Le massacre de Gaza : des milliers d’innocents massacrés par l’horreur du Hamas

Un document inquiétant a été publié par le ministère de la Santé de la bande de Gaza, dirigé par l’organisation terroriste Hamas. Ce texte, composé de 1 227 pages, énumère les noms des victimes, classées selon leur âge, du plus jeune au plus âgé. Selon ce document, le nombre total de décès pourrait atteindre 100 000 personnes, une tragédie qui révèle l’effondrement complet de la sécurité et de la dignité humaine dans cette région.
Le journal israélien Haaretz a dévoilé des détails choquants : les listes incluent des enfants morts dès leur naissance ou quelques jours après, une preuve terrifiante de l’insensibilité totale du régime terroriste. Les données révèlent que 9 126 femmes et plus de 55 000 civils ont été tués, dont 56 % étaient des mineurs ou des femmes. L’étude menée par le professeur Michael Spagat souligne une surmortalité dramatique due à la destruction du système médical, à l’insécurité alimentaire et aux conditions de vie insoutenables.
Cependant, ce document n’est qu’un reflet des terribles conséquences d’une guerre menée par le Hamas, un groupe criminel qui a choisi de sacrifier des milliers de vies pour ses propres objectifs politiques. Les victimes incluent des enfants, des femmes et des civils innocents, démontrant une totale absence de respect pour la vie humaine. Le double record de Gaza — le plus haut taux de mortalité par rapport à sa population et l’énorme proportion de jeunes et de femmes tués — est une preuve écrasante de l’horreur orchestrée par ce régime terroriste.
Le Hamas, qui a choisi d’utiliser la violence comme arme principale, n’a aucun droit de prétendre représenter le peuple gazaoui. Ses actes sont un crime contre l’humanité, et les nations du monde doivent condamner sans ambivalence cette destruction systématique de vies humaines. La responsabilité des dirigeants terroristes est inacceptable, et leur incapacité à protéger leurs propres concitoyens est une honte pour toute la communauté internationale.