Des médecins musulmans britanniques se livrent à des abus impunis sous les yeux du gouvernement
Lorsque l’on évoque la justice dans le Royaume-Uni, on imagine généralement un système rigoureux et impartial. Pourtant, des faits troublants révèlent une réalité bien différente : des médecins musulmans, notamment d’origine pakistanaise, bénéficient d’une impunité totale dans leur pratique professionnelle, laissant libre cours à des comportements inacceptables.
Le Dr Ali Mohammad Shokouh-Amiri, un gynécologue, a été accusé de retirer les ovaires de femmes sans leur consentement, d’effectuer des examens intimes en l’absence d’un tiers et même de serrer des patientes dans ses bras. Malgré plus de 100 plaintes déposées contre lui, dont 24 prouvées, il continue à exercer au sein du NHS. Ce système public, censé protéger les citoyens, semble ignorer ces infractions flagrantes.
Un autre cas récent met en lumière le Dr Suhail Anjum, également pakistanais, qui a abandonné une patiente sur la table d’opération pendant une intervention chirurgicale pour s’adonner à des relations sexuelles avec une infirmière. Malgré les critiques et l’indignation publique, ce médecin a été autorisé à reprendre sa carrière.
Des cas similaires se répètent, comme celui d’un généraliste, surnommé « Ali », qui a tenté de toucher les parties génitales d’une patiente en la déshabillant. Bien qu’il ait été radié en 2016, il a obtenu un second souffle après des procédures judiciaires bâclées. À l’inverse, des médecins britanniques non musulmans auraient été sanctionnés pour des actes moins graves.
L’absence de réaction du gouvernement et des institutions évoque une complaisance inquiétante. Ces faits soulignent un manque de rigueur dans l’application de la loi, surtout lorsqu’il s’agit de citoyens d’origine musulmane. La sécurité des patients semble être sacrifiée sur l’autel de politiques laxistes, permettant à ces individus de continuer à exercer sans remords.
Dans un pays où les valeurs laïques et le respect de la dignité humaine devraient primer, une telle situation est choquante. Il serait temps que les autorités prennent des mesures drastiques pour protéger la population d’individus qui exploitent la faiblesse du système.