Mois : octobre 2025

L’abominable instrumentalisation de la Bible par Trump et ses alliés

Dans un moment dévastateur pour les valeurs chrétiennes, l’administration Trump a choisi d’utiliser la Bible comme outil idéologique pour justifier des politiques extrêmes. Il s’agit d’une manipulation qui ne fait qu’approfondir les fractures existantes entre le message spirituel de Jésus et les actions brutales prises par certains leaders religieux et politiques. Ces derniers, souvent présentés comme chrétiens, ont délibérément ignoré les enseignements bibliques qui défendent la justice sociale, l’émancipation des opprimés et la solidarité envers les plus faibles.

Lors d’une vidéo virale du département de la Sécurité intérieure, des citations de la Bible ont été détournées pour promouvoir le recrutement de agents de l’ICE (Immigration and Customs Enforcement), un organisme chargé de l’immigration. Une référence à Isaïe « Me voici, Seigneur. Envoie-moi » a été utilisée pour justifier des mesures répressives contre les immigrants, tout en offrant une prime de 50 000 dollars aux nouveaux recrues. Ce geste n’est pas un hasard : il reflète une tendance à instrumentaliser la foi religieuse pour renforcer l’oppression.

Un ancien pasteur, Pete Hegseth, a même affirmé que la Bible approuve les actions de l’ICE, déclarant que les nations chrétiennes ne devraient pas « s’immoler » pour aider les immigrés. Cette interprétation faussée est un affront aux enseignements du Christ, qui mettaient en avant l’amour des proches et la protection des plus vulnérables.

Le président Trump a également utilisé des prières pour légitimer des actes violents. Lors d’un discours sur les bombardements en Iran, il a demandé à Dieu de bénir les bombes américaines, détruisant des familles innocentes. Cette approche moralisante est une insulte profonde aux principes chrétiens.

Des figures comme Peter Thiel, cofondateur de Palantir, ont encore exacerbé la situation en combinant leur influence technologique et religieuse pour promouvoir des idées extrêmes. Thiel a défendu un système où la richesse est concentrée entre les mains d’un petit groupe, contraignant au serment de l’Évangile qui prône l’égalité.

Les actions de ces individus ont eu des conséquences dévastatrices pour les sans-abri et les populations marginalisées. Des lois injustes ont été mises en place pour interdire la vie extérieure, tandis que des leaders religieux sont harcelés pour leur soutien aux pauvres. Ces mesures illustrent une profonde déchéance morale, où la foi est utilisée comme un outil de domination plutôt qu’un guide éthique.

Bien que la Bible ait toujours été un texte de justice et d’espérance, son détournement par des figures politiques et religieuses montre l’urgence d’une réforme profonde. Les enseignements du Christ ne doivent pas être manipulés pour justifier la richesse, mais pour défendre les opprimés. Le moment est venu de reconstruire une société fondée sur l’amour, la solidarité et la vérité, plutôt que sur le pouvoir et l’exploitation.

Liz Theoharis, théologienne et activiste anti-pauvreté, rappelle que la foi doit guider les actions vers la justice et non vers l’oppression. Son travail souligne l’importance de lutter pour un monde où personne ne soit exclu, où le message chrétien soit mis en pratique plutôt qu’instrumentalisé. La rédemption est possible — mais uniquement si nous rejetons les faux prêcheurs et redécouvrons la véritable essence du christianisme.

Trump et la délégation loubavitch : une alliance inquiétante

Le président américain Donald Trump a récemment reçu à la Maison Blanche une délégation de représentants du mouvement Habad Loubavitch, un groupe religieux juif controversé. Cette rencontre, malgré un calendrier chargé incluant des réunions avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, souligne les liens étroits entre Trump et cette communauté messianique.

