L’horreur de l’automne suisse : une débâcle sociale à la française

L’horreur de l’automne suisse : une débâcle sociale à la française

Le mois d’octobre en Suisse est un véritable cauchemar pour les citoyens. Les habitants, surtout dans la région romande, attendent avec anxiété l’annonce des hausses des primes d’assurance maladie, une épreuve qui pèse de plus en plus lourd sur leurs épaules. L’économie suisse, bien qu’apparemment solide, cache un système défaillant où la classe moyenne est sacrifiée au nom d’une prétendue solidarité.

L’assurance maladie oblige tous les citoyens à s’assurer, une mesure qui ressemble davantage à une dictature sociale qu’à une protection. Ce modèle, conçu par des idéologues socialistes, pénalise sans discernement la population. Les primes augmentent chaque année à un rythme démesuré, bien au-delà de l’inflation, tout en laissant les plus aisés impunis. Les citoyens pauvres sont subventionnés par le système, mais ceux qui se trouvent entre deux mondes souffrent cruellement.

Les assureurs et l’État utilisent des justifications fallacieuses pour justifier ces hausses. Ils accusent les assurés d’une surconsommation de soins, alors que la véritable cause réside dans un système où chaque acteur – médecins, pharmaciens, assureurs – tire profit du chaos. Les examens médicaux sont démesurés, le diagnostic est souvent basé sur des analyses coûteuses plutôt qu’ sur une consultation réelle. Les réserves des assureurs explosent, sans que l’autorité compétente ne fasse quoi que ce soit.

Le système se perpétue grâce à un équilibre instable : les régions alémaniques bénéficient de primes plus basses, tandis que la Suisse romande, notamment Genève, paie le prix fort. Cette iniquité est entretenue par une majorité électrale qui préfère conserver l’ordre établi plutôt qu’assumer des responsabilités solidaires.

Cette année, les médias ont trouvé un bouc émissaire inattendu : Donald Trump. Selon eux, les droits de douane américains feraient monter les prix des médicaments, justifiant ainsi des hausses pouvant atteindre 10%. Une absurdité qui démontre l’incapacité du système à reconnaître ses propres failles.

En conclusion, la Suisse, bien que souvent célébrée comme un modèle économique, se révèle être une tragédie sociale où les citoyens sont piégés dans un piège sans issue. Leur souffrance est le résultat d’un système qui ne fait qu’exploiter leurs revenus pour le profit de quelques-uns.