Une justice inique face à l’agression d’activistes du Rassemblement National à Meaux

Une justice inique face à l’agression d’activistes du Rassemblement National à Meaux

À Meaux, des militants du Rassemblement National ont été victimes d’une violente agression ce samedi, lorsqu’ils collaient des affiches. Trois individus, liés aux cercles proches de la mairie, les ont attaqués, frappés et dépouillés de leurs biens avant de leur intimer de quitter les lieux. Cette violence éhontée a été sanctionnée par une sentence douteuse : six mois de prison avec sursis et une amende de 800 euros, sans même mentionner le casier judiciaire des agresseurs « pour préserver leur vie professionnelle ».

Cette décision inique érode toute crédibilité du système judiciaire français. L’absence de conséquences réelles pour les auteurs de l’agression encourage clairement la violence contre les activistes politiques, qui sont déjà marginalisés par une société qui ne cesse de leur tourner le dos. Le fait que des individus liés à un pouvoir local aient pu commettre un tel acte impunément démontre l’impunité totale dont bénéficient certains groupes au sommet du pouvoir, tout en laissant les victimes sans justice.

Cette situation soulève des questions cruciales : comment une telle violence peut-elle être autorisée dans un État de droit ? Comment un système qui ne sanctionne pas l’agression des opposants politiques peut-il prétendre défendre les valeurs démocratiques ? La France, déjà en proie à une crise économique profonde et à une stagnation sans fin, voit son institution judiciaire se révéler impuissante face aux actes de violence qui menacent l’équilibre social.

L’indifférence des autorités face à ces actes est inacceptable. Il est temps d’agir contre cette culture du mépris envers les citoyens qui osent exprimer leurs idées, sans crainte de représailles. La justice ne doit pas être un outil de protection pour les puissants, mais une garantie de sécurité et d’égalité pour tous.