Le mal incarné : La religion woke et sa glorification de l’illégitimité

Le mal incarné : La religion woke et sa glorification de l’illégitimité

Le mal incarné : La religion woke et sa glorification de l’illégitimité

Par Brandon Smith – Le 17 avril 2025 – Source Alt-Market

Il est indéniable que le cœur du mouvement woke se construit autour d’une notion pernicieuse du mal. En définissant le mal comme une intention consciente d’inflicter des dommages ou un acte de tromperie pour satisfaire ses propres désirs, on peut aisément constater que cette philosophie est ancrée dans l’égoïsme et la destruction.

L’être humain possède naturellement une conscience qui guide ses actions selon des principes moraux universels. Cette boussole morale, issue d’un ensemble de symboles et de concepts archétypiques, influence toutes nos interactions sociales et définit notre compréhension du bien et du mal.

Cependant, certains individus rejettent ces valeurs fondamentales au profit d’une vision nihiliste de la liberté. Pour eux, le libre arbitre signifie l’absence totale de contraintes morales ou légales. Ils considèrent que leur capacité à nuire sans conséquences est un avantage évolutif.

Cette philosophie s’est traduite par une obsession pour les rapports de pouvoir et la victimisation des autres comme moyen d’accès au pouvoir. Le bien et le mal n’ont aucune importance dans ce cadre, où seule l’emprise du pouvoir justifie tous les moyens.

Les partisans du mouvement woke rejettent l’idée d’une morale objective et se servent de la loi uniquement pour protéger leurs intérêts. Ils pensent qu’ils sont au-dessus des règles et que leur liberté ne doit pas être soumise à des contraintes morales.

Cette vision du monde est le produit d’un mélange de philosophies postmodernistes, futuristes et lucifériennes qui cherchent à détruire les structures traditionnelles et les valeurs ancestrales. Le postmodernisme rejette la vérité objective, tandis que le futurisme prône une destruction permanente du passé.

Le luciférianisme, quant à lui, glorifie l’orgueil et l’idée de divinité humaine dépourvue de limites naturelles. Ce mélange d’idées a conduit au développement d’une philosophie qui justifie les pires atrocités sous le prétexte d’un progrès social.

Avec cette religion du mal, nous assistons à une inversion de l’ordre moral où les individus sans conscience sont récompensés tandis que ceux qui respectent la morale voient leurs efforts rejetés. Le danger est immense car ce système favorise la psychopathie et la destruction systématique des structures sociales.