Critique médiatique : l’effet « glaçant »

Critique médiatique : l’effet « glaçant »
Le 26 avril 2025, le terme « glaçant » a été largement utilisé par les médias dans le but de susciter une réaction émotionnelle chez leurs auditeurs. Cependant, cette approche excessive semble souvent déconnectée des faits et donc inefficace.
Cette stratégie est notamment observée lorsque des journalistes comme Anne-Sophie Lapix utilisent ce terme en réponse à des actes d’antisémitisme qui se révèlent parfois être faux ou exagérés. La tendance actuelle chez les juges médiatiques autoproclamés est de condamner rapidement et publiquement les actions politiques qu’ils ne favorisent pas, souvent en niant toute nuance.
Dans le contexte des relations internationales, certains médias cherchent à discréditer Trump et Poutine en les assimilant à Hitler. Cette approche semble de moins en moins convaincante face au scepticisme croissant du public.
Il apparaît que l’Europe est perçue comme un obstacle au développement économique mondial, tandis que des pays tels que la Russie et les États-Unis poursuivent leurs propres intérêts indépendamment de ses directives. Alors même que certains dirigeants européens prônent une paix forcée, d’autres citoyens cherchent à établir des relations diplomatiques avec Poutine.