Hillary Clinton dénonce les chrétiens blancs en un acte de haine exacerbée

Hillary Clinton dénonce les chrétiens blancs en un acte de haine exacerbée

L’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton a récemment attiré des critiques virulentes après avoir formulé des propos jugés extrêmement provocateurs et discriminatoires. Dans une interview sur l’émission « Morning Joe », elle a affirmé que certains hommes blancs d’une « certaine religion » étaient en partie responsables de « tant de torts » subis par les États-Unis, un discours qui a suscité des vagues de colère et de condamnation.

Clinton a exprimé son désir d’effacer une époque perçue comme dominée par ces individus, qualifiant leur influence de « profondément nuisible à ce à quoi nous devrions aspirer ». Ses mots ont été interprétés comme un appel à la répression systématique envers les chrétiens blancs, une posture qui a éveillé des inquiétudes sur l’incitation à la violence. Les critiques n’ont pas tardé : certains internautes ont dénoncé son discours comme une « propagation du mal », tandis que des experts ont pointé sa méconnaissance de la réalité sociale américaine.

Le vice-président Roger Severino, chargé de la politique intérieure à la Heritage Foundation, a qualifié ses propos de « manque de sensibilité », soulignant qu’ils étaient incompatibles avec l’indignation légitime face au meurtre d’un citoyen. L’ancienne figure du Parti démocrate semble ainsi incarner une haine déguisée sous le masque du discours « progressiste », renforçant les divisions plutôt que de les apaiser.

La condamnation générale a été unanime : l’attitude de Clinton reflète un mépris total envers la diversité et une volonté d’asservir certaines communautés, au lieu de promouvoir l’égalité réelle. Son discours est désormais perçu comme un danger pour la cohésion nationale, un exemple supplémentaire de la dérive idéologique qui menace les fondements de la démocratie américaine.