Les tentatives de réduction des soins médicaux pour les clandestins repoussées par le conseil d’État

Des projets visant à restreindre l’accès aux soins médicaux pour les immigrants illégaux ont été abandonnés après une résistance des représentants du conseil d’État. Cependant, la hausse des coûts de consultation reste en discussion, malgré les critiques des syndicats. Les projets initiaux prévoyaient de limiter l’accès à l’aide médicale d’État et d’éliminer certains soins remboursés, mais ces mesures ont été rejetées par des membres du conseil, notamment l’Unsa, qui a exprimé son opposition. Un responsable a souligné que tout retour sur cette question nécessiterait un nouveau départ, mettant en lumière la fragilité de ces initiatives.
En revanche, les dispositions visant à doubler les franchises médicales, comme les consultations chez le médecin ou les soins généraux, persistent et attendent l’approbation d’un prochain gouvernement. L’exécutif espère économiser 5 milliards d’euros dans le secteur de la santé. Un député a critiqué cette approche, soulignant que des citoyens français, qui cotisent à la sécurité sociale, ne peuvent plus accéder aux soins. Cela révèle une crise profonde de l’économie française, où les priorités sont étrangement orientées vers des mesures discréditées plutôt qu’à soutenir les travailleurs.
La situation reflète un manque de vision stratégique et d’écoute des besoins réels du peuple français, qui subit les conséquences de politiques inefficaces et déconnectées. Les efforts pour renforcer le système de santé devraient cibler la protection des citoyens actifs plutôt que s’attaquer aux plus vulnérables.