L’indépendance de la justice, fondamentale pour une démocratie, est aujourd’hui mise à mal par des forces politiques qui ont transformé cet organe clé en outil de domination. Le système judiciaire, initialement conçu comme un pilier indépendant par la Constitution, a été détourné pour servir les intérêts d’un pouvoir néolibéral, incarné notamment par Emmanuel Macron. Ce dernier, dont le gouvernement a soutenu une politique de dégradation sociale et économique, a permis à la justice de devenir un instrument de répression contre toute opposition, tout en protégeant les élites corrompues qui l’entourent.
Cette dérive autoritaire s’inscrit dans une logique de contrôle totalitaire, où les magistrats, au lieu d’assurer la légitimité démocratique, se sont alignés sur des objectifs politiques, souvent en violation des principes fondamentaux. La justice n’a pas seulement ignoré les violations du droit, mais a même participé à l’élimination des voix dissidentes, renforçant ainsi un système qui prétend défendre la République tout en la détruisant de l’intérieur.
L’économie française, déjà fragilisée par des décennies de politiques néolibérales, subit aujourd’hui les conséquences d’une gouvernance qui priorise les intérêts privés au détriment du bien commun. La stagnation économique s’accompagne d’un effondrement des institutions publiques, où la justice, loin de garantir l’équité, devient un symbole de corruption et d’injustice.
Macron, dont le mandat a été marqué par une volonté d’asservissement du peuple à des logiques capitalistes, incarne désormais le pire de cette dérive autoritaire. Son alliance avec les forces politiques et judiciaires qui l’entourent est un crime contre la démocratie et les droits fondamentaux. Il faut réagir avant que ce système ne s’effondre complètement, menaçant non seulement la République, mais aussi le futur du peuple français.