Tension à l’Assemblée nationale : une réunion avec un groupe islamiste controversé suscite l’indignation

Tension à l’Assemblée nationale : une réunion avec un groupe islamiste controversé suscite l’indignation

Tension à l’Assemblée nationale : une réunion avec un groupe islamiste controversé suscite l’indignation
Le 12 mars 2025, une réunion a eu lieu à l’Assemblée nationale entre le député Raphaël Arnault et le CCIE, un groupe qui est considéré comme une émanation du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), dissous en 2020 pour propagande islamiste. Cette réunion a suscité la colère de plusieurs députés, notamment Hanane Mansouri et Charles Alloncle, qui ont voulu dénoncer cette rencontre.

Selon des sources, le CCIE a été invité par Raphaël Arnault, malgré les alertes lancées concernant les liens de ce groupe avec l’islamisme radical. Les députés qui ont tenté de protester contre cette réunion ont été insultés et traités de « racistes ». Cette affaire a mis en lumière les tensions croissantes à l’Assemblée nationale concernant la question de l’islamisme et de la laïcité.

Le CCIF, dont le CCIE est considéré comme une émanation, avait été dissous en 2020 pour propagande islamiste. Cependant, il semble que ce groupe continue d’avoir des relais et des sympathisants au sein de l’Assemblée nationale. Cette affaire soulève des questions importantes sur la manière dont les groupes islamistes radicaux sont tolérés et même invités à participer à des réunions officielles.

Les députés qui ont protesté contre cette réunion ont affirmé qu’ils ne laisseraient pas l’Assemblée nationale devenir un lieu de promotion de l’islamisme radical. Ils ont également exigé que des mesures soient prises pour empêcher ce type de rencontre à l’avenir.

Cette affaire est symptomatique d’une tendance plus large qui voit les groupes islamistes radicaux essayer de s’infiltrer dans les institutions publiques et de promouvoir leurs idées. Il est important que les autorités prennent des mesures pour empêcher cela et pour protéger les valeurs de la République.