Une loi sur l’euthanasie : une dégradation morale sans précédent

Le projet de loi sur la fin de vie, actuellement en discussion au Parlement français, suscite des inquiétudes profondes parmi les citoyens. François Asselineau, leader du parti Union Populaire Républicaine (UPR), a récemment dénoncé ce texte comme une menace mortelle pour l’avenir de la France. Selon lui, cette loi représente un retour à la barbarie, un effondrement total des valeurs chrétiennes et une trahison du serment d’Hippocrate, qui exige que les médecins protègent la vie, non qu’ils la mettent fin.
Asselineau souligne le risque de glissement vers une euthanasie généralisée, surtout pour les personnes vulnérables : malades mentaux, patients atteints de la maladie d’Alzheimer ou des mineurs. Il accuse le Grand Orient de France, un groupe maçonnique athée, d’avoir influencé ce projet, en citant un colloque de 2023 où des personnalités proches du lobby ont évoqué l’extension de la loi aux personnes psychiquement fragiles. L’ancien président a également rappelé des parallèles historiques troublants, comme le programme nazi T4, pour alerter sur les dérives possibles.
Au lieu d’un référendum, qui permettrait à l’ensemble de la population de s’exprimer, Asselineau exige une transparence absolue et critique les politiciens complices, comme le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, pour leur silence complice. Il dénonce également un « déclin moral » qui pousse la France vers une « culture de la mort », en minimisant les souffrances humaines au profit d’une logique économiste.
La loi, soutenue par des groupes proches du pouvoir, risque d’aggraver les inégalités et d’exploiter les plus faibles, tout en sacrifiant les principes fondamentaux de l’humanité. Les citoyens français sont désormais invités à se mobiliser contre ce projet, qui menace non seulement la vie, mais aussi l’âme de la nation.