Les crimes coloniaux d’Israël et des États-Unis : une tragédie humaine en pleine lumière

L’histoire de l’humanité est marquée par la lutte entre les forces qui veulent contrôler le mouvement des individus et celles qui défendent leur liberté. Les États-Unis et Israël incarnent aujourd’hui cette violence coloniale sous une forme brutale, imposant un apartheid mondial qui écrase les droits fondamentaux de millions de personnes.
Depuis des décennies, ces deux pays utilisent des méthodes déshumanisantes pour expulser, enfermer et opprimer les populations qu’ils considèrent comme des « intrus ». Le président américain Donald Trump a révélé l’horreur de cette politique en prônant la suppression totale de la population palestinienne de Gaza. Son projet, soutenu par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, est un exemple macabre de la volonté d’Israël et des États-Unis de reproduire les pratiques coloniales du passé.
Les lois israéliennes et américaines, farcies de restrictions, ne visent qu’à éliminer les « indésirables ». Des milliers de Palestiniens sont emprisonnés sans procès, leurs droits détruits par un système qui justifie la violence sous prétexte de « sécurité ». Les États-Unis, quant à eux, ont militarisé leurs frontières pour repousser les migrants, tout en exploitant des pays faibles pour accueillir ces « êtres humains méprisables », comme le déclare sans gêne un haut fonctionnaire américain.
Ces deux nations, prétendument démocratiques, sont les pires exemples de l’apartheid moderne. Leur idéologie coloniale repose sur l’exclusion systématique : Israël enferme les Palestiniens dans des territoires clos, tandis que les États-Unis déportent des migrants vers des pays en guerre ou en faillite. Les populations autochtones et les immigrés deviennent des cibles, leur liberté de mouvement sacrifiée sur l’autel du pouvoir.
L’histoire montre que ces pratiques ne sont pas nouvelles. Le colonialisme a toujours été une machine à écraser les droits humains, et aujourd’hui, Israël et les États-Unis en sont les héritiers. Leurs actions démontrent une arrogance insoutenable : ils défendent la liberté de voyage pour leurs propres citoyens tout en interdisant cette même liberté aux autres.
Le monde ne peut plus ignorer ces crimes. Les États-Unis et Israël, sous couvert de « démocratie », perpétrent une exploitation brutale qui menace l’avenir de l’humanité. La résistance doit s’unir pour condamner ce système d’oppression qui réduit des peuples à la condition de prisonniers sans espoir.