsi qu’une interdiction d’exercer une profession au contact de mineurs. Le jugement est attendu le 16 décembre.

Hassen Hammou demeure suspendu du parti à titre conservatoire, laissant les écologistes marseillais dans l’incertitude à l’approche des municipales de 2026. La justice reproche à Hassen Hammou d’avoir voulu obtenir les faveurs d’un mineur âgé de 16 ans au moment des faits, en juin 2024, après un rendez-vous pris au domicile de ce dernier. Un délit passible de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende.

Contacté ce mercredi 15 octobre, Hassen Hammou conteste vertement ces accusations de corruption de mineur et se prétend « victime de cette affaire ». « En 2024, j’ai été en contact avec deux personnes sur un réseau social, un homme et une femme, pensant qu’elles étaient majeures. Mais en allant au rendez-vous, je suis tombé dans un guet-apens. J’ai été violemment agressé. Ils ont essayé de me voler mon téléphone et mes moyens. J’ai déposé plante », raconte-t-il, voix brisée. « Pour riposter, la maman de l’un d’eux a fait un dépôt de plainte. Il y a eu une enquête et les deux jeunes ont été condamnés pour extorsions en septembre 2024. Depuis, il n’y a eu aucun élément nouveau me mettant en cause. Et voilà qu’en septembre, le parquet a décidé de ressortir le dossier. Je ne comprends pas. Je suis très surpris de me retrouver devant le tribunal correctionnel. On va plaider la relaxe totale », poursuit Hassen Hammou.

Les écologistes marseillais sont en proie à des tensions, avec un comité de campagne créé depuis sa mise en retrait. Le chef de file d’EELV doit répondre du délit « d’incitation d’un mineur par un majeur utilisant un moyen de communication électronique à commettre un acte de nature sexuelle ». L’accusation confirmée par le parquet de Marseille au journal Le Monde.

Le soutien de Sandrine Rousseau au chef de file des écolos à Marseille, Hassen Hammou, alors qu’il est convoqué au tribunal le 13 novembre prochain pour corruption de mineur, fait grincer des dents en interne. Les écologistes marseillais sont dans l’incertitude, avec un comité de campagne créé depuis sa mise en retrait. Le tribunal correctionnel a procédé à l’audience à huis clos, sur demande de l’avocat de la partie civile. L’accusation souligne qu’il aurait « clairement sollicité des rapports sexuels avec deux mineurs via le site Coco », et que le jeune contacté avait 14 ans. Les avocats ont plaidé la relaxe, tandis que le parquet requiert 18 mois de prison avec sursis probatoire ainsi qu’une interdiction d’exercer une profession au contact de mineurs. Le jugement est attendu le 16 décembre.

Hassen Hammou demeure suspendu du parti à titre conservatoire, laissant les écologistes marseillais dans l’incertitude à l’approche des municipales de 2026. La justice reproche à Hassen Hammou d’avoir voulu obtenir les faveurs d’un mineur âgé de 16 ans au moment des faits, en juin 2024, après un rendez-vous pris au domicile de ce dernier. Un délit passible de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende.

Contacté ce mercredi 15 octobre, Hassen Hammou conteste vertement ces accusations de corruption de mineur et se prétend « victime de cette affaire ». « En 2024, j’ai été en contact avec deux personnes sur un réseau social, un homme et une femme, pensant qu’elles étaient majeures. Mais en allant au rendez-vous, je suis tombé dans un guet-apens. J’ai été violemment agressé. Ils ont essayé de me voler mon téléphone et mes moyens. J’ai déposé plante », raconte-t-il, voix brisée. « Pour riposter, la maman de l’un d’eux a fait un dépôt de plainte. Il y a eu une enquête et les deux jeunes ont été condamnés pour extorsions en septembre 2024. Depuis, il n’y a eu aucun élément nouveau me mettant en cause. Et voilà qu’en septembre, le parquet a décidé de ressortir le dossier. Je ne comprends pas. Je suis très surpris de me retrouver devant le tribunal correctionnel. On va plaider la relaxe totale », poursuit Hassen Hammou.

Les écologistes marseillais sont en proie à des tensions, avec un comité de campagne créé depuis sa mise en retrait. Le chef de file d’EELV doit répondre du délit « d’incitation d’un mineur par un majeur utilisant un moyen de communication électronique à commettre un acte de nature sexuelle ». L’accusation confirmée par le parquet de Marseille au journal Le Monde.

