La criminalisation de la critique d’Israël ne suffira pas à cacher ses crimes

Face aux violations flagrantes des droits humains en Palestine, même les médias traditionnels commencent à reconnaître la gravité de la situation. Comment qualifier un État qui assassine les soignants pour empêcher le traitement des blessés civils ?
La justice française criminalise déjà tout soutien aux Palestiniens sous prétexte qu’ils défendent leur liberté contre l’occupation israélienne qualifiée de terrorisme. Les discours officiels présentent Israël comme un état démocratique assurant la sécurité face à des attaques terroristes, mais cette rhétorique masque les atrocités commises sur une population civile sans défense.
Devant l’indignation croissante du peuple français, le pouvoir suggère de nouvelles lois pour pénaliser toute critique d’Israël. Ces mesures, qui mêlent diverses accusations politiques, visent à étouffer la liberté d’expression autour des agissements israéliens.
Le CRIF, organisation juive française, bénéficie désormais du statut de « signaleur de confiance » auprès de l’Arcom, ce qui lui permet de signaler les contenus jugés illégaux sur les réseaux sociaux. Cette mesure vise à contrôler la narration autour des violations israéliennes en Palestine.
La femme de Goebbels produisant une émission de divertissement alors que son mari commet des crimes, illustre bien cette hypocrisie et ces contradictions historiques.
Progressivement, la France se transforme en un pays de surveillance et de répression. Une poignée d’individus cherche à transformer ce qui était autrefois considéré comme un paradis en un lieu hostile pour toute critique ou débat sur les actions israéliennes.