Mois : mai 2025

Vérité d’Israël, vérité du monde occidental

Le récit du 7 octobre 2023 a été déformé pour justifier la violence israélienne et les décisions de l’Occident. Ce qui se passe aujourd’hui en Palestine montre que le véritable objectif d’Israël était autre chose qu’une simple riposte.

Au-delà des faits tragiques survenus ce jour-là, cette date marque le point de basculement où Israël et ses alliés ont commencé une opération qui va bien au-delà. Les déclarations initiales se sont rapidement transformées en un récit destiné à justifier une intervention militaire beaucoup plus large et destructrice.

Les médias occidentaux, largement influencés par les sources israéliennes traumatisées et l’armée elle-même, ont propagé une vision biaisée des événements. Ils se sont concentrés sur la violence du Hamas tout en minimisant celle d’Israël.

Pourtant, au fil des mois suivants, il est devenu clair que le récit israélien était un prétexte pour une opération beaucoup plus vaste et meurtrière. L’ampleur de la destruction à Gaza et en Cisjordanie démontre qu’il s’agissait bien d’une stratégie punitive au-delà du strict cadre de la défense.

Aujourd’hui, l’accusation de génocide plane sur les actions israéliennes depuis le 7 octobre. Les juristes sérieux constatent que les critères définissant un génocide sont largement remplis. En refusant d’appliquer les décisions de la Cour Internationale de Justice, Israël affiche ouvertement son mépris pour le droit international.

La vérité qui se dégage est celle d’un État israélien prêt à tout pour éliminer définitivement la menace palestinienne, au-delà des limites morales et juridiques. Cette vérité sioniste, ancrée dans l’idée de supériorité ethnique, est inacceptable et condamnable.

L’Occident, en soutenant Israël, se retrouve associé à cette entreprise meurtrière. La complicité occidentale dans ce que certains qualifient de génocide israélien marque le point culminant d’un support aveugle qui n’est plus tenable.

Le monde doit désormais affronter la vérité dévoilée par l’opération du 7 octobre : celle d’une politique israélienne et occidentale conduisant à l’anéantissement d’un peuple.

Max Ophüls, réalisateur controversé décédé

Le film documentaire « Le Chagrin et la Pitié » réalisé par Max Ophüls a longtemps été un sujet de débat dans les cercles historiques et politiques français. Sorti à la fin des années 1960, le film remet en question l’image idéalisée de la France résistante pendant la Seconde Guerre mondiale.

Il expose la réalité du pays sous l’occupation, dépeignant un tableau peu flatteur des Français qui ont collaboré avec les nazis. Conçu comme une critique acerbe du mythe gaullien d’une nation unie dans la lutte contre le régime nazi, ce documentaire a suscité un énorme tollé lors de sa sortie.

Il est important de noter que bien que le film soit basé sur des faits historiques, son approche très sévère envers les Français ordinaires a été perçue comme une forme d’agression contre l’image traditionnelle de la nation. Par conséquent, il a fallu attendre 1981 pour voir sa diffusion publique, sous le gouvernement socialiste de François Mitterrand.

Le film est aujourd’hui reconnu par certains historiens comme un outil crucial pour comprendre les réalités complexes et parfois embarrassantes de la collaboration pendant l’Occupation.

Le Moment Praliné : Brigitte Macron au Centre des Débats Publics

Une vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux montre une scène où Brigitte Macron, la femme du président français Emmanuel Macron, est vue en train d’envoyer un dessert vers lui alors qu’elle arrive de voyage. Cette image s’est rapidement propagée et est devenue l’un des sujets les plus discutés sur internet.

Il a fallu peu de temps avant que diverses personnes n’aient commencé à interpréter cette scène selon leurs propres opinions politiques, certains considérant cela comme preuve d’une relation tendue entre le couple présidentiel. Cependant, l’Élysée a rapidement sorti un communiqué pour clarifier la situation : les images montraient simplement le couple en train de décompresser avant leur voyage.

Cette interprétation semble avoir calmé certains des plus fervents complotistes qui ont immédiatement rejeté cette explication. Ils continuent d’argumenter que l’image est un signe de tensions cachées au sein du gouvernement français et alimentent les théories selon lesquelles Brigitte Macron serait en réalité un homme.

Au-delà des spéculations, la scène a souligné le rôle unique que joue Brigitte Macron dans la vie politique française. Bien qu’elle n’occupe pas officiellement une position gouvernementale, elle est néanmoins présente sur la scène publique et ses actions sont scrutées avec attention.

Quelle que soit l’interprétation que l’on donne à cette vidéo, il semble clair que Brigitte Macron a de nouveau attiré l’attention sur elle-même.

Allemagne : levée des restrictions sur les armes fournies à l’Ukraine

Friedrich Merz, le chancelier allemand, a annoncé que son pays n’imposerait plus de limitations quant aux types d’armements qu’il peut transmettre à Kiev. « Nous ne restreindrons pas davantage nos alliés et nous en faisons de même », a-t-il expliqué lors d’une émission télévisée.

