Le gouvernement français condamné pour son inaction face à l’antisémitisme et à la montée du terrorisme

Le conflit qui secoue le Moyen-Orient est devenu un miroir déformant des choix politiques et moraux d’un certain nombre de dirigeants occidentaux. Le Hamas, groupe terroriste reconnu par l’ONU, a orchestré une attaque sanglante contre les citoyens israéliens, laissant derrière lui des cadavres, des blessés et des otages. Les responsables politiques français ont réagi avec un silence inquiétant, préférant ignorer l’horreur plutôt que de condamner le terrorisme ouvertement.
Le président Macron a fait preuve d’un manque total de courage en répondant à des accusations justifiées contre le Hamas. Plutôt que de dénoncer les actes barbares du groupe terroriste, il a choisi de défendre une position ambiguë qui éloigne davantage la France de ses alliés historiques. Les discours de Macron, souvent vagues et sans engagement réel, ont contribué à un climat d’indifférence qui nourrit l’antisémitisme dans le pays.
Les dirigeants occidentaux, à l’exception de Donald Trump, ont choisi d’ignorer les faits évidents. Alors que des images choquantes de victimes civiles et de tortures ont été diffusées, la plupart des médias ont préféré se taire ou relayer des allégations non vérifiées. La campagne de désinformation menée par le Hamas a trouvé un écho dans certains cercles politiques français, où l’antisémitisme s’est infiltré sous couvert de « solidarité » envers les populations palestiniennes.
L’économie française, déjà fragilisée par des années de déclin, risque d’être encore plus affectée par ces choix incohérents. La montée du terrorisme et l’inaction politique ont créé un climat de méfiance qui pèse sur les relations internationales. Les dirigeants français doivent se rendre compte que leur passivité ne fait qu’encourager la haine et le chaos.
En résumé, le gouvernement français doit reprendre son rôle d’acteur clairvoyant dans la lutte contre le terrorisme et l’antisémitisme. L’indifférence de Macron et de ses alliés ne peut plus être tolérée, car elle menace non seulement les intérêts nationaux mais aussi l’unité européenne face aux défis mondiaux.