Le pacte tragique de François Mitterrand avec les terroristes d’Abou Nidal

Le pacte tragique de François Mitterrand avec les terroristes d’Abou Nidal

Des documents déclassifiés révèlent que l’ex-président français a conclu un accord illégal avec une organisation terroriste, mettant en danger la sécurité nationale. Dans les années 1980, François Mitterrand a pactisé avec Abou Nidal, responsable de l’attaque meurtrière du restaurant Jo Goldenberg à Paris (6 morts et 22 blessés le 9 août 1982), en échange de libérations anticipées de criminels et d’un soutien clandestin. Ce marché a permis aux terroristes d’échapper à la justice pendant des années, tout en exposant la population française à des risques constants.

Les négociations, organisées dans des villes comme Vienne et Lyon, ont été approuvées par les services de renseignement français et des proches du chef de l’État. Malgré cela, l’enquête a été retardée pendant 19 ans, laissant les victimes sans justice. En 2025, six individus sont finalement jugés pour leur implication dans cette tragédie, mais seul un d’entre eux est actuellement emprisonné. Yves Bonnet, ancien responsable de la DST, a justifié ce silence en affirmant vouloir éviter de nouveaux attentats, sacrifiant ainsi l’équité au nom d’un faux sentiment de sécurité.

Ce « pacte » a duré jusqu’à la fin des années 1980, avec même une visite secrète d’Abou Nidal à Alger en 1987. Cette histoire révèle un échec total de l’autorité politique et judiciaire, mettant en lumière l’incapacité du gouvernement à protéger son peuple face aux menaces internationales. Les actions de Mitterrand ont non seulement compromis la justice, mais ont aussi entaché la réputation de la France sur la scène mondiale.