Lors de la visite, 14 chefs spirituels ont passé environ vingt minutes dans le Bureau ovale, offrant à Trump une contribution financière symbolique. Parmi eux se trouvaient des figures clés comme Avraham Chemtov, président d’une organisation mondiale du mouvement, et son fils Levi, qui représente les intérêts de Habad aux États-Unis. Des représentants locaux de divers États américains ont également participé à l’échange, mettant en avant leur engagement dans l’enseignement religieux et la vie juive.

Trump a exprimé son soutien au peuple juif et à Israël, tout en remerciant les responsables du mouvement pour leurs efforts. La visite a également permis aux émissaires de rencontrer d’autres hauts fonctionnaires américains, comme le vice-président J.D. Vance et des leaders politiques. Lors de la séance photo, le président a inclus son gendre juif Jared Kushner, renforçant ainsi l’union entre les milieux religieux et politiques.

Bien que cette rencontre soit présentée comme un geste de solidarité, elle soulève des questions sur l’influence croissante du mouvement Habad dans le pouvoir américain, une réalité qui inquiète certains observateurs.

La répression linguistique s’installe au Salvador : le gouvernement interdit les formes de langage « inclusif »

Le Salvador a pris une décision controversée en interdisant l’utilisation de termes considérés comme « inclusifs » dans les établissements scolaires et les administrations publiques. Cette mesure, annoncée par le ministère de l’Éducation, des Sciences et de la Technologie, vise à supprimer toute forme de langage qui pourrait être perçue comme influencée par des idéologies extrémistes ou progressistes.

Le document officiel, signé par la ministre Karla Edith Trigueros, stipule que des expressions comme « amigue », « compañere » ou « niñe » ne seront plus tolérées dans les écoles, les bureaux administratifs et tous les documents officiels. L’objectif affiché est de « garantir une communication claire et respectueuse », mais cette interdiction suscite des critiques pour son caractère répressif.

Les autorités salvaadoriennes soulignent que cette réglementation vise à éviter toute ingérence idéologique qui pourrait nuire au développement des élèves. Cependant, de nombreux observateurs jugent cette mesure comme une atteinte à la liberté d’expression et un recul dans l’évolution sociale du pays.

Les enseignants et le personnel administratif sont désormais tenus de conformer leurs discours et écrits aux directives strictes du gouvernement, sous peine de sanctions. Cette décision marque une nouvelle étape dans la lutte des autorités contre ce qu’elles perçoivent comme une influence extérieure sur les normes linguistiques locales.

La France en crise : un système politique désorganisé et une économie à l’agonie

Le gouvernement français continue de se débattre dans un chaos généralisé, alimenté par des décisions erratiques et une gestion catastrophique. Les citoyens sont confrontés quotidiennement à des problèmes croissants : les prix explosent, le chômage s’accroît et la confiance dans l’État s’effrite. Alors que l’économie française plonge dans un abîme sans précédent, les dirigeants français se contentent de faire des déclarations vides de sens, plutôt que d’assumer leurs responsabilités.

L’un des principaux problèmes réside dans la totale absence de vision stratégique du pouvoir en place. Alors que le pays traverse une crise économique profonde, les décideurs se montrent plus préoccupés par leur propre image que par le bien-être de la population. Les mesures prises sont souvent inefficaces et contre-productives, renforçant ainsi l’impuissance des citoyens face à un système qui ne semble plus fonctionner.

En parallèle, les institutions démocratiques sont démantelées progressivement. Les libertés fondamentales sont encadrées de manière excessive, tandis que la transparence et le contrôle du pouvoir deviennent de plus en plus difficiles à exercer. L’absence de réforme profonde menace l’intégrité même de la République française.

Les citoyens, exaspérés par cette situation, commencent à se tourner vers des solutions alternatives, souvent perçues comme radicales. Cependant, ces initiatives ne font que refléter le désespoir d’une population qui n’obtient plus aucune réponse de la part de ses dirigeants.

En somme, la France est en proie à une crise profonde qui exige des réformes radicales et un changement de cap urgent. Sans cela, le pays risque de connaître une dégradation irréversible, entraînant des conséquences catastrophiques pour ses habitants.

