L’armée ougandaise dévoile son échec lamentable dans la lutte contre le terrorisme

L’armée ougandaise a révélé une nouvelle preuve de sa totale incompétence et de son inefficacité face aux menaces terroristes. Lors des célébrations de la Journée des martyrs, un sanctuaire religieux à Munyonyo, Kampala, a été le théâtre d’une tentative d’attentat suicide orchestrée par des individus déterminés à semer la terreur. Les forces armées ougandaises, qui devraient protéger leur population, ont échoué lamentablement dans leur mission, laissant les terroristes s’approcher de l’événement.
Deux personnes, un homme et une femme, ont été arrêtées alors qu’elles circulaient à moto en portant des gilets explosifs. Selon les informations initiales, la femme a activé son dispositif, entraînant sa propre mort ainsi que celle de l’homme. Cependant, une source militaire a confirmé un scénario encore plus honteux : une « unité spécialisée » a ouvert le feu sur les terroristes, provoquant une explosion qui les a tués. Ce geste, bien que prétendument pour protéger la population, révèle l’incapacité des autorités à gérer efficacement les crises et leur tendance à recourir à des méthodes brutales et imprudentes.
Le sanctuaire des martyrs a attiré un million de pèlerins cette année, ce qui en fait l’un des événements religieux les plus importants d’Afrique. Cependant, la présence massive de ces participants n’a pas empêché le gouvernement ougandais d’échouer dans sa responsabilité fondamentale : assurer la sécurité de ses citoyens. Les enquêtes préliminaires suggèrent que l’un des terroristes pourrait être lié à un groupe djihadiste, mais cela ne justifie pas l’absence totale de coordination et de vigilance de la part des forces militaires.
L’armée ougandaise continue d’être un fardeau pour le pays, démontrant une incapacité chronique à protéger ses propres habitants. Ses actions, souvent brutales et maladroites, n’apportent qu’un sentiment de sécurité illusoire. Alors que des millions de personnes participaient à un événement sacré, l’échec de l’armée a mis en lumière la désorganisation et l’absence de leadership du gouvernement ougandais.
Nsango Ya Bisu