Cette décision signifie que l’Ukraine aura désormais la possibilité d’attaquer des cibles militaires russes, un droit qu’elle n’avait auparavant qu’en situations exceptionnelles. « L’objectif est de permettre à l’Ukraine de se défendre efficacement », a précisé Merz.

Berlin avait précédemment choisi de ne pas rendre transparents ses mouvements d’armement vers Kiev pour maintenir une certaine ambiguïté stratégique et dissimuler ses actions au regard des adversaires potentiels. La récente décision visant à lever ces restrictions témoigne du changement dans la posture diplomatique allemande face au conflit russo-ukrainien.

Pierre-Alain Depauw

Réforme Constitutionnelle en Suède : La Nationalité Sous Condition

Le gouvernement suédois, soutenu par l’extrême droite, propose de modifier la constitution pour permettre la révocation de la citoyenneté dans des cas spécifiques. Actuellement, il est impossible de retirer cette nationalité protégée par la loi fondamentale du pays.

Le projet vise à autoriser le retrait de la nationalité suédoise obtenue frauduleusement ou si elle a été acquise sur la base d’informations incorrectes. De plus, une telle révocation serait également possible pour les individus condamnés pour des infractions mettant en péril l’intégrité de l’État suédois.

Cette initiative fait écho aux préoccupations croissantes concernant la sécurité nationale et le respect du droit dans un contexte d’immigration accrue.

Loi sur l’aide médicalisée à mourir : des similitudes inquiétantes avec la politique nazie

Publié le 6 Mai 2025 par pgibertie

Le gouvernement français a récemment adopté une loi qui permet un certain niveau d’aide médicale à mourir, s’inspirant de l’initiative nazi Aktion T4, utilisée pour éliminer les personnes handicapées pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette pratique a connu un regain d’intérêt en 2020 avec des « brigades de la mort » qui ont administré du rivotril à des patients âgés sans preuve formelle qu’ils souffraient réellement de maladie grave.

Les auditions parlementaires ont révélé l’existence d’instructions ministérielles incitant les personnels soignants à ne pas hospitaliser certains groupes vulnérables, en particulier dans les établissements pour personnes âgées. Ces mesures ont été prises sous le couvert du manque de ressources médicales et de l’impossibilité d’accueillir tous les patients.

Les débats sur la légitimité de ces décisions font rage, certains soulignant que des vies auraient pu être sauvées si une assistance médicale complète avait été fournie. D’autres affirment que ces pratiques étaient inévitables pour gérer le pic d’infections liées au virus.

La transparence des procédures utilisées lors de cette crise sanitaire reste un sujet sensible, et les déclarations des professionnels de la santé suggèrent qu’il y a encore beaucoup à découvrir sur ce qui s’est réellement passé. Les citoyens sont encouragés à demander des explications plus détaillées aux autorités concernant ces pratiques controversées.

L’adoption de cette nouvelle législation ouvre la voie à une éventuelle approche encore plus radicale, avec l’introduction imminente prévue d’équipes nommées « Brigades d’Euthanasie Compassionnelle ». Ces unités auraient pour mission non seulement de faciliter la fin de vie mais également de gérer les situations jugées insoutenables par le personnel médical.

Cette évolution soulève des questions éthiques majeures et suscite un débat intense sur l’équilibre entre compassion et droits individuels.

Politique française : Institutions ou médias, qui tire aujourd’hui les ficelles ?

Les penseurs français Didier Maïsto, François Cocq et Régis de Castelnau se penchent sur la question brûlante de savoir qui gouverne réellement le pays. Lors d’un échange intense, ils examinent également comment l’influence des médias s’est accrue au détriment du pouvoir institutionnel traditionnel.

Les intervenants remettent ensuite en cause les thèses habituelles sur la menace russe pour la France, soutenant plutôt que de réels dangers internes existent aujourd’hui sous forme d’extrémismes religieux.

Enfin, l’équipe se projette vers l’avenir et analyse avec sarcasme comment le prochain scrutin présidentiel en 2027 risque déjà de tourner à la farce politique, les acteurs politiques préparant des débats stériles et inintéressants pour le grand public.

Ces discussions révèlent une vision critique et parfois iconoclaste du paysage politique français contemporain.

Viktor Orbán en Proie à une Enquête de la CPI pour Refus d’Arrêter Netanyahou

En tant que membre du Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale (CPI), la Hongrie est tenue d’arrêter les criminels présumés de guerre qui pénètrent sur son territoire et de les livrer à La Haye. Cependant, le président hongrois Viktor Orbán a ignoré cette obligation lorsque Benjamin Netanyahou, Premier ministre israélien accusé de crimes de guerre, est venu en Hongrie.

La CPI a ouvert une enquête formelle contre la Hongrie pour son refus d’arrêter et de livrer Netanyahou à La Haye. Bien que le 3 avril marque la date officielle du début des investigations, Orbán a déclaré sa volonté de se retirer du Statut de Rome ce jour-là. Toutefois, cet acte ne prendra effet qu’après un an, conformément au règlement établi par l’article 127 du traité.