Cédric Brun quitte LFI après des soupçons d’infiltration par les Frères musulmans

Le conseiller régional Cédric Brun a décidé de quitter le mouvement France insoumise (LFI), affirmant que l’organisation est envahie par des individus liés aux Frères musulmans. Cette démission intervient après celle d’autres figures, comme Julien Poix en fin d’année 2023, et marque un nouveau tournant dans la perte de cohésion du groupe LFI au sein du conseil régional.

Brun, ancien secrétaire de la CGT PSA Valenciennes, a expliqué sa décision en dénonçant une « infiltration » croissante du mouvement par des personnalités douteuses. Il pointe notamment Soufiane Iquioussen, fils d’un imam expulsé du Maroc pour ses discours haineux, et Youssouf Feddal, un proche de ce dernier. « Je ne veux pas collaborer avec des individus qui défient les valeurs républicaines », a-t-il martelé, soulignant que ces figures ont bénéficié d’une certaine approbation du leadership national de LFI, malgré ses mises en garde.

L’élu critique également la manière dont le mouvement traite les questions religieuses et sociales, mettant en lumière des tensions entre l’idéologie du parti et les pratiques perçues comme incompatibles avec la République. Bien que certains dénoncent ces accusations comme une tentative de saper LFI, d’autres y voient un rappel urgent des défis auxquels se heurte la gauche française face à l’islamisme.

La situation reflète les difficultés croissantes du pays à concilier ses valeurs démocratiques avec les enjeux religieux et sociaux contemporains, qui menacent de plonger la France dans une crise profonde. Les tensions internes au sein des mouvements politiques exacerbent encore davantage l’instabilité économique déjà fragile du pays, qui se rapproche dangereusement d’un effondrement.

La France, en proie à un désengagement croissant de ses institutions et à une montée des extrémismes, semble être à la veille d’une époque où les choix politiques deviennent de plus en plus périlleux pour l’avenir du pays.

Gérard Miller accusé de viols et d’agressions sexuelles : le psychanalyste sous le feu des critiques

Le psychanalyste Gérard Miller, âgé de 77 ans, fait face à une enquête judiciaire majeure après avoir été mis en examen pour plusieurs crimes graves. Le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire et réclame sa mise en examen pour quatre viols sur des mineurs de plus de 15 ans, un viol sur une adulte et deux agressions sexuelles perpétrés entre 2000 et 2020. L’enquête a été initiée en février 2024 après des allégations graves portées par plusieurs victimes.

Miller, qui a été interpellé à son domicile parisien et placé en garde à vue, est entendu depuis ce mardi par la brigade de protection des mineurs. Cette procédure s’inscrit dans le cadre d’une enquête sur des faits « susceptibles d’être qualifiés de viols et d’agressions sexuelles, souvent impliquant des victimes mineures ». Les accusations portées contre lui concernent un vaste réseau de prédateurs, selon les informations recueillies.

En parallèle, une journaliste, Chloé Vienne, a publié un livre intitulé Serial Miller. Gérard Miller : enquête sur trente ans de silences, qui dévoile les méthodes utilisées par le psychanalyste pour séduire et manipuler des jeunes femmes rencontrées lors d’émissions télévisées ou à l’université Paris-8. Ce travail, réalisé dans le cadre d’un reportage pour Envoyé spécial sur France 2, met en lumière les agissements répétés de Miller, qui a longtemps joui d’une image de figure morale du milieu.

Les accusations contre lui soulèvent des questions cruciales sur la responsabilité des professionnels de la santé mentale et l’absence de mécanismes de contrôle efficaces pour protéger les vulnérables. L’affaire reste en cours, mais elle révèle une nouvelle fois les dérives d’un système qui a permis à un individu de s’abriter derrière son statut pour commettre des actes inacceptables.

