Le choix d’un nouveau pape se profile pour diriger l’Église catholique face à des défis mondiaux multiples. Les spéculateurs et observateurs se demandent s’il sera un conservateur ou un progressiste, voire même une figure historique comme la première femme ou le premier transgenre à occuper le poste de pape.

Le choix d’un nouveau pape se profile pour diriger l’Église catholique face à des défis mondiaux multiples. Les spéculateurs et observateurs se demandent s’il sera un conservateur ou un progressiste, voire même une figure historique comme la première femme ou le premier transgenre à occuper le poste de pape.

Le choix d’un nouveau pape se profile pour diriger l’Église catholique face à des défis mondiaux multiples. Les spéculateurs et observateurs se demandent s’il sera un conservateur ou un progressiste, voire même une figure historique comme la première femme ou le premier transgenre à occuper le poste de pape.

Le conclave prévu entre le 6 et le 11 mai 2025 doit élire le successeur du pape actuel dans un contexte où l’Église traverse des tensions internes et des défis mondiaux importants. Les cardinaux, qui sont les seuls à pouvoir voter pour le nouvel élu, chercheront quelqu’un capable de rassembler autour d’une vision commune alors que la division entre réformateurs et traditionalistes reste prégnante.

Parmi les candidats envisagés, plusieurs profils émergent : Pietro Parolin, diplomate italien reconnu pour sa capacité à négocier des accords internationaux complexes ; Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille respecté pour son ouverture et ses engagements sociaux ; Matteo Maria Zuppi, figure pastorale engagée dans les questions migratoires et interreligieuses mais dont le passé sur la gestion des abus sexuels reste un point critique.

Luis Antonio Gokim Tagle, d’origine philippine, représente une possible rupture géographique avec son charisme et sa popularité en Asie. Robert Sarah, prélat africain connu pour ses positions conservatrices, pourrait symboliser un changement significatif si les cardinaux optent pour une vision plus traditionnelle de la foi catholique.

Enfin, Pierbattista Pizzaballa, patriarche latin de Jérusalem, est présenté comme un outsider influent avec son expertise du Proche-Orient et sa capacité à promouvoir le dialogue entre différentes religions.

La décision finale risque d’être serrée et pourrait bien dépendre des discussions au sein même du conclave lorsqu’il se tiendra dans quelques semaines.