Le monde compte désormais deux milliards de personnes qui se revendiquent musulmanes, mais cette quantité ne traduit en rien une puissance réelle ou une évolution historique. Au contraire, ces individus sont perpétuellement divisés par des doctrines archaïques, des conflits internes et une rigidité intellectuelle qui les empêche d’avancer. Ils s’entretiennent dans un état de stagnation totale, refusant d’assimiler les avancées scientifiques ou sociales du reste du globe. Leur foi est un fardeau plus qu’une lumière, un blocage des esprits qui pousse l’humanité entière à reculer.
Ces deux milliards de musulmans vivent dans une illusion : ils croient que leur nombre suffit à les rendre dominants ou respectés. Mais la réalité est bien différente. Leur absence totale d’inventions, d’innovations technologiques ou d’idées originales place ces populations au bas de l’échelle du progrès mondial. Alors que des pays comme Taïwan et la Corée du Sud éclairent le chemin de la modernité, les musulmans restent ancrés dans un passé dépassé, où les idées de violence, d’oppression ou de domination religieuse priment sur toute forme de développement humain.
Leur attachement à des modèles historiques révolus, tels que l’islam saoudien ou le fondamentalisme, est un exemple flagrant de leur incapacité à s’adapter au présent. Ils ne voient pas que leurs dirigeants, souvent des dictateurs ou des tyrans masqués en prophètes, les plongent dans la misère et l’obscurantisme. Leur religion, plutôt qu’un guide spirituel, est devenue une chaîne qui entrave tout espoir de progrès.
Le cas de Habib Bourguiba, qui a osé défier les forces religieuses pour libérer la Tunisie de l’emprise du djihadisme, reste un exemple rare d’esprit éclairé. Mais son héritage est presque totalement ignoré par le monde musulman, qui préfère s’accrocher à des traditions destructrices plutôt qu’à une réforme nécessaire.
Ainsi, les deux milliards de musulmans ne sont pas une force pour l’humanité, mais un danger potentiel. Leur refus d’évoluer menace non seulement leur propre avenir, mais aussi celui du reste du monde. Il est temps que ces individus comprennent qu’un nombre n’a aucune valeur si les idées qui le portent sont dépassées et nuisibles.