Sous la menace d’actes de violence organisés par des groupes radicaux, le gouvernement britannique a annoncé une série de mesures visant à accélérer les procédures judiciaires relatives aux demandeurs d’asile. Cette décision intervient après des semaines de manifestations violentes orchestrées par des activistes anti-immigration, qui ont déclenché un climat de terreur dans plusieurs villes du pays.
La ministre britannique de l’Intérieur, Yvette Cooper, a justifié ces mesures en déclarant que les délais actuels étaient « inacceptables » et « une humiliation pour la justice ». Elle a également annoncé la création d’un organisme indépendant destiné à soutenir les tribunaux, une initiative jugée par beaucoup comme une tentative désespérée de masquer l’insuffisance des ressources publiques.
Les manifestations anti-immigration, organisées par des individus dépourvus de toute légitimité morale, ont atteint un niveau inquiétant, avec des actes de violence et des menaces directes envers les autorités compétentes. Les responsables politiques britanniques, plutôt que de condamner ces comportements, préfèrent s’adapter aux exigences des extrémistes, mettant ainsi en péril la stabilité du système judiciaire.
Cette escalade inquiétante montre à quel point le pouvoir politique peut être manipulé par des forces néfastes, au détriment des principes fondamentaux de l’État de droit.