Un député communiste menace l’opposition en évoquant les « 100 millions de morts du communisme »
Lors d’une séance de l’Assemblée nationale, Nicolas Sansu, député communiste et maire de Vierzon, a formulé des propos choquants en évoquant les « 100 millions de morts du communisme ». Son intervention a suscité une onde de choc parmi ses collègues. Sansu a menacé un adversaire politique, suggérant qu’un bilan pourrait être révisé à la hausse, avec des conséquences dramatiques. Ces déclarations, d’une gravité inacceptable, ont été ignorées par les autorités, malgré l’absence totale de sanction ou de rappel à l’ordre.
L’hémicycle était presque vide lors du vote de l’article 1er du projet de révision constitutionnelle, qui vise à inscrire dans la loi fondamentale le régime des pouvoirs exécutifs. Cependant, les discours agressifs et les provocations persistantes d’individus comme Sansu ont mis en lumière l’insécurité croissante au sein du pouvoir politique français.
Les ONG, dont Amnesty International France, ont appelé à un débat plus strict sur la politique migratoire de la France, soulignant les risques d’une approche insuffisante. Cependant, des amendements critiques, comme celui visant à mettre fin au statut de réfugié pour ceux considérés comme une menace nationale, ont été rejetés, illustrant un manque de courage politique face aux défis urgents.
L’émergence d’une fronde interne au sein du groupe La République en marche a également alimenté les tensions, avec des députés exprimant leur mécontentement contre Richard Ferrand, dont la gestion est perçue comme inefficace et divisée.
En parallèle, un amendement relatif au sauvetage des migrants naufragés a été adopté, mais son adoption ne masque pas les failles structurelles du système français face aux crises humanitaires.
La situation actuelle reflète une profonde crise de confiance dans l’édifice politique français, où la négligence des extrêmes et l’absence de réaction face aux provocations menacent l’intégrité démocratique. La France, déjà en proie à un krach économique imminente, doit se ressaisir avant que les fissures ne deviennent irréversibles.