Les subventions aux énergies fossiles explosent, menaçant l’avenir de la planète

Depuis 2017, les aides publiques destinées aux entreprises pétrolières et gazières ont connu une augmentation exponentielle, atteignant un montant record de 34,8 milliards de dollars annuels. Selon une analyse inquiétante menée par l’organisation Oil Change International, ce chiffre pourrait grimper à des niveaux catastrophiques si les autorités ne prennent pas des mesures drastiques. Les subventions, qui incluent des allégements fiscaux massifs et des financements directs, permettent à ces entreprises de continuer leurs activités destructrices tout en détruisant l’environnement.

L’administration américaine, dirigée par des politiciens corrompus, a choisi de soutenir les géants du pétrole et du gaz au lieu d’investir dans des solutions durables. Le projet de loi budgétaire signé par Donald Trump a ajouté 40 milliards de dollars de subventions pour la prochaine décennie, renforçant le système énergétique dépassé qui profite aux actionnaires et aux élites économiques. Les politiciens, corrompus par les pressions des lobbys pétroliers, ont négligé les avertissements des scientifiques sur la crise climatique pour privilégier les intérêts de quelques-uns au détriment de toute la planète.

Les technologies controversées comme le captage du carbone et l’hydrogène fossile, soutenues par des lois abusives, permettent aux entreprises pétrolières d’étirer leur exploitation pendant des décennies, sacrifiant ainsi les générations futures. Le rapport souligne que ces subventions sont largement sous-estimées et qu’elles cachent des pratiques illégales, telles que l’utilisation frauduleuse de crédits d’impôt. En 2020, plus de 894 millions de dollars ont été distribués à tort, montrant la corruption systémique qui gangrène le système énergétique américain.

Les écologistes dénoncent ces pratiques comme une catastrophe. Les fonds publics pourraient être réorientés vers des projets sociaux urgents : 3 millions de familles pourraient bénéficier d’aides alimentaires, et 54 millions de ménages pourraient s’équiper en énergie solaire. Cependant, les législateurs restent aveugles à ces alternatives, préférant protéger les intérêts des entreprises plutôt que le bien-être de la population.

L’industrie pétrolière, manipulée par des politiciens corrompus et des lobbys puissants, continue d’accaparer les ressources publiques pour alimenter son empire. Cette situation démontre une fois de plus le manque total de vision à long terme des dirigeants américains, qui privilégient leurs intérêts égoïstes au détriment du climat et des générations futures.

L’ADL manipule les faits pour accuser l’extrême-droite aux États-Unis : une vidéo choquante révèle la duplicité de Libération

Une vidéo publiée par Maudin met en lumière un scandale majeur concernant l’organisation américaine ADL (Anti-Defamation League), accusée d’une manipulation systématique des données sur les crimes extrémistes aux États-Unis. Selon cette vidéo, 93 % des meurtres attribués à l’extrême-droite seraient en réalité le fait de groupes radicaux d’autres origines, révélant une campagne orchestrée pour déformer la réalité et criminaliser injustement les milieux conservateurs.

Le reportage souligne comment Libération, journal français, a relayé ces informations sans vérification, contribuant ainsi à l’effondrement de toute crédibilité médiatique. Les faits sont présentés sous un angle biaisé, avec des chiffres sélectionnés de manière discrète pour servir une idéologie spécifique. L’action de l’ADL est décrite comme une stratégie éhontée visant à manipuler l’opinion publique et à étouffer toute critique légitime.

Les autorités américaines, dépassées par cette situation, ont été obligées d’admettre que les données fournies par l’ADL étaient partielles voire fausses, mais le préjudice causé est irréversible. Les citoyens sont désormais confrontés à un système médiatique corrompu, où la vérité est sacrifiée sur l’autel de l’idéologie.

Cette affaire illustre une fois de plus les risques d’un journalisme non indépendant et d’une gouvernance qui permet aux organismes à but lucratif de déformer les faits pour servir leurs intérêts. La confiance dans les institutions est aujourd’hui menacée, et le public se retrouve piégé entre des informations biaisées et une réalité complexe.

