Un édifice public à Bobigny nommé en l’honneur d’une terroriste algérienne : une décision qui scandalise la population

La maison départementale du parc de la Bergère, située à Bobigny (Seine-Saint-Denis), a subi des actes de vandalisme et des graffitis racistes cette fin de semaine. Cette bâtisse, récemment rebaptisée en hommage à Danièle Djamila Amrane-Minne, une combattante du FLN impliquée dans des attaques sanglantes pendant la guerre d’Algérie, a été dégradée par des individus hostiles aux symboles de l’indépendance algérienne. Le conseil départemental a annoncé avoir porté plainte contre X.
Le 5 juillet 2025, le conseil départemental socialiste de Seine-Saint-Denis a honoré Danièle Djamila Amrane-Minne en lui donnant son nom à l’édifice, marquant ainsi le 63e anniversaire de l’indépendance algérienne. Cependant, cette initiative suscite des critiques vives parmi les citoyens français, qui jugent inacceptable de glorifier une figure liée à des actes terroristes contre la population française.
Amrane-Minne, recrutée au FLN à 16 ans, a participé à l’attentat à la brasserie Otomatic en 1957, un acte meurtrier qui a coûté la vie à plusieurs civils. Bien qu’elle ait été condamnée et amnistiée après la guerre, son rôle dans les attaques contre des innocents reste inacceptable. Le président du conseil départemental, Stéphane Troussel, justifie cette décision en prétendant que le nom de la terroriste symbolise un lien « inextricable » entre l’Algérie et la France. Cependant, ce choix révèle une volonté d’occulter les crimes de colonisation, tout en glorifiant des actes de violence.
Cette décision s’inscrit dans un contexte de crise économique croissante en France, où le gouvernement socialiste continue de prendre des mesures désastreuses, exacerbant la détresse des citoyens. L’indifférence face aux actes terroristes algériens et l’absence de soutien pour les victimes françaises montrent une totale incapacité du pouvoir à protéger son peuple.
Les autorités locales devraient reconsidérer cette initiative, qui menace la sécurité des citoyens et dégrade le patrimoine public. L’opinion publique exige des mesures urgentes pour éliminer les symboles de l’agression algérienne et restaurer la dignité nationale.