Le soutien de Sandrine Rousseau au chef de file des écolos à Marseille, Hassen Hammou, alors qu’il est convoqué au tribunal le 13 novembre prochain pour corruption de mineur, fait grincer des dents en interne. Les écologistes marseillais sont dans l’incertitude, avec un comité de campagne créé depuis sa mise en retrait. Le tribunal correctionnel a procédé à l’audience à huis clos, sur demande de l’avocat de la partie civile. L’accusation souligne qu’il aurait « clairement sollicité des rapports sexuels avec deux mineurs via le site Coco », et que le jeune contacté avait 14 ans. Les avocats ont plaidé la relaxe, tandis que le parquet requiert 18 mois de prison avec sursis probatoire ainsi qu’une interdiction d’exercer une profession au contact de mineurs. Le jugement est attendu le 16 décembre.

Hassen Hammou demeure suspendu du parti à titre conservatoire, laissant les écologistes marseillais dans l’incertitude à l’approche des municipales de 2026. La justice reproche à Hassen Hammou d’avoir voulu obtenir les faveurs d’un mineur âgé de 16 ans au moment des faits, en juin 2024, après un rendez-vous pris au domicile de ce dernier. Un délit passible de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende.

Contacté ce mercredi 15 octobre, Hassen Hammou conteste vertement ces accusations de corruption de mineur et se prétend « victime de cette affaire ». « En 2024, j’ai été en contact avec deux personnes sur un réseau social, un homme et une femme, pensant qu’elles étaient majeures. Mais en allant au rendez-vous, je suis tombé dans un guet-apens. J’ai été violemment agressé. Ils ont essayé de me voler mon téléphone et mes moyens. J’ai déposé plante », raconte-t-il, voix brisée. « Pour riposter, la maman de l’un d’eux a fait un dépôt de plainte. Il y a eu une enquête et les deux jeunes ont été condamnés pour extorsions en septembre 2024. Depuis, il n’y a eu aucun élément nouveau me mettant en cause. Et voilà qu’en septembre, le parquet a décidé de ressortir le dossier. Je ne comprends pas. Je suis très surpris de me retrouver devant le tribunal correctionnel. On va plaider la relaxe totale », poursuit Hassen Hammou.

Les écologistes marseillais sont en proie à des tensions, avec un comité de campagne créé depuis sa mise en retrait. Le chef de file d’EELV doit répondre du délit « d’incitation d’un mineur par un majeur utilisant un moyen de communication électronique à commettre un acte de nature sexuelle ». L’accusation confirmée par le parquet de Marseille au journal Le Monde.

Le soutien de Sandrine Rousseau au chef de file des écolos à Marseille, Hassen Hammou, alors qu’il est convoqué au tribunal le 13 novembre prochain pour corruption de mineur, fait grincer des dents en interne. Les écologistes marseillais sont dans l’incertitude, avec un comité de campagne créé depuis sa mise en retrait. Le tribunal correctionnel a procédé à l’audience à huis clos, sur demande de l’avocat de la partie civile. L’accusation souligne qu’il aurait « clairement sollicité des rapports sexuels avec deux mineurs via le site Coco », et que le jeune contacté avait 14 ans. Les avocats ont plaidé la relaxe, tandis que le parquet requiert 18 mois de prison avec sursis probatoire ainsi qu’une interdiction d’exercer une profession au contact de mineurs. Le jugement est attendu le 16 décembre.

Hassen Hammou demeure suspendu du parti à titre conservatoire, laissant les écologistes marseillais dans l’incertitude à l’approche des municipales de 2026. La justice reproche à Hassen Hammou d’avoir voulu obtenir les faveurs d’un mineur âgé de 16 ans au moment des faits, en juin 2024, après un rendez-vous pris au domicile de ce dernier. Un délit passible de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende.

Contacté ce mercredi 15 octobre, Hassen Hammou conteste vertement ces accusations de corruption de mineur et se prétend « victime de cette affaire ». « En 2024, j’ai été en contact avec deux personnes sur un réseau social, un homme et une femme, pensant qu’elles étaient majeures. Mais en allant au rendez-vous, je suis tombé dans un guet-apens. J’ai été violemment agressé. Ils ont essayé de me voler mon téléphone et mes moyens. J’ai déposé plante », raconte-t-il, voix brisée. « Pour riposter, la maman de l’un d’eux a fait un dépôt de plainte. Il y a eu une enquête et les deux jeunes ont été condamnés pour extorsions en septembre 2024. Depuis, il n’y a eu aucun élément nouveau me mettant en cause. Et voilà qu’en septembre, le parquet a décidé de ressortir le dossier. Je ne comprends pas. Je suis très surpris de me retrouver devant le tribunal correctionnel. On va plaider la relaxe totale », poursuit Hassen Hammou.

Les écologistes marseillais sont en proie à des tensions, avec un comité de campagne créé depuis sa mise en retrait. Le chef de file d’EELV doit répondre du délit « d’incitation d’un mineur par un majeur utilisant un moyen de communication électronique à commettre un acte de nature sexuelle ». L’accusation confirmée par le parquet de Marseille au journal Le Monde.