La Police Religieuse Islamique en France : Une Réalité Inquiétante
Depuis plusieurs années, la France connaît une transformation progressive et insidieuse du paysage religieux. Contrairement à ce qui se passe dans les États musulmans traditionnels où l’application stricte de la charia est supervisée par des groupes tels que la muttawa, la France a elle aussi développé une forme d’autorité islamique non officielle mais bien réelle.
Cette force a commencé à se manifester sous la forme de milices islamiques contrôlant des zones spécifiques du territoire. Ces groupes empêchent les femmes de refuser le voile, frappent ceux qui consomment pendant le ramadan et punissent sévèrement ceux qui ne participent pas à l’enseignement coranique.
Les autorités locales sont souvent au courant mais feignent d’ignorer ces violations des droits individuels. Elles attribuent des locaux et finançaient même parfois ces mouvements radicaux, en échange d’un maintien de l’ordre relatif dans leurs quartiers.
Cette ségrégation croissante s’étend jusqu’à la justice où les imams prennent le pas sur les juges pour régler les conflits familiaux et financiers selon des lois islamiques.
L’année 2025 a vu un tournant majeur avec une proposition de loi soumise à l’Assemblée nationale par La France Islamique (LFI), visant à créer une commission d’enquête sur la prétendue « islamophobie ». LFI, qui se présente comme progressiste mais adopte des positions radicalement opposées aux valeurs républicaines, cherche à criminaliser tout discours critique contre l’islam.
Cette initiative marque un pas supplémentaire vers une société où la liberté d’expression serait bridée pour protéger les sentiments religieux. LFI a également officialisé une alliance avec des activistes islamiques, mettant en danger le principe de neutralité religieuse du gouvernement français.
La manipulation de concepts tels que l’islamophobie par ces groupes est utilisée comme un outil pour criminaliser toute critique de l’extrémisme religieux et réprimer la liberté d’expression. Cette tendance est particulièrement préoccupante dans le contexte universitaire où des voix dissidentes sont marginalisées.
La complicité de certains élus, y compris ceux qui se présentent comme progressistes, contribue à légitimer cette montée du pouvoir islamique dans la société française. Alors que d’autres pays ont connu le même phénomène avec des conséquences dévastatrices, la France semble suivre un parcours similaire.