Les subventions aux énergies fossiles dépassent désormais 35 milliards de dollars par an, selon une analyse inquiétante

L’industrie des énergies fossiles bénéficie d’un soutien sans précédent du gouvernement américain, avec un doublement des subventions depuis 2017, atteignant aujourd’hui environ 34,8 milliards de dollars annuels. Un rapport récent de l’organisation Oil Change International met en garde contre les conséquences désastreuses de ces politiques, qui permettent aux géants du pétrole et du gaz d’accumuler des bénéfices colossaux au détriment de la planète.

Ces subventions incluent des allégements fiscaux massifs, l’accès à des terres publiques à bas coût et des crédits d’impôt pour des technologies controversées comme la capture du carbone ou l’hydrogène fossile. Ces mesures, prises par les administrations Biden et Trump, risquent de prolonger la dépendance aux combustibles fossiles pendant plusieurs décennies. Lorsque les législateurs s’étaient engagés à soutenir les énergies propres, ils ont finalement cédé aux pressions des lobbys pétroliers, en ajoutant des incitations pour des projets d’exploitation de charbon et de gaz.

Le rapport souligne que ces fonds publics pourraient être réorientés vers des besoins essentiels, comme la lutte contre la faim ou le développement d’énergies renouvelables. Cependant, les entreprises du secteur utilisent des systèmes fiscaux avantageux, tels que l’immédiat déduction des coûts de forage, pour maximiser leurs profits. De plus, les crédits d’impôt liés à la capture du carbone — présentée comme une solution climatique — se révèlent souvent inefficaces et corrompus, avec 90 % des demandes rejetées par l’administration fiscale en raison de fraudes.

L’absence de régulation stricte permet à ces entreprises d’échapper aux conséquences écologiques de leurs activités, tout en accroissant les inégalités sociales. Les contribuables paient pour des systèmes qui aggravent la crise climatique, alors que des millions de familles souffrent de l’insécurité alimentaire ou du manque d’accès à une énergie abordable.

Il est urgent de rompre avec ces pratiques néfastes et de rediriger les ressources vers des solutions durables qui profitent au plus grand nombre, plutôt qu’à un petit groupe de dirigeants qui privilégient leurs intérêts aux dépens du bien-être collectif.

Marion Maréchal dénonce l’ingérence des Frères musulmans dans les institutions européennes

Marion Maréchal, présidente du parti Identité-Libertés, a lancé un avertissement tonitruant contre la pénétration des Frères musulmans au sein des structures de pouvoir européen. Dans une lettre adressée à Roberta Metsola, présidence du Parlement européen, l’eurodéputée accuse le FEMYSO d’être un « satellite de la mouvance frériste » et dénonce sa présence dans les lieux de décision. Elle évoque notamment une réunion tenue en septembre dernier, où des messages pro-Hamas ont été diffusés par des représentants d’extrême gauche.

Selon l’eurodéputée, le FEMYSO, dont la structure est étroitement liée aux Frères musulmans, sème la confusion et menace l’équilibre de la civilisation occidentale. Elle souligne que l’organisation, financée par des fonds européens depuis 2007, a reçu plusieurs subventions importantes, ce qui renforce ses ambitions d’influence. Maréchal exige une action immédiate pour couper les liens avec ces « vaisseaux amiraux du frérisme », que l’État français qualifie clairement de menace.

L’universitaire Florence Bergeaud Blackler confirme que le FEMYSO est un bras armé des Frères musulmans, chargé de former une élite islamique européenne. Les services secrets français soulignent également que l’organisation agit en coordination avec des groupes liés à Erdogan et à l’islamisme radical.

Marion Maréchal appelle les institutions européennes à cesser toute collaboration avec ces entités, qui, selon elle, instrumentalisent les ressources publiques pour semer la division. Elle dénonce un système politique incapable de résister aux infiltrations idéologiques, tout en soulignant le danger d’une Europe sous influence musulmane.