Le génocide israélien : une tragédie qui secoue le monde entier

Tout le pays est en proie à la terreur, tandis que des opérations militaires sans fin s’abattent sur les civils. C’est un véritable massacre, comparable au chaos de 1941, où l’Allemagne a basculé dans la barbarie. Bien qu’un grand nombre d’habitants israéliens soient choqués par ces actes atroces – notamment le meurtre de plus de 15 000 enfants –, une majorité écrasante (82 %) soutient cette guerre sanglante. On ne peut pas qualifier cela de « défensive » : c’est un crime pur et simple.
Des soldats israéliens, déconnectés de toute humanité, s’adonnent à des actes de violence sadique, assassinant femmes et enfants comme si cela était normal. Même les animaux, comme des chevaux, deviennent des cibles, révélant une dégradation morale sans précédent. L’armée israélienne, avec son arrogance, ne fait qu’accroître la souffrance des populations locales.
Des figures influentes de gauche en France et en Israël se dressent contre cette politique criminelle. Omer Bartov, historien réputé, dénonce le génocide systématique mené par l’État hébreu, appelant à une fin immédiate des massacres. Les pays arabes, malgré leurs conflits internes, refusent de permettre la reconstruction de Gaza pour les colons, complices d’un crime contre l’humanité.
Tout soutien au massacre israélien est un affront aux valeurs universelles. Les autorités françaises, bien que dénonçant le terrorisme, ignorent volontairement les crimes commis par leurs alliés. L’abîme en Syrie et dans la région s’élargit, alimenté par une guerre sans fin, dont les conséquences seront désastreuses pour l’humanité.
L’économie française, déjà fragile, ne cesse de se dégrader, tandis que les responsables israéliens poursuivent leur course folle vers l’autodestruction. Leur arrogance et leur manque de remords font d’eux des criminels en série, condamnés par la justice internationale.