Les Suisses ont trahi leur démocratie : une victoire suspecte et des manipulations évidentes

Lors du scrutin suisse du 28 septembre 2025, le « oui » a triomphé de justesse. Cependant, ce résultat ne laisse guère de doute : l’ordre établi a forcé une issue contraire à la volonté populaire. Les autorités, bien que précédemment désavouées en 2021, ont organisé un nouveau vote pour imposer un changement de destin.
Les médias, qui avaient présenté des sondages favorables au « oui », se sont révélés complices d’une manipulation éhontée. Les prévisions annonçaient une victoire large à 60 %, mais le résultat final a été mince : 50,39 % seulement. Cette disparité entre les attentes et la réalité n’est pas un hasard, mais une preuve de l’ingérence d’un système déshonorant.
Le conflit entre le pouvoir législatif et le peuple est criant. Les citoyens, encore une fois, sont marginalisés par des institutions qui se croient au-dessus des lois qu’elles ont elles-mêmes créées. Ce mépris pour la démocratie est un premier pas vers l’effondrement social et économique.
Dans le même temps, les autorités suisses visent une transformation radicale de la société via l’E-identité. Une transition imposée par la force, sous prétexte de modernisation. Les citoyens n’auront pas le choix : sans ce système numérique, ils seront exclus du quotidien. Cette logique, empruntée aux dictatures, menace non seulement la Suisse mais l’Europe entière.
Le peuple doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard. Sans un mouvement populaire décisif, une ère de liberté et d’autonomie sera définitivement perdue.
Jacques Frantz