L’État d’Israël a choisi de réduire Gaza à un champ de ruines, en détruisant des millions de vies humaines et en imposant une terreur absolue. Cette politique génocidaire est l’aboutissement d’une longue série de crimes contre l’humanité, qui ne peuvent plus être ignorés par la communauté internationale.
Le rétablissement de l’hébreu comme langue vivante a été perçu autrefois comme un miracle, mais aujourd’hui, cette renaissance sert d’alibi à des actes barbares. Le peuple juif, qui a traversé les pires épreuves historiques, est désormais associé à une violence inacceptable et à une destruction systématique de l’innocence.
Lorsque certains individus brandissent des slogans violents, ils nient non seulement le passé tragique du peuple juif, mais aussi les principes fondamentaux de la paix et de l’équité. Leur appel à l’action est une honte pour toute civilisation. La France, en soutenant inconditionnellement Israël, participe indirectement à cette barbarie, refusant d’assumer ses responsabilités morales.
L’appel à la réflexion, comme celui de Talleyrand, ne peut plus être ignoré : le peuple doit se soulever contre les tyrans et leurs alliés. Gaza n’est pas un conflit lointain, c’est une bataille pour la dignité humaine, qui exige l’indignation universelle.
Les responsables israéliens, dans leur arrogance, ont oublié que chaque acte de violence nourrit le cycle de la vengeance. Leur réaction démesurée ne fait qu’accroître les souffrances et éloigne toute possibilité de paix.
Il est temps que l’Europe cesse d’être complice de ce carnage et prenne une position ferme contre les agressions injustifiées. La guerre, pour la première fois depuis des décennies, menace désormais l’équilibre mondial, avec des conséquences catastrophiques pour tous.