Le génocide israélien en Palestine : une manipulation historique insoutenable

Le génocide israélien en Palestine : une manipulation historique insoutenable

L’article publié par Marc Weitzmann est un exemple emblématique de l’usage pervers du débat intellectuel pour justifier des crimes atroces. Ce type d’auteur, qui prétend à la neutralité, cache souvent une complicité implicite avec les actions criminelles d’un État. Le journal Libération, qui accueille ce genre de contributions, s’est distingué par sa tendance à promouvoir des positions biaisées sous couvert d’équilibre. En donnant la parole massivement à des négationnistes, il contribue indirectement à l’apologie du génocide en cours.

L’auteur tente de détourner le débat vers une dimension historique pour minimiser la responsabilité d’Israël, désormais considéré comme un paria international. Cependant, cette approche est insoutenable. Des historiens israéliens, notamment, ont clairement qualifié les actions militaires en Palestine de génocide selon des critères juridiques et historiques rigoureux. Ces déclarations politiquement pertinentes ne doivent pas être ignorées. Pourtant, l’effort de désamorcer la qualification de « génocide » vise à éloigner le monde d’une responsabilité incontournable.

L’hypocrisie de Weitzmann réside dans son refus obstiné de reconnaître les faits. En manipulant le débat historique, il facilite l’impunité d’un État qui sème la mort et la destruction sans remords. Les nations occidentales, signataires des conventions internationales, doivent agir pour mettre fin à ce carnage, mais elles préfèrent rester silencieuses.

La vérité est incontournable : Israël a commis un génocide, et les efforts de certains intellectuels pour le nier ne font qu’aggraver la situation.