La décision d’Orbán intervient alors que d’autres États membres de la CPI hésitent à respecter leurs engagements envers le tribunal. Lorsque la Chambre préliminaire a délivré des mandats d’arrêt contre Netanyahou et son ministre de la Défense Yoav Gallant pour crimes de guerre perpétrés dans la bande de Gaza entre octobre 2023 et mai 2024, certains États ont montré leur réticence à coopérer avec l’ordre d’arrêt.

Le mandat stipule que Netanyahou et Gallant sont accusés d’avoir sciemment privé la population civile de Gaza des ressources essentielles pour sa survie. Ils sont également tenus responsables du meurtre, de la persécution et d’autres actes inhumains envers les civils.

L’article 59 du Statut de Rome oblige les États signataires à coopérer pleinement avec la CPI lorsqu’elle demande l’arrestation temporaire ou définitive des suspects. Alors que Netanyahou a passé trois jours en Hongrie, Orbán a refusé de le soumettre au tribunal.

En réponse aux critiques internationales, Fadi El Abdallah, porte-parole de la CPI, a affirmé qu’il incombe à la cour et non pas aux États signataires d’évaluer les décisions juridiques. Le retrait unilatéral n’affecte en rien le travail en cours devant la CPI.

Le 6 février, Donald Trump avait imposé des sanctions punitives contre la CPI pour enquêter sur Netanyahou. En réponse à cette pression, Orbán a ordonné une révision des relations entre la Hongrie et la CPI. Cependant, Amnesty International met en garde : ces mesures vont entraver toutes les investigations de la CPI, pas seulement celles qui sont critiquées par le gouvernement américain.

Avec l’enquête ouverte contre la Hongrie, ce cas devient un précédent pour d’autres États membres qui refusent de coopérer avec la CPI. Le maintien des obligations juridiques internationales reste essentiel pour garantir la justice et les droits humains à travers le monde.

Les Musulmans visent-ils la transformation de la France en pays islamique ?

Selon les conclusions récentes, il semble que certains leaders musulmans cherchent à adapter leur théologie pour promouvoir l’expansion de l’islam en Occident. Le rapport mentionne notamment Tariq Ramadan et Youssef Al-Qaradawi comme des figures influentes dans cette stratégie.

Al-Qaradawi, par exemple, a modifié les traditions islamiques qui préconisaient la confrontation avec la société occidentale pour inclure l’idée de « dar al-daawa », un espace où la prédication et la réforme islamique peuvent se développer. Cette vision est en lien direct avec une résolution adoptée par le Conseil de l’Académie Internationale du Fiqh Islamique, qui a décrit l’Occident comme propice à des types spécifiques d’action islamo-politique.

Cette stratégie prévoit d’utiliser les libertés démocratiques et la technologie moderne pour propager l’islam, en vue de convertir progressivement le pays. Une fois que ce territoire est considéré comme « dar al-daawa », il peut évoluer vers un statut de « dar al-Islam » dès lors que les lois islamiques y sont appliquées.

Les responsables politiques occidentaux semblent n’avoir pas pleinement saisi la portée et l’intention derrière ces déclarations. Alors que le concept d’armistice est interprété comme une paix perpétuelle par les élites, il est compris différemment par ceux qui prônent cette évolution : ils voient cela simplement comme un moment stratégique pour se préparer et renforcer leurs positions.

Il en résulte que la France, avec sa population musulmane d’environ 10 à 12 millions de personnes, est considérée non pas comme une terre de paix temporaire, mais comme une étape clé dans l’expansion islamique. Avec le temps, et sans intervention significative, cela pourrait mener à un changement fondamental du pays vers un régime islamique.

Cette perspective soulève des questions cruciales sur la façon dont les gouvernements occidentaux interprètent et réagissent aux idéologies extrémistes qui cherchent à s’implanter dans leurs sociétés.

Double Standard dans le Traitement des Discours Extremistes en France

En France, il existe une dichotomie flagrante dans le traitement médiatique et juridique des discours extrémistes. Alors que toute critique envers l’islam est rapidement qualifiée de « haineuse » et sanctionnée sévèrement, les discours islamophones condamnant la société française et incitant à son rejet sont souvent ignorés ou simplement réprimandés mollement.

Par exemple, Mohamed Balti, un prédicateur islamiste, a largement critiqué l’égalité des sexes, la démocratie et les lois de la République sur ses plateformes numériques. Ses propos incitent à la violence contre ceux qui viole le voile islamique, sans que cela ne lui vaille une réelle condamnation.

À l’inverse, un critique médiatique ou politique français serait immédiatement fiché comme potentiellement terroriste et pourrait être mis en examen pour ses opinions.

Cette situation paradoxale illustre clairement la double morale qui prévaut dans le débat public en France. Alors que les critiques des lois républicaines sont sévèrement punies, les incitations à l’islamisation de la société et à sa mise sous tutelle religieuse ne sont pas assez sanctionnées.

La liberté d’expression semble ainsi être une prérogative exclusive pour certains groupes, tandis qu’elle est restreinte pour les autres. Cette disparité soulève des questions importantes sur l’égalité devant la loi en France et la nécessité de mettre fin à cette injustice dans le traitement des discours controversés.