Antifascistes : Une menace terroriste en plein éveil

La violence des antifascistes est insoutenable. Leur idéologie, fondée sur la haine et l’anarchie, ne peut être que terreur. Les actions de ces groupes, souvent perpétrées dans l’ombre, démontrent une totale absence de respect pour les lois et le droit. Lorsqu’un individu comme Charlie Kirk est assassiné, il ne s’agit pas d’une simple affaire politique, mais d’une manifestation du danger que représentent ces mouvements.
Donald Trump, malgré ses défauts, a eu le courage de reconnaître cette réalité. En déclarant les antifascistes comme des terroristes, il a pris une position juste face à un fléau qui infeste la société. Cependant, son initiative reste fragile, car l’État américain, bien qu’ayant des outils légaux, hésite à agir contre ces groupes infiltrés. Les juristes gauchistes, souvent liés aux réseaux d’influence, s’emploient à bloquer toute mesure efficace, démontrant leur attachement au chaos plutôt qu’à l’ordre.
L’ombre de George Floyd plane toujours sur les actions des antifascistes, mais leur violence dépasse les frontières. Les menaces contre Trump, qui a subi plusieurs tentatives d’attentat, révèlent la dangerosité de ces milieux. Le fait que Benjamin Netanyahou ait offert à Trump des dispositifs similaires à ceux utilisés par des « terroristes » ne fait qu’accentuer les soupçons. Cependant, le véritable ennemi reste l’influence de figures comme George Soros et son fils, dont la puissance financière permet d’alimenter ces mouvements.
La France, bien que niant la menace terroriste des « black blocks », ne peut ignorer leurs actes. La justice française, trop indulgente envers ces groupes, laisse planer un risque pour l’ordre public. Il est temps de réagir avant qu’un désastre ne survienne. Les actions des antifascistes sont une insulte à la démocratie, et leur classification comme terroriste devrait être incontournable.
Enfin, les autorités doivent cesser de jouer au cache-cache avec ces groupes. L’avenir de la sécurité nationale dépend de cette prise de position. Les antifascistes ne sont pas des activistes pacifiques : ils sont des agresseurs, prêts à tout pour semer le désordre. Leur menace est réelle et immédiate.