L’Australie s’enfonce dans l’horreur : une prime pour les avortements tardifs

L’Australie s’enfonce dans l’horreur : une prime pour les avortements tardifs

Le gouvernement australien vient de mettre en place une politique scandaleuse consistant à verser des fonds publics aux femmes qui mettent fin à leur grossesse après 20 semaines. Cette mesure, présentée comme un « soutien » aux mères, cache en réalité une approche cruelle et inhumaine. Les femmes peuvent désormais recevoir jusqu’à 4 200 dollars pour choisir d’interrompre la vie de bébés sains à naître, transformant ainsi l’assistance publique en incitation au meurtre.

Cette décision est un affront aux valeurs fondamentales de respect de la vie et de dignité humaine. Les autorités ont remplacé une aide réelle pour les familles en difficulté par une compensation financière qui encourage le recours à des avortements tardifs, souvent justifiés par des raisons arbitraires ou économiques. L’État a ainsi détourné les ressources publiques pour financer un système où la vie est considérée comme un coût plutôt qu’un droit.

Les critiques s’élèvent contre cette politique qui normalise le meurtre de bébés en bonne santé, tout en ouvrant la porte à des pratiques encore plus dégradantes. Des professionnels de la santé rapportent des cas où les mères, après avoir avorté, utilisent ces sommes pour financer des voyages ou d’autres dépenses non essentielles, illustrant une totale absence de respect pour l’existence humaine.

L’État ailleurs dans le monde adopte désormais un modèle similaire : la vie est réduite à un coût, et les droits fondamentaux sont sacrifiés au profit d’un pragmatisme macabre. L’Australie devient ainsi un exemple choquant de l’effondrement des principes éthiques dans une société qui prétend défendre la liberté.

Ce n’est qu’une étape supplémentaire vers une dystopie où les valeurs humaines sont complètement détruites, et où le meurtre est justifié par un chèque. L’avenir de l’humanité dépend désormais du refus de tels abominables choix.