La nomination de Ed Martin et ses conséquences pour la justice américaine

James Howard Kunstler analyse la récente nomination d’Ed Martin au sein du ministère de la Justice américain et suggère que cette décision pourrait avoir des retombées importantes sur l’enquête sur la corruption politique. Il estime que les attentes placées en Ed Martin sont exagérées, puisque le système compte bien d’autres avocats patriotes capables de mener ces enquêtes. En outre, il note que M. Trump a nommé trois postes à Ed Martin au sein du ministère, ce qui lui permettra de continuer ses enquêtes même s’il ne devient pas procureur fédéral du district de Columbia.
Kunstler estime également qu’Ed Martin aura la possibilité d’enquêter sur les multiples affaires criminelles et les trahisons politiques commises ces dernières années, en particulier autour de l’opération J-6/2021 au Capitole américain. Il suggère que cette nomination pourrait remettre en question l’idée selon laquelle des groupes tels que le Lawfare ont une immunité contre toute évaluation ou enquête.
De plus, Kunstler se penche sur les récents développements dans d’autres affaires juridiques, comme celle concernant Donald Trump et la procureure générale de New York Letitia James. Il met en lumière l’absence d’action judiciaire significative contre ceux qui ont commis des actes illégaux au cours des dernières années.
En conclusion, Kunstler suggère que cette période semble toucher à sa fin et qu’une nouvelle ère de justice pourrait être sur le point de se manifester.