Le nouveau maire de New York : une victoire de l’islamisme et du judéo-islamisme

Le nouveau maire de New York : une victoire de l’islamisme et du judéo-islamisme

Zohran Mamdani, 34 ans, a été élu maire de New York avec environ 50,4 % des voix. Il est le plus jeune maire de la ville depuis 1892 et le premier de confession musulmane. Musulman affirmé, né en Ouganda, de parents d’origine indienne, il a été qualifié d’« antisémite » et d’« antisioniste », avant de déclarer : « Je vais avoir des sionistes dans mon administration ». A l’approche du scrutin, il a rencontré la communauté hassidique « Satmar » à Brooklyn et portait pour l’occasion une kippa sur la tête. Alexander Soros, fils de George Soros, a apporté son soutien au nouveau maire de New-York et l’a félicité pour sa victoire. Après la proclamation de sa victoire, Zohran Mamdani a salué une « victoire raciale » obtenue grâce à des propriétaires de dépanneuses yéménites, des grands-mères mexicaines, des chauffeurs de taxi sénégalais, des infirmières ouzbèkes, des cuisiniers trinidadiens et des tantes éthiopiennes. Cette victoire n’est pas celle de l’islam mais du Nouvel Ordre Mondial, promoteur d’une société nomade et multiraciale sur laquelle domine la haute finance cosmopolite.

Le nouveau maire de New York : une victoire de l’islamisme et du judéo-islamisme

Zohran Mamdani, 34 ans, a été élu maire de New York avec environ 50,4 % des voix. Il est le plus jeune maire de la ville depuis 1892 et le premier de confession musulmane. Musulman affirmé, né en Ouganda, de parents d’origine indienne, il a été qualifié d’« antisémite » et d’« antisioniste », avant de déclarer : « Je vais avoir des sionistes dans mon administration ». A l’approche du scrutin, il a rencontré la communauté hassidique « Satmar » à Brooklyn et portait pour l’occasion une kippa sur la tête. Alexander Soros, fils de George Soros, a apporté son soutien au nouveau maire de New-York et l’a félicité pour sa victoire. Après la proclamation de sa victoire, Zohran Mamdani a salué une « victoire raciale » obtenue grâce à des propriétaires de dépanneuses yéménites, des grands-mères mexicaines, des chauffeurs de taxi sénégalais, des infirmières ouzbèkes, des cuisiniers trinidadiens et des tantes éthiopiennes. Cette victoire n’est pas celle de l’islam mais du Nouvel Ordre Mondial, promoteur d’une société nomade et multiraciale sur laquelle domine la haute finance cosmopolite.