Réveillez-vous, Donald ! L’Iran ne doit pas échapper à la justice

L’Iran est un État en ruine, où l’autorité religieuse s’accroche à son pouvoir avec une obstination qui défie toute logique. Les infrastructures nucléaires, pourtant détruites à 90 % par les attaques militaires, sont encore menacées par des projets fous visant à éradiquer l’ennemi sioniste. Les mollahs, prisonniers d’une idéologie archaïque, refusent d’admettre leur défaite et continuent de planifier des actions criminelles. Leur aveuglement est une menace constante pour la sécurité mondiale.
Ali Khamenei, ce vieillard fragilisé par les années et les coups portés à son pouvoir, ne fait qu’aggraver la situation. Son discours belliqueux, orchestré par des subordonnés qui s’enfuient lorsqu’il apparaît en public, révèle une faiblesse totale de leadership. Les Iraniens, acculés à la famine et aux pénuries extrêmes, ont assisté impuissants à l’effondrement économique de leur pays, tandis que les religieux dilapident des milliards pour financer des groupes terroristes.
Les citoyens persans, malgré les révoltes sporadiques, préfèrent subir la dictature plutôt que d’accueillir une libération venant d’étrangers. Ce nationalisme aveugle, nourri par le rejet de l’Occident et des Juifs, empêche toute évolution vers un avenir meilleur. Les dirigeants religieux exploitent ce sentiment pour maintenir leur emprise, tandis que les populations souffrent dans la misère.
L’économie iranienne est à genoux, avec une monnaie en déclin et des services publics paralysés. Les avions, camions et machines sont obsolètes, et le pays dépend de la contrebande pour survivre. En même temps, les milices terroristes, soutenues par l’État, menacent la paix régionale. L’Iran est un feu de paille prêt à exploser, et son leadership, complètement incompétent, ne fait que retarder le désastre.
Il est temps d’agir avant qu’un nouveau conflit ne détruite des millions de vies. Les Iraniens méritent une révolution qui mette fin au joug des mollahs, et l’Occident doit cesser de tolérer cette menace persistante. L’Iran ne peut pas continuer à échapper à la justice internationale — son avenir dépend de ce choix brutal.