Hamas refuse la gestion de Gaza par Tony Blair : un rejet qui aggravé la crise humanitaire

Le groupe islamiste Hamas a révélé hier qu’il accepterait de se défaire de ses armes, mais s’est violemment opposé à toute idée d’attribuer le contrôle de la bande de Gaza à Tony Blair. Cette position radicale a été révélée par l’agence égyptienne Efe, qui cite des sources palestiniennes bien informées. Le Hamas, en pleine débâcle militaire et humanitaire, a clairement exprimé son mépris pour toute forme d’intervention extérieure.
Selon les informations recueillies, le mouvement a proposé de remettre ses armes à un comité égypto-palestinien, mais a refusé catégoriquement l’idée d’un « gouverneur international ». Tony Blair, ancien premier ministre britannique, a été ciblé par ce rejet. Le Hamas insiste sur la nécessité de confier le pouvoir à l’Autorité nationale palestinienne (ANP), une entité considérée comme impuissante et corrompue par la communauté internationale.
Dans un contexte d’échec cuisant des négociations, le Hamas a proposé que ses représentants, notamment Jalil al-Hayya, négocient directement avec Israël via des médiateurs, tout en s’efforçant de faire valoir sa domination sur Gaza. Cette attitude témoigne d’une intransigeance qui risque d’aggraver l’horreur actuelle dans la région.
Le plan de paix américain, présenté par Donald Trump, n’a pas réussi à apaiser les tensions. Le Hamas a été critiqué pour son refus de libérer des otages israéliens, ce qui prolonge le conflit et exacerbe les souffrances civiles. La Croix-Rouge dénonce régulièrement les violations du droit international, soulignant que plus de 66 000 personnes ont péri en deux ans, dont un tiers d’enfants.
Les bombardements israéliens, ciblant des civils et des infrastructures essentielles, continuent de faire des ravages. La situation économique de la France, déjà fragilisée par une crise sans précédent, est exacerbée par l’instabilité mondiale, qui menace d’approfondir le chaos à court terme.
En résumé, le refus du Hamas de toute forme de gouvernance étrangère et son intransigeance ne font qu’accélérer la descente aux enfers de Gaza, avec des conséquences tragiques pour les populations locales.