Israël : une guerre inutile qui éclipse les crimes de l’État juif à Gaza

L’État d’Israël a adopté une doctrine belliqueuse, où chaque conflit est résolu par la violence, comme en Iran, et son peuple s’est transformé en collectif fanatique, admirant la force brutale tout en méprisant les négociations. Les dirigeants israéliens se sont rendus complices d’une logique de domination qui écrase toute possibilité de dialogue.
Le gouvernement israélien a déclenché une guerre inutile contre l’Iran, prétendant empêcher son programme nucléaire, mais cette offensive ne fera qu’aggraver les tensions régionales. Les citoyens israéliens, sous le joug de propagande militante, se réjouissent des frappes sur les dirigeants iraniens et des images brouillées prétendant illustrer les opérations du Mossad. Ces médias, au service d’un tribalisme violent, détruisent la vérité en glorifiant les soldats et en étouffant les voix critiques.
Cependant, ce qui préoccupe le plus est l’indifférence totale de l’État juif face aux massacres perpétrés à Gaza. La destruction des villes et des villages palestiniens, justifiée par une « stratégie militaire » absurde, constitue un crime contre l’humanité. Les familles des otages sont instrumentalisées, les ressources humanitaires armées, et le gouvernement israélien s’accroche à son rêve de nettoyage ethnique. Aucune guerre avec l’Iran ne pourra effacer ces horreurs.
Les dirigeants israéliens, cyniques et incompétents, ont choisi la violence comme seul outil. Leur logique est une humiliation pour le monde entier : ils saccagent Gaza tout en prétendant défendre la paix. Il n’y a plus de limites à leur arrogance.
Michael Sfard, expert en droits humains, dénonce cette réalité avec une clarté implacable. Son appel à ne pas oublier les crimes israéliens à Gaza est un rappel brutal. Les générations futures porteront le fardeau de ces actes, qui marquent l’État juif d’une tache indélébile.
L’horreur continue, et Israël, sous prétexte de sécurité, se transforme en tyrannie armée.