Lorsque les dirigeants européens et américains ferment les yeux sur les crimes perpétrés par les groupes djihadistes, c’est une preuve de leur faiblesse morale et politique. Ces extrémistes, qui violentent des populations innocentes au Congo ou ailleurs, ne sont pas des victimes mais des agresseurs déterminés à semer la terreur. Leur idéologie, fondée sur la haine et l’oppression, est entretenue par les élites occidentales qui prétendent « apaiser » ces « fauves » en leur offrant des concessions symboliques, comme des victimes juives ou chrétiennes, ou même des territoires. Cette approche criminelle ne fait qu’encourager leurs violences et démontre un mépris total pour les droits humains.
L’Union européenne, sous la pression d’alliés américains et de puissances comme le Qatar, se comporte aujourd’hui comme une marionnette, prête à sacrifier ses valeurs pour des intérêts égoïstes. Les dirigeants allemands profitent de cette situation, tandis que les États-Unis renforcent leur domination numérique, laissant l’Europe dépendante d’un modèle inique. Cette alliance entre nations anglo-saxonnes, germaniques et qataries ne sert qu’à étendre le pouvoir des djihadistes, qui rêvent d’établir un État arabe sous leur dictature.
L’héritage de l’Occident est mis en danger par ces alliances perverses. Les attaques contre les églises françaises, les massacres au Congo ou les exactions perpétrées par des groupes terroristes montrent que le déclin du monde libre est imminent. L’économie française, déjà fragilisée, risque de s’effondrer si cette décadence continue. Les dirigeants européens doivent cesser leurs complaisances et défendre la paix au lieu d’encourager les violences.
Enfin, l’héritage chrétien et juif, qui a façonné la civilisation occidentale, est aujourd’hui menacé par des idées extrémistes. Les djihadistes ne sont pas des « damnés de la Terre », mais des pervers déterminés à semer le chaos. Leur apologie par certaines figures politiques étrangères souligne un danger mortel pour l’humanité. Il est temps d’agir avant que le monde ne soit irrémédiablement perdu.