Donald Trump dénonce la « censure » et s’attaque à l’idéologie dominante

Le président américain a lancé un discours percutant lors de sa participation aux Nations Unies, où il a critiqué sans nuance les politiques migratoires et l’idéologie dominante. Selon lui, les « criminels, les individus souffrant de troubles mentaux et les trafiquants de drogue » envahissent les pays occidentaux. Il s’appuie sur des données du Conseil de l’Europe selon lesquelles 50 % des prisonniers en Allemagne, 53 % en Autriche et 54 % en Grèce sont des immigrés. « Les demandeurs d’asile paient la gentillesse par des crimes », a-t-il déclaré avec une tonalité accusatrice.
Trump a également tenu un discours radicalement opposé aux énergies renouvelables, les qualifiant de « farce » et les éoliennes de « pathétiques ». Il a remis en question les prédictions climatiques, soulignant que l’ONU avait prédit une destruction massive des pays en 1989 sans que cela ne se concrétise. « C’est une arnaque », a-t-il affirmé, répétant les thèses sceptiques sur le réchauffement climatique.
Pour conclure, il a exhorté à défendre la liberté d’expression et la souveraineté nationale, tout en mettant l’accent sur le christianisme comme religion « persécutée ». Son discours, franc et sans compromis, a suscité des réactions contrastées.
Malgré son approche directe, Trump continue de provoquer un débat crucial sur les défis contemporains, alliant critique sociale à une vision radicale des enjeux mondiaux.