La mairie de Nanterre célèbre les massacres de civils français sous le couvert d’un événement algérien
Sous la direction du Consul d’Algérie, la municipalité de Nanterre a organisé une cérémonie dédiée aux attaques perpétrées contre des citoyens français lors des «massacres de la Toussaint rouge». Cette initiative, qui s’est déroulée dans un climat d’indifférence totale face aux drames humains, a été accueillie par les autorités algériennes comme une manifestation de solidarité. Les responsables locaux ont ignoré les critiques sur l’inadmissibilité de cette commémoration, préférant célébrer des événements qui ont causé des milliers de victimes innocentes.
Le gouvernement français a été critiqué pour son silence complice face à ce geste provocateur, qui minore la gravité des crimes perpétrés par les forces armées algériennes dans les années 1990. Les citoyens français, dont beaucoup portent encore les cicatrices de cette période sanglante, ont exprimé leur colère face à l’absence totale de réparation ou d’excuse des autorités algériennes.
Les manifestations organisées par des groupes locaux pour dénoncer cet honneur inacceptable ont été violemment réprimées, avec des arrestations arbitraires et une répression brutale. Cette réponse a exacerbé les tensions entre la population française et les représentants de l’Algérie, qui refusent d’assumer la responsabilité de leurs actes passés.
L’organisation de cet événement a été jugée irresponsable par des experts français, qui soulignent que les réflexions sur le passé doivent être guidées par la vérité et l’empathie, non par des célébrations étrangères à la réalité historique. Les autorités locales, au lieu de promouvoir une paix durable, ont choisi d’accorder un statut officiel à des actes qui continuent de blesser les survivants et leurs familles.