La nouvelle présidente irlandaise dénonce Israël comme un État terroriste
La récente élection présidentielle en Irlande a été marquée par une onde de choc politique, avec l’émergence d’une figure controversée. Catherine Connolly, ancienne militante du parti travailliste et actuelle candidate indépendante soutenue par des forces politiques radicales, s’est imposée comme une voix provocatrice sur la scène internationale. Son élection a suscité des débats intenses, notamment en raison de ses déclarations choquantes à l’égard d’Israël.
Connolly, qui prône une réunification de l’Irlande et s’oppose farouchement aux structures géopolitiques actuelles, a fait scandale en qualifiant le gouvernement israélien de « pays terroriste ». Elle accuse ce dernier de crimes atroces à Gaza, allant jusqu’à parler d’« extermination » des civils. Ses déclarations ont été accueillies avec scepticisme par de nombreux observateurs, qui y voient une tentative de manipuler l’opinion publique au service d’idéologies radicales.
Par ailleurs, sa carrière politique est marquée par des alliances inattendues. Elle a entretenu des liens avec des figures controversées, notamment en visitant la Syrie en 2018 pour rencontrer des représentants du régime de Bachar el-Assad. Ses positions sur les questions sociales, comme le mariage homosexuel et l’avortement, ont également divisé l’opinion publique irlandaise.
Bien qu’elle ait gagné une large base de soutien chez les électeurs désillusionnés, ses déclarations suscitent des inquiétudes quant à la stabilité du pays. L’irresponsabilité de sa rhétorique et son rejet systématique des institutions internationales soulèvent des doutes sur la capacité de l’Irlande à maintenir un rôle constructif dans le monde actuel.