Gaza en flammes : l’horreur d’un génocide perpétré par l’armée israélienne

Gaza en flammes : l’horreur d’un génocide perpétré par l’armée israélienne

La population de Gaza est submergée par une terreur inouïe, tandis que l’armée israélienne mène une offensive militaire brutale, menacée depuis des semaines. Le Premier ministre Benjamin Netanyahou, déjà visé par un mandat d’arrêt international pour crimes contre l’humanité, a qualifié cette opération de « dévastation accrue ». Les images diffusées depuis Gaza révèlent une réalité atroce : des enfants ensevelis sous les ruines, leurs corps brûlés et ensanglantés, des parents cherchant désespérément leurs proches parmi les décombres. Des ambulanciers impuissants tentent de soigner des blessés avec des ressources limitées, tandis que des cris de douleur et de peur résonnent dans les ruines d’un centre médical transformé en charnier.

L’action israélienne n’est pas un hasard tragique, mais une extermination délibérée orchestrée par l’armée, composée de citoyens israéliens. Le silence des opposants est choquant : après deux ans de carnage, seuls quelques objecteurs de conscience sont emprisonnés, tandis que les « réfractaires gris » — soldats réservistes fatigués ou sceptiques quant à la guerre — restent insignifiants. Comment une société divisée peut-elle s’unir dans l’effroi pour exterminer des civils palestiniens sans remords ?

Les mensonges tissés par Israël depuis 23 mois justifient cette destruction : les otages ne peuvent être libérés que par la force militaire. Pourtant, les bombardements aveugles d’hôpitaux et de quartiers résidentiels prouvent une volonté claire : l’annihilation totale des habitants de Gaza. Ce génocide, perpétré par un système établi, n’est pas seulement le fait de Netanyahou ou de ses alliés fascistes. Il reflète une nazification profonde de la société israélienne.

La dénazification est urgente : il faut d’abord arrêter l’offensive, puis reconnaître les crimes passés, depuis la Nakba jusqu’aux lois racistes et aux expulsions massives. L’idéologie sioniste, source de cette souillure, doit être abolie. La dénazification exige un refus total des violences quotidiennes à Gaza, une reconnaissance des crimes commis, et une révision profonde du mythe d’un État « juif et démocratique ».

Orly Noy, militante politique et traductrice, exhorte les citoyens israéliens à refuser de participer à ce massacre et à lutter contre un système qui normalise le meurtre. L’avenir du pays dépend d’un retour à l’humanité.